Les envois de fonds des migrants sont en légère hausse après deux années de recul

WASHINGTON, 3 octobre 2017 – Selon la dernière édition de la note d’information de la Banque mondiale sur les migrations et le développement, publiée aujourd’hui, les envois de fonds des migrants vers les pays à revenu faible ou intermédiaire enregistrent une hausse en 2017, après deux années consécutives de recul. Pour 2017, la Banque mondiale estime à 450 milliards de dollars les envois de fonds officiellement enregistrés vers les pays en développement, soit une progression de 4,8 %. Si l’on comptabilise également les envois à destination des pays à revenu élevé, le montant total des transferts dans le monde devrait atteindre 596 milliards de dollars (+3,9 %). Cette reprise des envois de fonds s’explique par une croissance plus vigoureuse au sein de l’Union européenne, dans la Fédération de Russie et aux États-Unis. Cette année, trois régions devraient par conséquent bénéficier de la plus forte hausse de ces flux : l’Afrique subsaharienne, l’Europe et l’Asie centrale, et l’Amérique latine et les Caraïbes. En revanche, les envois de fonds à destination de l’Asie de l’Est et du Sud vont diminuer car les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) ont mis en place une politique de restriction budgétaire pour faire face à la faiblesse des cours du pétrole, ainsi que des mesures décourageant le recrutement de main-d’œuvre étrangère. L’Inde est toujours le premier pays destinataire, avec 65 milliards de dollars reçus cette année. Viennent ensuite la Chine (63 milliards), les Philippines (33 milliards), le Mexique (31 milliards, un montant record) et le Nigéria (22 milliards). En 2018, dans un contexte d’amélioration de l’activité économique mondiale, les envois de fonds destinés aux pays à revenu faible ou intermédiaire devraient légèrement progresser, de 3,5 %, pour ressortir à 466 milliards de dollars. Le volume total des transferts dans le monde s’inscrira en hausse de 3,4 %, à 616 milliards de dollars. À l’échelle mondiale, le coût moyen d’un transfert de 200 dollars est resté stable au troisième trimestre de 2017, à 7,2 %. Il s’agit d’un niveau bien supérieur à la cible de 3 % fixée dans les Objectifs de développement durable (ODD). Avec des frais moyens de 9,1 %, l’Afrique subsaharienne demeure la région la plus chère. Ce coût élevé est essentiellement imputable à deux facteurs. Premièrement, les partenariats exclusifs entre les systèmes nationaux d’envoi postal et les opérateurs de transferts de fonds nuisent à la concurrence et permettent aux opérateurs de facturer des frais de transaction plus élevés. Deuxièmement, l’aversion des banques commerciales pour le risque les incite à fermer les comptes bancaires détenus par ces opérateurs, afin de supporter l’important fardeau réglementaire lié à la lutte contre le blanchiment d’argent et la criminalité financière.   « Les envois de fonds des migrants sont vitaux pour les pays en développement, surtout après une catastrophe naturelle. Les exemples les plus récents sont le Mexique, dévasté par un séisme, et les pays des Caraïbes, qui ont subi plusieurs ouragans. La communauté internationale doit impérativement réduire le coût des transferts d’argent en mettant fin aux contrats exclusifs pour les envois de fonds, en particulier dans les pays de l’OCDE à revenu élevé. Il est également urgent d’encourager les banques à prendre davantage de risques », indique Dilip Ratha, auteur principal de la note et directeur du Partenariat international sur la migration et le développement (KNOMAD). Dans un dossier spécial consacré à la question des migrations de retour forcées et volontaires, la note d’information fait état d’une diminution sensible du nombre de réfugiés, de demandeurs d’asile et de migrants illégaux arrivant en Europe. Tandis que les pays d’Europe cherchent à endiguer ces flux, les pays à revenu faible ou intermédiaire continuent d’accueillir plus de 90 % des réfugiés. La note met en lumière les enjeux liés au retour et à la réintégration des migrants, et préconisent un certain nombre de mesures : reconnaissance des compétences et des qualifications acquises à l’étranger, possibilité d’obtenir le statut de résident permanent dans le pays d’accueil, programmes de lutte contre la discrimination, promotion de l’égalité d’accès aux droits dans le pays d’origine, portabilité des prestations sociales, notamment. « Il faut remédier aux causes qui sont à l’origine de la crise migratoire actuelle, c’est-à-dire aux conflits, à la misère, aux tensions démographiques et aux mutations environnementales. La Banque mondiale explore actuellement des politiques et des programmes qui permettraient d’apporter des réponses », explique Michal Rutkowski, directeur principal du pôle mondial d’expertise en Travail et protection sociale de la Banque mondiale. La note d’information présente les résultats d’une enquête conjointe, menée par l’Organisation internationale du travail (OIT) et par le KNOMAD, sur les coûts de recrutement des travailleurs migrants peu qualifiés. La réduction de ces coûts s’inscrit dans le cadre de l’ODD qui vise à faciliter la migration de manière ordonnée, sûre et régulière. Les coûts de recrutement peuvent en effet être exorbitants. En Arabie saoudite, par exemple, un grand nombre de Pakistanais employés sur les chantiers de construction auraient versé à des recruteurs plus de 5 000 dollars, soit l’équivalent d’au moins 20 mois de salaire. Pour faire diminuer ces coûts, il faudrait lutter contre les abus et pratiques des agences de recrutement illégales qui exploitent les travailleurs, coopérer avec les employeurs étrangers honnêtes et renforcer la coordination bilatérale entre pays pourvoyeurs de main-d’œuvre et pays destinataires. Tendances régionales Les transferts de fonds vers la région Asie de l’Est et Pacifique devraient augmenter de 4,4 % pour atteindre 128 milliards de dollars en 2017, après une baisse de 2,6 % en 2016. Les envois en direction des Philippines restent substantiels malgré la diminution des flux en provenance d’Arabie saoudite. Les envois de fonds au Viet Nam, qui émanent en grande partie des États-Unis, devraient également repartir à la hausse cette année. En revanche, le repli des envois de fonds vers l’Indonésie va se poursuivre, car ce pays a interdit l’émigration des employées de maison au Moyen-Orient. En 2018, les transferts de fonds vers la région devraient augmenter légèrement, de 3,4 %, pour totaliser 132 milliards de dollars. Après trois années de baisse consécutives, les envois de fonds vers la région Europe et Asie centrale devraient progresser de 8,6 % cette année, à 43 milliards de dollars. Cette hausse s’explique principalement par l’appréciation du rouble par rapport au dollar. Pour l’avenir, la reprise économique en Russie, la poursuite du redressement économique du Kazakhstan et la croissance de l’emploi dans la zone euro laissent présager une augmentation plus conséquente des transferts de fonds en direction de la région : on prévoit un bond de 6,8 % en 2018, à 46 milliards de dollars. Les envois de fonds vers la région Amérique latine et Caraïbes devraient progresser de 6,9 % en 2017, à 79 milliards de dollars. La croissance économique et l’amélioration observée sur le marché du travail aux États-Unis ont un effet bénéfique sur les flux destinés au Mexique, qui recevra cette année un montant record de 31 milliards de dollars. L’Amérique centrale enregistre une hausse particulièrement substantielle. Cependant, les transferts devraient se tasser à 82 milliards de dollars en 2018. Les envois de fonds vers la région Moyen-Orient et Afrique du Nord devraient s’inscrire en hausse de 4,6 %, à 51 milliards de dollars, après deux années de repli. C’est l’Égypte, le plus important destinataire dans la région, qui, à la suite de la dévaluation de sa monnaie, en sera le principal bénéficiaire. Néanmoins, du fait de la réduction de la production de pétrole et de la mise en œuvre d’une politique d’assainissement budgétaire, le fléchissement de la croissance économique dans les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) pèsera sur les perspectives d’augmentation des transferts de fonds en direction de la région. Ces envois devraient progresser de seulement 2,9 % en 2018, à 53 milliards de dollars. La croissance des envois de fonds à destination de l’Asie du Sud se tassera à 1,1 % (112 milliards de dollars) cette année, en raison de la faiblesse persistante des cours du pétrole et de politiques de « nationalisation » qui rigidifient le marché de l’emploi dans les pays membres du CCG. Après avoir reculé de 9 % en 2016, les transferts à destination de l’Inde s’accroîtront de 4,2 % en 2017, à 65 milliards de dollars. Les flux vers le Pakistan devraient rester stables cette année, tandis que le Sri Lanka, le Bangladesh et le Népal recevront moins de fonds. Au total, les envois de fonds vers la région n’augmenteront que de 2,6 % (114 milliards de dollars) en 2018.    Étant donné la croissance économique dans les pays de l’OCDE à revenu élevé, les envois de fonds en direction de l’Afrique subsaharienne devraient faire un bond de 10 %, à 38 milliards de dollars, cette année. Les principaux pays destinataires (Nigéria, Sénégal et Ghana) devraient tous en bénéficier. La région compte aussi un certain nombre de pays où les envois de fonds représentent une part significative du produit intérieur brut (PIB). C’est notamment le cas pour le Nigéria (26 % du PIB), les Comores (21 %) et la Gambie (20 %). En 2018, la hausse des transferts de fonds devrait se limiter à 3,8 % (39 milliards de dollars).     Pour consulter la note d’information et les données les plus récentes sur les migrations et les envois de fonds des migrants, rendez-vous sur www.knomad.org Il est par ailleurs possible de communiquer avec des spécialistes des questions de migration sur le blog People Move : http://blogs.worldbank.org/peoplemove/

التحويلات المالية في طريقها لتسجيل تعاف طفيف بعد عامين من التراجع

واشنطن 3 أكتوبر/تشرين الأول، 2017 – يقول البنك الدولي في أحدث إصدار له من تقرير "موجز الهجرة والتنمية" الذي صدر اليوم إن التحويلات المالية إلى البلدان منخفضة ومتوسطة الدخل في طريقها إلى التعافي في عام 2017 بعد عامين متتاليين من التراجع. وتذهب تقديرات البنك إلى أن التحويلات المُسجَّلة رسميا إلى البلدان النامية من المتوقع أن تنمو بنسبة 4.8% إلى 450 مليار دولار لسنة 2017. ومن المنتظر أن تنمو التحويلات على مستوى العالم التي تتضمَّن التدفقات إلى البلدان مرتفعة الدخل بنسبة 3.9% إلى 596 مليار دولار. ويؤكد التقرير أن السبب في تعافي التحويلات المالية هو معدلات النمو المرتفعة نسبيا في الاتحاد الأوروبي، والاتحاد الروسي، والولايات المتحدة. ونتيجة لذلك، فإن المناطق التي من المرجَّح أن تشهد أقوى معدلات نمو في التدفقات الوافدة للتحويلات هذا العام هي أفريقيا جنوب الصحراء، وأوروبا وآسيا الوسطى، وأمريكا اللاتينية والبحر الكاريبي. وفي دول مجلس التعاون الخليجي، من شأن تدابير تشديد سياسة المالية العامة بسبب أسعار النفط المنخفضة والسياسات التي تُثبِّط عن استقدام العمال الأجانب أن تؤدي إلى إضعاف تدفقات التحويلات إلى شرق آسيا وجنوبها. وعلى صعيد البلدان الرئيسية المتلقية للتحويلات، احتفظت الهند بالصدارة، إذ من المتوقع أن تبلغ تحويلات المغتربين إليها إجمالا 65 مليار دولار هذا العام، تليها الصين (63 مليار دولار)، والفلبين (33 مليار دولار)، والمكسيك (حصيلة قياسية قدرها 31 مليار دولار)، ونيجيريا (22 مليار دولار). ومع تحسُّن الاقتصاد العالمي، من المتوقع أن تنتعش التحويلات إلى البلدان منخفضة ومتوسطة الدخل بنسبة 3.5% في 2018 إلى 466 مليار دولار. وستنمو التحويلات على مستوى العالم بنسبة 3.4% إلى 616 مليار دولار في 2018. وظل متوسط التكلفة العالمية لإرسال 200 دولار ثابتا عند 7.2% في الربع الثالث من عام 2017، ولكن هذا أعلى كثيراً من المستوى المستهدف في أهداف التنمية المستدامة وهو 3%. وبلغ متوسط تكلفة التحويلات إلى أفريقيا جنوب الصحراء 9.1%، وظلت هذه المنطقة على رأس القائمة من حيث تكلفة التحويلات. وساهم عاملان كبيران في ارتفاع التكلفة هما الشراكات الحصرية بين أنظمة البريد الوطنية، وأي شركة واحدة لتحويل الأموال، وهو ما يخنق المنافسة في السوق، ويتيح لهذه الشركة رفع رسوم التحويلات، وكذلك إجراءات تخفيف المخاطر من جانب البنوك التجارية، حيث تغلق الحسابات المصرفية لشركات تحويل الأموال لمسايرة الأعباء التنظيمية المرتفعة التي تهدف إلى الحد من أنشطة غسْل الأموال والجرائم المالية. وتعقيبا على ذلك، قال ديليب راثا المُؤلِف الرئيسي للموجز ورئيس شراكة المعارف العالمية للهجرة والتنمية "تحويلات المغتربين شريان حياة للبلدان النامية، ولاسيما في أعقاب الكوارث الطبيعية، مثل الزلازل التي وقعت في الآونة الأخيرة في المكسيك والعواصف المُدمِّرة في البحر الكاريبي. ومن الضروري أن يعمل المجتمع الدولي لخفض تكلفة تحويل الأموال عن طريق إلغاء العقود ذات الطبيعة الحصرية، لاسيما في البلدان مرتفعة الدخل في منظمة التعاون والتنمية في الميدان الاقتصادي. وثمة حاجة ملحة أيضا لمعالجة سلوكيات البنوك العالمية لتخفيف المخاطر." وفي قسم خاص بشأن عودة المهاجرين القسرية والطوعية، لاحظ الموجز انحسار القفزة الكبيرة في أعداد من يصلون إلى أوروبا من اللاجئين وطالبي اللجوء والمهاجرين الذين لا يحملون وثائق رسمية. ومع أن البلدان الأوروبية تسعى جاهدة للتصدي لتدفقات اللاجئين والمهاجرين إليها، فإن البلدان منخفضة ومتوسطة الدخل لا تزال تستضيف أكثر من 90% من اللاجئين. ويُبرِز هذا التحديات التي تنطوي عليها عودة المهاجرين وإعادة دمجهم في المجتمع. وتشتمل السياسات التي تُشجِّع على العودة الطوعية للمهاجرين إلى الوطن والنجاح في إعادة دمجهم في المجتمع على: الاعتراف بالمهارات والمؤهلات التي تُكتسَب في الخارج، وإمكانية الحصول على الإقامة الدائمة في البلد المضيف، وبرامج مكافحة التمييز في المعاملة وتكافؤ الفرص في بلدان المنشأ، وإمكانية نقل المزايا الاجتماعية. وقال ميكال روتكوفسكي كبير المديرين في قطاع الممارسات العالمية للحماية الاجتماعية والوظائف بالبنك الدولي "من الضروري معالجة الأسباب الأساسية لاستمرار أزمة الهجرة، وهي الصراع والحرمان الاقتصادي، والضغوط الديموغرافية والتغيُّر البيئي. ويدرس البنك الدولي السياسات والبرامج التي تساعد على معالجة هذه القضايا." يَعرِض الموجز نتائج مسح استقصائي أجرته منظمة العمل الدولية وشراكة المعارف العالمية للهجرة والتنمية بشأن تكاليف التوظيف التي يدفعها العمال المهاجرون ذوو المهارات المتدنية. ويأتي خفض تكاليف التوظيف في إطار أحد أهداف التنمية المستدامة وهو التشجيع على الهجرة الآمنة والمنتظمة والمُنظَّمة. وقد تكون هذه التكاليف مرتفعة للغاية في بعض ممرات الهجرة. على سبيل المثال، تذكر بعض التقارير أن عددا كبيرا من عمال البناء الباكستانيين في المملكة العربية السعودية يدفعون أكثر من خمسة آلاف دولار لمكاتب التوظيف، أو ما يعادل أجور 20 شهرا أو أكثر. وتتطلَّب جهود خفض تكاليف التوظيف تقليص الانتهاكات وممارسات الاستغلال من جانب شركات التوظيف غير القانونية، والتعاون بحسن نية بين أرباب الأعمال في الخارج، وزيادة التنسيق الثنائي بين البلدان المرسلة للعمال والمتلقية لهم. الاتجاهات الإقليمية للتحويلات المالية من المتوقع أن تنتعش التحويلات المالية إلى منطقة شرق آسيا والمحيط الهادئ بنسبة 4.4% إلى 128 مليار دولار في عام 2017، متعافيةً من هبوطها بنسبة 2.6% في 2016. ولا تزال التحويلات إلى الفلبين تتسم بالمرونة على الرغم من تراجع التدفقات الواردة من السعودية. ومن المحتمل أيضا أن تنتعش هذا العام التحويلات المالية إلى فييتنام، ومَنشأ معظمها الولايات المتحدة، أمَّا التحويلات إلى إندونيسيا فسوف تواصل الانكماش بسبب حظر حكومي على تشغيل النساء في أعمال الخدمة المنزلية في بلدان الشرق الأوسط. وسيبلغ معدل نمو التحويلات المالية إلى المنطقة 3.4% في 2018 لتصل إلى 132 مليار دولار. وبعد تراجع على مدى ثلاثة أعوام متتالية، من المتوقع أن تنمو التحويلات المالية إلى بلدان منطقة أوروبا وآسيا الوسطى بنسبة 8.6% إلى 43 مليار دولار هذا العام. والعامل الرئيسي في هذا الانتعاش هو ارتفاع قيمة الروبل الروسي مقابل الدولار. وفي المرحلة المقبلة، ينبِئ الانتعاش الاقتصادي في روسيا، واستمرار التعافي في كازاخستان، وزيادة معدلات التوظيف في منطقة اليورو بآفاق إيجابية لمستقبل التحويلات إلى المنطقة والتي من المتوقع أن تنمو بنسبة 6.8% إلى 46 مليار دولار في 2018. ومن المتوقع أن تنمو التحويلات المالية إلى منطقة أمريكا اللاتينية والبحر الكاريبي بنسبة 6.9% إلى 79 مليار دولار في 2017. وللنمو الاقتصادي وتحسُّن ظروف سوق العمل في الولايات المتحدة تأثير إيجابي على مستقبل تدفقات التحويلات إلى المكسيك التي ستتلقَّى حصيلة قياسية قدرها 31 مليار دولار هذا العام. وكان نمو التحويلات المالية قويا بدرجة كبيرة في أمريكا الوسطى. لكن نمو التحويلات إلى المنطقة سيتراجع في عام 2018 إلى 82 مليار دولار. وبعد عامين من التراجع، من المتوقع أن تنمو التحويلات المالية إلى منطقة الشرق الأوسط وشمال أفريقيا بنسبة 4.6% لتصل إلى 51 مليار دولار هذا العام، والسبب الرئيسي في هذه الزيادة هو قوة التدفقات الواردة إلى مصر، أكبر متلق للتحويلات في المنطقة، بفعل انخفاض قيمة الجنيه المصري. إلا أن آفاق مستقبل التحويلات تبدو ضعيفة بسبب تراجع معدلات النمو في دول مجلس التعاون الخليجي من جراء تخفيضات إنتاج النفط وإجراءات ضبط أوضاع المالية العامة. وستنمو التحويلات إلى المنطقة بنسبة 2.9% إلى 53 مليار دولار في 2018. وستشهد التحويلات إلى منطقة جنوب آسيا نموا طفيفا نسبته 1.1% هذا العام لتصل إلى 112 مليار دولار بفضل استمرار تأثير أسعار النفط المنخفضة، وسياسات "توطين الوظائف" التي تُؤدِّي إلى تقييد ظروف سوق العمل في دول مجلس التعاون الخليجي. وستنمو التحويلات إلى الهند أكبر متلقٍ للتحويلات في العالم بنسبة 4.2% في 2017 إلى 65 مليار دولار، بعد هبوطها بنسبة 9% في 2016. ومن المتوقع أن تظل تدفقات التحويلات إلى باكستان ثابتة هذا العام، وأن تشهد سري لانكا وبنغلاديش ونيبال تراجع التحويلات إليها. وستنمو التحويلات إلى المنطقة بنسبة ضعيفة قدرها 2.6% إلى 114 مليار دولار في 2018. وبفضل تحسُّن النشاط الاقتصادي في البلدان مرتفعة الدخل في منظمة التعاون والتنمية في الميدان الاقتصادي، من المتوقع أن تُسجِّل التحويلات المالية إلى منطقة أفريقيا جنوب الصحراء نموا قويا بنسبة 10% لتصل إلى 38 مليار دولار هذا العام. ومن المتوقع أن تشهد البلدان الرئيسية المتلقية للتحويلات في المنطقة، وهي نيجيريا والسنغال وغانا، نمو التحويلات إليها. ويوجد في المنطقة أيضا عدد من البلدان التي تُؤلِّف فيها التحويلات نسبة كبيرة من إجمالي الناتج المحلي، ومنها ليبريا (26%)، وجزر القمر (21%)، وغامبيا (20%). وستنمو التحويلات إلى المنطقة بنسبة 3.8% إلى 39 مليار دولار في 2018. يمكن الاطلاع على موجز الهجرة والتنمية وأحدث بيانات الهجرة والتحويلات على الموقع الإلكتروني: www.knomad.org للتواصل مع خبراء الهجرة على الموقع الإلكتروني: http://blogs.worldbank.org/peoplemove/.

Moderada recuperación de las remesas tras dos años de caídas

CIUDAD DE WASHINGTON, 3 de octubre de 2017. Según la última edición de Migration and Development Brief (reseña sobre migración y desarrollo) del Banco Mundial, que se dio a conocer hoy, las remesas a países de ingreso bajo y mediano se encuentran en vías de recuperación en 2017, tras dos años consecutivos de disminución. El Banco estima que las remesas a los países en desarrollo registradas oficialmente crecerán un 4,8 % y alcanzarán los USD 450 000 millones en 2017. Se prevé que las remesas mundiales, que incluyen los flujos destinados a países de ingreso alto, experimentarán un crecimiento del 3,9 % y ascenderán a USD 596 000 millones. La recuperación de los flujos de remesas está impulsada por un crecimiento relativamente más sólido de la Unión Europea, la Federación de Rusia y Estados Unidos. En consecuencia, es probable que las regiones que muestren el mayor crecimiento de los flujos de remesas este año sean África al sur del Sahara, Europa y Asia central, y América Latina y el Caribe. En los países del Consejo de Cooperación del Golfo (CCG), el ajuste fiscal generado por la baja en los precios del petróleo y las políticas que desalientan la contratación de trabajadores extranjeros harán reducir los flujos de remesas a Asia oriental y meridional. De los principales receptores de remesas, India conserva el primer puesto, con flujos previstos por un total de USD 65 000 millones este año, seguida de China (con USD 63 000 millones), Filipinas (con USD 33 000 millones), México (con un récord de USD 31 000 millones) y Nigeria (con USD 22 000 millones). En consonancia con la recuperación de la economía mundial, se prevé que las remesas a países de ingreso bajo y mediano registrarán un crecimiento moderado del 3,5 % en 2018 y ascenderán a USD 466 000 millones. Por su parte, las remesas mundiales crecerán un 3,4 % y se ubicarán en los USD 616 000 millones en ese mismo año. El costo mundial promedio que supone el envío de USD 200 se mantuvo sin cambios, en un 7,2 %, en el tercer trimestre de 2017, un valor considerablemente más alto que la meta del 3 % establecida en los Objetivos de Desarrollo Sostenible. África al sur del Sahara sigue siendo la región con el costo promedio más elevado (9,1 %). Dos factores importantes que contribuyen a los altos costos son, por un lado, las asociaciones exclusivas entre los sistemas nacionales de correo y un único operador de transferencias de dinero, que sofocan la competencia de mercado y permiten que los operadores aumenten los cargos de las remesas, y, por el otro, las medidas de eliminación del riesgo que adoptan los bancos comerciales, que cierran las cuentas bancarias de los operadores de transferencias de dinero para cumplir con la elevada carga regulatoria orientada a reducir el lavado de dinero y los delitos financieros. “Las remesas son un salvavidas para los países en desarrollo, especialmente luego de desastres naturales, como los recientes terremotos ocurridos en México y las tormentas que devastaron el Caribe. Es imprescindible que la comunidad mundial reduzca los costos de las remesas mediante la eliminación de los contratos de exclusividad, en especial en los países de ingreso alto de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económicos (OCDE). También hay una necesidad imperiosa de hacer frente a las medidas de eliminación del riesgo de los bancos internacionales”, expresó Dilip Ratha, autor principal del informe y director de la Asociación Mundial de Conocimientos sobre Migración y Desarrollo (KNOMAD). En una sección especial del informe sobre el regreso forzoso y voluntario de los migrantes, se señala una desaceleración del aumento de refugiados, personas en busca de asilo y migrantes indocumentados que llegan a Europa. Mientras los países europeos lidian con los flujos de refugiados y migrantes, los países de ingreso bajo y mediano siguen alojando a más del 90 % de los refugiados. Esto pone de manifiesto los desafíos que suponen el retorno y la reintegración de los migrantes. Algunas de las políticas que promueven el regreso voluntario y la reintegración exitosa en los países de origen son el reconocimiento de las aptitudes y las calificaciones adquiridas en el extranjero; la posibilidad de obtener una residencia permanente en el país receptor; programas de lucha contra la discriminación y de acceso igualitario en los países de origen, y la transferibilidad de los beneficios sociales. “Es necesario abordar los factores básicos de la crisis migratoria actual: el conflicto, la privación económica, las presiones demográficas y el cambio climático. El Banco Mundial está analizando políticas y programas que ayuden a dar respuesta a estas problemáticas”, explicó Michal Rutkowski, director superior de Prácticas Mundiales de Protección Social y Trabajo del Banco Mundial. En el informe se presentan los resultados de una encuesta, llevada a cabo por la Organización Internacional del Trabajo y la KNOMAD, sobre los costos de contratación pagados por trabajadores migrantes no especializados. La reducción de los costos de contratación forma parte del Objetivo de Desarrollo Sostenible de promover una migración segura, periódica y ordenada. Estos costos pueden alcanzar cifras exorbitantes en algunos corredores. Por ejemplo, en Arabia Saudita, una cantidad considerable de trabajadores de la construcción pakistaníes habría pagado más de USD 5000 a agentes de contratación, un monto equivalente a 20 meses de haberes o más. Los esfuerzos por reducir los costos de contratación implicarían la restricción de los abusos y la explotación cometidos por agencias de contratación ilegales, la cooperación de buena fe con empleadores en el extranjero y el fortalecimiento de la coordinación bilateral entre los países de origen y de destino de la mano de obra. Tendencias regionales de las remesas Según las estimaciones, las remesas dirigidas a la región de Asia oriental y el Pacífico registrarán una recuperación del 4,4 % y alcanzarán los USD 128 000 millones en 2017, con lo que se revertirá la caída del 2,6 % sufrida en 2016. Las remesas a Filipinas mantendrán su resiliencia pese a la disminución de los ingresos procedentes de Arabia Saudita. También se espera una recuperación este año de las remesas a Viet Nam, procedentes en gran medida de Estados Unidos, mientras que los flujos de remesas a Indonesia seguirán reduciéndose debido a la prohibición gubernamental que pesa sobre el ingreso de trabajadoras domésticas a países de Oriente Medio. El crecimiento de las remesas a la región ascenderá a un modesto 3,4 % en 2018, con lo que se alcanzarán los USD 132 000 millones. Luego de una caída de tres años consecutivos, se espera que las remesas a países de la región de Europa y Asia central crezcan un 8,6 % y asciendan a USD 43 000 millones este año. Esta recuperación se debe principalmente a la apreciación del rublo ruso en relación con el dólar estadounidense. Con miras al futuro, la recuperación económica de la Federación de Rusia, la recuperación sostenida de Kazajstán y el aumento del empleo en la zona del euro suponen un panorama más positivo para las remesas dirigidas a la región, para las que se prevé un sólido crecimiento del 6,8 %, con lo que alcanzarán los USD 46 000 millones en 2018. Se espera un aumento del 6,9 % de las remesas dirigidas a América Latina y el Caribe, que alcanzarán los USD 79 000 millones en 2017. El crecimiento económico y la recuperación del mercado laboral de Estados Unidos están teniendo un impacto positivo en las perspectivas de los flujos de remesas a México, que este año recibirá una cifra récord de USD 31 000 millones. El crecimiento de las remesas ha sido particularmente importante en América Central. No obstante, el crecimiento de las remesas dirigidas a la región se moderará en 2018 y ascenderá a USD 82 000 millones. Tras una caída de dos años, se espera que las remesas destinadas a la región de Oriente Medio y Norte de África crezcan un 4,6 % y alcancen los USD 51 000 millones este año, impulsadas, en su mayoría, por importantes flujos a Egipto, el mayor receptor de la región, en respuesta a la devaluación de la libra egipcia. Sin embargo, las perspectivas de crecimiento se verán opacadas por un menor crecimiento del CCG debido a los recortes en la producción petrolera y a la consolidación fiscal. Las remesas dirigidas a la región crecerán un 2,9 % y alcanzarán los USD 53 000 millones en 2018. El crecimiento de las remesas destinadas a la región de Asia meridional será de un discreto 1,1 % para llegar a los USD 112 000 millones este año, debido al impacto sostenido de la reducción de los precios del petróleo y a las políticas de “nacionalización” que generan restricciones en las condiciones del mercado laboral en el CCG. Las remesas a India, el mayor receptor de remesas del mundo, crecerán un 4,2 % en 2017 y alcanzarán los USD 65 000 millones, luego de sufrir una reducción del 9 % en 2016. Se espera que los flujos de remesas a Pakistán se mantengan sin cambios este año, mientras que en Sri Lanka, Bangladesh y Nepal se observará una disminución. Las remesas dirigidas a la región crecerán apenas un 2,6 % y alcanzarán los USD 114 000 millones en 2018. Impulsadas por el repunte de la actividad económica en los países de ingreso alto de la OCDE, y conforme a las proyecciones, las remesas destinadas a África al sur del Sahara experimentarán un considerable crecimiento del 10 % y se ubicarán en los USD 38 000 millones este año. Se prevé un crecimiento en los principales países receptores de remesas de la región: Nigeria, Senegal y Ghana. La región también incluye una serie de países en los que las remesas representan una parte importante del producto interno bruto, incluidos Liberia (26 %), Comoras (21 %) y Gambia (20 %). Las remesas tendrán un crecimiento moderado del 3,8 % y alcanzarán los USD 39 000 millones en 2018. Para consultar la reseña sobre migración y desarrollo, así como datos sobre las remesas, visite www.knomad.org. Para interactuar con expertos en migración, visite http://blogs.worldbank.org/peoplemove/.

Quand un pont devient un lien vital: Bâtir la resilience en Haïti

Haïti est le troisième pays le plus affecté par les aléas climatiques, selon l’Indice climatique mondial de Germanwatch (2016). Plus de 96 % de la population est exposée à deux types de risque ou plus. Lorsque les ouragans et autres catastrophes naturelles frappent Haïti, des ponts et des routes sont détruits, coupant l’accès pour les communautés aux écoles, aux hôpitaux et aux villes.   Pont Ladigue, Petit Goave À la suite de l’ouragan Matthew en 2016, la Banque mondiale a financé la construction d’un pont d’urgence à Ladigue, afin de rétablir un passage sécurisé et résistant aux intempéries à l’usage de 1,4 million d’Haïtiens.   Pont Chalon, Miragoane Depuis 2006, la Banque mondiale a construit sept ponts majeurs et a stabilisé 200kilomètres de routes en vue de réduire la vulnérabilité, d’améliorer la résilience des réseaux de transport haïtiens et, surtout, d’améliorer l’accès des communautés locales aux marchés de la région.   Local Labor Force in Saint Louis du Sud-Zanglais d’Aquin De tels projets d’infrastructure et de transport créent des emplois et permettent de former des travailleurs locaux.   Pont Grand Goave Fauche Des trottoirs sécurisés ont été construits, avec l’aide des communautés locales, contribuant ainsi à améliorer l’accès au transport et la sécurité des piétons.   La Theme, Mirebalais Le nouveau pont de Mirebalais, où se trouve l’hôpital le plus équipé du pays, facilite l’accès aux services de santé à un millier de patients par jour.   Pont Dolin Maniche Les ponts conçus pour mieux résister aux aléas climatiques sont devenus des liens vitaux pour des millions d’Haïtiens.  

Panama: Consultancy: Assessment of “Meld punten” and guide technical discussion at the national Child Protection network meetings

Organization: UN Children’s Fund
Country: Panama
Closing date: 16 Oct 2017

If you are a committed, creative professional and are passionate about making a lasting difference for children, the world’s leading children’s rights organization would like to hear from you.

For 70 years, UNICEF has been working on the ground in 190 countries and territories to promote children’s survival, protection and development. The world’s largest provider of vaccines for developing countries, UNICEF supports child health and nutrition, good water and sanitation, quality basic education for all boys and girls, and the protection of children from violence, exploitation, and AIDS. UNICEF is funded entirely by the voluntary contributions of individuals, businesses, foundations and governments.

Purpose of the Assignment

  • To conduct an assessment on the functioning of the current centers, and recommending areas for improvement.
  • Guiding the technical discussion of the Child Protection Network meeting, sharing good practices of Global Child Protection networks from other countries and guiding the discussion on how Suriname can strengthen its system.
  • Assignment Tasks

  • Review of documents related to “Meld punten” and Child Protection related policies and legislation in Suriname.
  • Conduct interviews and FGDs with practitioners and policymakers in Paramaribo.
  • Conduct visit to 3 “Meld punten” and conduct interviews with professionals running the center, users, community leaders, practitioners and other stakeholders.
  • Write a short draft report with clear recommendations on the functioning of the “Meld punten” and suggested way forward.
  • Prepare and deliver a presentation on best practices of Child Protection Systems which can be used as basis for the discussion by the CP Network.
  • Guide the technical discussion of the CP Network
  • Write a report on the CP Network meeting and recommendations on its way forward.
  • Qualifications of Successful Candidate

  • Master’s Degree in Sociology, Psychology, Social Work, or related fields.
  • At least 8 years’ experiences in child protection including experience of conducting assessments of CP system.
  • Strong analytical skills
  • Excellent oral and written communication skills English (Dutch is an asset
  • Please see Terms of Reference ToR .pdf

    To view our competency framework, please click here.

    Please indicate your ability, availability and daily/monthly rate (in US$) to undertake the terms of reference above (including travel and daily subsistence allowance, if applicable). Applications submitted without a daily/monthly rate will not be considered.

    UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organization.

    How to apply:

    UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organization. To apply, click on the following link http://www.unicef.org/about/employ/?job=507659

    Dominican Republic: Monitoring and Evaluation Officer, (NO-2), Dominican Republic

    Organization: UN Children’s Fund
    Country: Dominican Republic
    Closing date: 23 Oct 2017

    Post Title: Monitoring and EvaluationOfficerProposed Level: NO-2Duty Station: Santo Domingo, Dominican RepublicSupervisor:Representative

    The fundamental mission of UNICEF is to promote the rights of every child, everywhere, in everything the organization does — in programs, in advocacy and in operations. The equity strategy, emphasizing the most disadvantaged and excluded children and families, translates this commitment to children’s rights into action. For UNICEF, equity means that all children have an opportunity to survive, develop and reach their full potential, without discrimination, bias or favoritism. To the degree that any child has an unequal chance in life — in its social, political, economic, civic and cultural dimensions — her or his rights are violated. There is growing evidence that investing in the health, education and protection of a society’s most disadvantaged citizens — addressing inequity — not only will give all children the opportunity to fulfill their potential but also will lead to sustained growth and stability of countries. This is why the focus on equity is so vital. It accelerates progress towards realizing the human rights of all children, which is the universal mandate of UNICEF, as outlined by the Convention on the Rights of the Child, while also supporting the equitable development of nations.

    For every child, a champion

    The Monitoring and Evaluation Officer is accountable for the accomplishment of the stated key end-results by providing professional expertise and assistance in information/data collection, statistics and data analysis, monitoring & evaluation (M&E), preparation of reports, communication and partnership, and in implementing training programmes for national and sub-national data collection, monitoring, evaluation and research capacity building with special attention to the interest, concern and participation of primary stakeholders.

    How can you make a difference?

    We are looking for a dynamic and innovative Monitoring and Evaluation Officer to support UNICEF’s Dominican Republic offices in the areas described below, seasoned professionals are encouraged to apply!

  • Integrated Monitoring, Evaluation & Research Planning (IMEP)
  • Situation Monitoring and Assessment
  • Programme Performance Monitoring
  • Evaluation
  • M&E Capacity Building
  • Communication and Partnerships
  • Integrated Monitoring, Evaluation & Research Planning (IMEP)

  • Provide technical support to ensure that the Country Office and national partners use a well-prioritised and realistic plan of research, monitoring and evaluation activities that will provide the most relevant and strategic information to manage the Country Programme, including tracking and assessing UNICEF’s distinct contribution.
  • Make professional contributions to and provide technical assistance for the planning and establishing the major research, monitoring and evaluation activities in multi-year and annual IMEPs, which is to be reflected in UNDAF M&E Plans.
  • Participate in management studies and support/participate in thematic/strategic evaluations to improve development & organizational effectiveness.
  • Support and contribute to effectively joint evaluations with developmental partners, including joint evaluation of UNICEF or of multi-partner programs.
  • In close consultation with management and liaison with partners, make a professional contribution to formulation of the IMEPs from a sound results-based programming process and collaborative working relations with partners
  • In a close coordination with partners, ensure that the IMEPs include data collection activities that provide accurate and relevant data on key activities and results, including results for children.
  • Contribute to the incorporation of M&E tasks in the IMEPs which were identified within the CO Emergency Preparedness and Response Plan, in order to anticipate and prepare for the information needs and operational modalities of an emergency, in consultation with humanitarian partners.
  • In humanitarian response situations, within the first month, draft and recommend a simple one-month data-collection plan to cover key data gaps as required for the initial emergency response, working in close collaboration with the humanitarian clusters partners. After the initial humanitarian response, support management of the medium-term response with a revised IMEP.
  • Situation Monitoring and Assessment

  • Provide technical support to ensure that the Country Office and national partners have timely and accurate measurement of change in conditions in the country or region, including monitoring of socio-economic trends and the country’s wider policy, economic or institutional context, to facilitate planning and to draw conclusions about the impact of programmes or policies.
  • In coordination with other stakeholders, support the collection of Sustainable Development Goals (SDG) indicators (through MICS or other house hold surveys) and other data sources, including administrative data, to improve integrated national planning.
  • Support management of available baseline information on national statistics and key indicators through established databases for easy access and use. Prepare country level statistical reports on the status of children’s and women’s human rights issues, and provide a technical support to global reporting obligations including national reports on progress toward the SDGs, toward CRC fulfilment, and toward CEDAW fulfilment.
  • Keep monitoring the situation of children’s and women’s rights with national partners and keep updated with the information of the quality research that address issues and challenges affecting children and their families.
  • Coordinate with the Country Office and partners and provide assistance in their using up-to-date information in, inter alia, Situation Analysis, Common Country Assessment, Early Warning Monitoring Systems, Annual Reviews, Mid-Term Reviews, and Annual Reports or other progress reports.
  • In humanitarian response situations, provide technical support for a rapid assessment (inter-agency or independently if necessary) to be carried out within the first 48-72 hours. Provide rapid and accurate information on emergency programme’s coverage, coordination and coherence in close collaboration with partners and in line with the core commitment on children (CCCs).
  • Provide technical support to ensure that the CO has information necessary for UNICEF to effectively report on and advocate for children’s rights through the appropriate channels and to enhance partnerships with key players in monitoring collectively progress on child focused international commitments, including SDGs.
  • Support the CO in collecting and interpreting existing early warning data effectively to guide the adjustment of programmes and operational approaches when and as country contexts deteriorate.
  • Programme Performance Monitoring

  • Provide technical support to the programme results managers to ensure that the Country Office has the tools for obtaining quality information to assess progress towards expected results established in annual work plans.
  • Provide technical support as necessary to identifying and adjusting a set of programme performance indicators, in the context of the multi-year and annual IMEPs, the Annual Management Plan and Annual Work Plans, as outlined in the Programme Policy and Procedures Manual (especially, Chapter 6, section 6: IMEP).
  • Provide technical support to ensure that monitoring system are in place and that key annual programme indicators are tracked and analysed, including those related to partnerships initiative, and provided regularly to the Country Management Team/ Senior Management Team to guide programme and management decisions.
  • Evaluation

  • Provide technical support to ensure that a well-prioritised and strategic selection of evaluations at programme or Country Office strategy level is managed in order that each evaluation is designed and carried out with quality process and products and that evaluation results are useful to the intended audience.
  • Provide support to ensure that the relevant programme partners participate and formulate Evaluation Terms of Reference and design of high quality.
  • Provide technical support to ensure that evaluation design and management meet quality standards as outlined in UNICEF Programme Policies and Procedures and related stand-alone Evaluation Technical Notes, when necessary seek expertise of knowledge institutions. Facilitate and take part in producing Evaluation Office’s responses on specific and substantive issues.
  • Review and provide technical comments on draft evaluation reports. Contribute to the effective dissemination and sharing of knowledge, findings, conclusions, recommendations and lessons from evaluation to the intended audience as described in the Terms of Reference with a view to improving programme performance and contributing to wider learning. Specifically, assist in feeding evaluation results into key UNICEF programme planning processes including the Annual Reviews and the Mid-Term Reviews, and formulation of the Country Programme Document, the Country Programme Action Plan and the Annual Work Plans. Support effective participatory feedback, including to community and civil society stakeholders.
  • Provide assistance in tracking to ensure that a management response to the findings and recommendations of the evaluation is completed, recorded, and followed up for implementation. Most specifically, ensure that evaluation recommendations are submitted to the Country Management Team and follow-up actions recorded in CMT minutes.
  • Submit electronic copies of all evaluations to NYHQ via the Evaluation Data Base web portal, with full accompanying documentation.
  • M&E Capacity Building

  • Provide technical support to ensure that the monitoring and evaluation capacities of Country Office staff and national partners – government and civil society – are strengthened enabling them to increasingly engage in and lead monitoring and evaluation processes.
  • Contribute to the collaboration of an M&E capacity building strategy for national partners and institutions and corresponding activities for implementation in the context of the IMEP or UNDAF M&E plan. Provide technical support for implementation of capacity building strategies as a joint commitment with other developmental partners with special attention to the interest, concern and participation of primary stakeholders.
  • In close consultation with senior managers, contribute to formulation of staff capacity development strategy and plans, and exercise effective leadership in implementing them, ensuring that Country Office staffs have the basic knowledge and skills to fulfil their monitoring and evaluation responsibilities, and training is planned and carried out to fill identified gaps.
  • Promote and provide support to ensure that Country Office staff and national partners are aware of and have access to UNICEF monitoring and evaluation learning resources.
  • Contribute to facilitate that Evaluation capacity of national partner organisations is strengthened through their involvement in evaluation processes and possibly through specific capacity building initiatives.
  • Contribute to liaise with knowledge institutions to seek partnerships for the identification of capacity gaps and the development of strategies to address them.
  • Communication and Partnerships

  • Provide technical support to ensure that all of the above tasks are carried out and accomplished through effective communication and partnerships.
  • Facilitate or contribute to integrated planning of research, monitoring and evaluation activities within the Country Office, with national partners, the UN Country Team and the wider international community, in the context of internal office management plans, the country programme process, the UNDAF and sector wide approaches respectively, in consultation with child-right partners.
  • Facilitate or contribute to joint monitoring and evaluation activities with national partners, the UN Country Team and the wider international community, wherever possible in the context of the above processes.
  • Provide technical support to Country Office staff and national partners on data collection, data management and data analysis for basic monitoring and evaluation.
  • Provide synthesis of M&E results to the country office senior management, the Country Management Team and key programme and operations staff.
  • Ensure that evaluation recommendations are communicated to the relevant partners for implementation, with advice on the Implementation Plan and follow-up action for future programming.
  • Facilitate learning from the results of monitoring and evaluation within the Country Office and more widely within UNICEF in the region and globally, as well as among national partners and other key stakeholders, engaging more expertise from knowledge institutions.
  • Seek advanced or in-depth technical support on monitoring and evaluation from the Regional M&E Advisors and headquarters advisors on monitoring and evaluation as necessary.
  • Collaborate with the Regional M & E Adviser to ensure the availability of current and accurate monitoring and evaluation data and results.
  • Collaborate with Regional M&E Advisers and HQ Officers for overall coordination of priority research, monitoring and evaluation activities.
  • For every Child, you demonstrate:

    Core Values:

  • Commitment
  • Diversity and inclusion
  • Integrity
  • Core competencies

  • Communication (I)
  • Working with people (II)
  • Drive for results (I)
  • Functional Competencies

  • Formulating Strategies and Concepts [ I ]
  • Analyzing [ II ]
  • Applying Technical Expertise [ II ]
  • Planning and Organizing [ II ]
  • To qualify as a champion for every child you will have:

    Education:

  • University degree in social sciences, development planning, planning, evaluation, survey implementation, advanced statistical research.
  • Degrees and professional courses in mathematics, statistics and economy are an asset.
  • Experience:

  • Professional work experience in programme development and implementation including monitoring and evaluation activities. At least 2 years of relevant professional work experience. Developing country work experience or field work experience.
  • 5-10 years of monitoring and evaluation experience providing support, advise and guidance to senior managers, national partners and or government entities is considered a very strong asset.
  • At least one instance of exposure to emergency programming, including preparedness planning. Active involvement in a humanitarian crisis response programme preferred.
  • Experience working with statistics, designing implementing surveys, data analysis with organizations associated to investigations.
  • Experience working with data collection and motoring and evaluation studies.
  • Work experience in an international organization or UN agency is desirable.
  • Language:

  • Fluency in Spanish and English is required.
  • Additional UN language(s) are an asset.
  • * Post subject to PBR approval

    Candidates must be a citizen of Dominican Republicto be considered eligible for this post. Please note that the National Officers(NOs) are locally recruited staff and therefore, candidates are personally responsible for any travel and accommodation arrangements.

    UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organisation.

    How to apply:

    UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organization. To apply, click on the following link http://www.unicef.org/about/employ/?job=507292

    Mexico: Internship Género y Justicia en México

    Organization: UN Office on Drugs and Crime
    Country: Mexico
    Closing date: 01 Nov 2017

    ACERCA DE UNODC

    La Oficina de las Naciones Unidas contra la Droga y el Delito (UNODC) es la Oficina líder a nivel mundial en la lucha contra las drogas ilícitas y la delincuencia organizada transnacional.

    Los tres pilares del programa de trabajo de UNODC son:

    1. Proyectos de cooperación técnica en el terreno para mejorar la capacidad de los Estados Miembros a actuar contra las drogas ilícitas, la delincuencia y el terrorismo;

    2. Trabajos de investigación y análisis para incrementar el conocimiento y la comprensión de las drogas y los problemas de delincuencia y ampliar la base de pruebas para las decisiones políticas y operativas;

    3. La labor normativa para ayudar a los Estados en la ratificación y aplicación de los tratados internacionales pertinentes, el desarrollo de la legislación nacional en materia de drogas, la delincuencia y el terrorismo, y la prestación de un secretariado técnico y de servicios sustantivos a los órganos creados en virtud de dichos tratados.

    GÉNERO Y JUSTICIA

    UNODC ofrece asistencia técnica para el fortalecimiento de las estrategias de prevención del delito y de las respuestas del sistema de justicia penal a la violencia contra las mujeres.

    Estas respuestas incluyen leyes y políticas más eficientes y mayor capacidad para prevenir, investigar, juzgar y sancionar los delitos conexos, para facilitar el acceso a la justicia y a la asistencia jurídica para víctimas y testigos.

    OFRECEMOS

    • · La oportunidad de establecer una red de contactos con expertos nacionales e internacionales que dominen el estado del arte de las discusiones en materia de prevención, género y derechos humanos;
    • · Participación en conferencias y talleres del proyecto, así como de otras iniciativas nacionales de UNODC;
    • · Acceso a información sobre funcionamiento de UNODC y del Sistema de Naciones Unidas en México;
    • · Aprendizaje de herramientas de facilitación de reuniones y de prácticas de fortalecimiento institucional;
    • · Desarrollo de habilidades metodológicas, analíticas y de investigación;
    • · Experiencia de trabajo en terreno con actores locales de diferentes sectores;
    • · Aprendizaje sobre la construcción de conocimiento a nivel comunitaria con equipos multidisciplinarios.

    TUS PRÁCTICAS PROFESIONALES

    Las prácticas profesionales son estancias temporales que permiten a estudiantes de licenciatura y posgrado participación en la implementación de proyectos, talleres y conferencias, de alcance regional e internacional, a efecto de aprovechar las capacidades estratégicas.

    DURACIÓN

    SEIS MESES y al finalizar el periodo se proveerá a la persona interesada toda la documentación que apoye y valide el desarrollo de la práctica profesional. De igual forma y de acuerdo a la evaluación de desempeño, se extienden las cartas de recomendación y constancias correspondientes.

    BUSCAMOS

    • Egresadas/os nacionales y extranjeros, de las licenciaturas en: derecho, economía, ciencias políticas, comunicación, relaciones internacionales, administración y sociología.
    • Con habilidades investigativas, analíticas, comunicativas y organizativas.
    • Excelente redacción y ortografía del español.
    • Capacidad de lectura y redacción en inglés.
    • Que le interese temas como el desarrollo local, las políticas públicas y la vinculación entre género y justicia.
    • Comprobante de seguro de gastos médicos mayores.

    PRINCIPALES FUNCIONES

    • Apoyar al personal de proyecto en la organización y logística de las actividades de asistencia técnica, tales como talleres, mesas de trabajo y capacitaciones.
    • Contribuir a la elaboración de documentos relacionados con la gestión del proyecto (oficios, presentaciones, notas conceptuales y reportes de actividades);
    • Asistir en los procesos de elaboración de documentos de investigación, incluyendo la revisión de literatura y de bases de datos estadísticos, así como el levantamiento, sistematización y análisis de información cuantitativa y cualitativa.
    • Asistir al personal del proyecto en las reuniones de trabajo y actividades en terreno, incluyendo la preparación de documentos de apoyo, redacción de relatorías, elaboración de minutas y sistematización de información.

    El internship se puede llevar a cabo en la Ciudad de México.

    VISITA NUESTRA WEB: http://www.unodc.org/mexicoandcentralamerica/es/index.html

    How to apply:

    La persona interesada deberá enviar su curriculum vitae y una carta de exposición de motivos en una cuartilla al correo electrónico: nayeli.sanchez.macias@unodc.org y abril.zarco@unodc.org. En la carta, debera contestar las preguntas siguientes:

    • ¿Cuáles son dos características o talentos que considero poseer?
    • ¿Qué aprendizaje me gustaría obtener de la pasantía?
    • ¿Qué puedo aportar al proyecto Género y Justicia?

    Colombia: Auxiliar Contable

    Organization: Acción contra el Hambre España
    Country: Colombia
    Closing date: 16 Oct 2017

    I. Información de la posición

    Título del cargo: Auxiliar Contable Código convocatoria: 255

    Tipo de contrato: laboral al Termino Fijo

    Dedicación: tiempo completo Supervisor directo: Coordinador (a) Administrativo (a) Sede de trabajo: Bogotá

    Duración: 6 meses (con posibilidad de renovación)

    Remuneración: $1.505.000 más prestaciones de ley Fecha de recepción

    hojas de vida: lunes 16 de octubre de 2017 hasta las 10:00 PM Correo para postular: postulaciones@co.acfspain.org

    II. Contexto Organizacional

    La Fundación Acción contra el Hambre es una organización humanitaria internacional no gubernamental, privada, neutral, aconfesional y no lucrativa, fundada en España en 1995, con el fin de luchar contra el hambre.

    A fecha de hoy, unas 4.000 personas en la Red Internacional Acción contra el Hambre en más de 42 países, coordinados desde las sedes de París, Madrid, Londres, Nueva York y Montreal, en torno a cuatro ejes de intervención: nutrición, salud, seguridad alimentaria y agua y saneamiento.

    En Colombia ACH inició sus actividades en 1998; desde entonces ha ejecutado más de 80 proyectos en diferentes zonas del país. Actualmente, la misión Colombia gestiona un volumen anual de aproximadamente 3.600.000 euros y entre 8 y 15 proyectos simultáneamente, razón por la cual el cargo de Auxiliar Contable es clave para el apoyo de la gestión contable de misión.

    III. Funciones y Tareas

    Las funciones y tareas que deberá realizar el Auxiliar Contable a fin de lograr las tareas establecidas, son las siguientes:

    Objetivo 1: Gestión contable

    · Contabilizar pago a proveedores y/o prestadores de servicios mediante causaciones, cheques (comprobantes de egreso) y/o transferencias en SIIGO.

    · Contabilizar la caja general en SIIGO y SAGA

    · Contabilizar la nómina (nomina parafiscales y prestaciones sociales) en SIIGO

    · Contabilizar ingreso correspondiente a monetizaciones de SEDE (casa matriz). y/o donaciones

    · Elaborar informes contables relacionadas con bancos, cajas, ingresos según requerimientos de la administración

    Objetivo 2: Gestión de tesorería

    · Controlar y custodiar las chequeras

    · Elaborar Cheques

    · Manejar el efectivo de la caja general de Bogotá. Objetivo 3: apoyar a la gestión de fiscal y tributaria.

    · Apoyo en la elaboración de certificados de retención en la fuente para empleados y proveedores

    · Apoyar la elaboración de las declaraciones mensuales de retención en la fuente

    · Hacer las retenciones correspondientes según hecho generador, régimen tributario, bases y porcentaje.

    Objetivo 3: apoyar a la gestión de fiscal y tributaria.

    · Apoyo en la elaboración de certificados de retención en la fuente para empleados y proveedores

    · Apoyar la elaboración de las declaraciones mensuales de retención en la fuente

    · Hacer las retenciones correspondientes según hecho generador, régimen tributario, bases y porcentaje.

    IV. Competencias Requeridas A continuación se señalan las competencias requeridas para el cargo previsto:

    · Trabajo en equipo: Capacidad para compartir recursos e información y realizar tareas primando un objetivo común frente a intereses individuales, es también la capacidad para contribuir a la creación y mantenimiento de un buen clima de trabajo.

    · Organización y planificación: Capacidad para establecer y desarrollar los planes de acción necesarios para alcanzar los objetivos fijados atendiendo a las exigencias de tiempo, forma y disponibilidad de recursos. Implica también el establecimiento de las oportunas medidas de control y seguimiento. Es la habilidad para ajustarse o seguir un sistema o método, ser cuidadoso/ordenado.

    · Resolución de problemas: Capacidad de analizar los problemas, identificando sus aspectos más relevantes y sus causas, para elegir la mejor solución en el plazo temporal fijado. Es también la capacidad para aportar ideas y soluciones razonadas mostrando una comprensión realista de la situación.

    · Adaptabilidad y flexibilidad: Capacidad para adecuarse a un entorno diferente con nuevos objetivos grupales e individuales. Es también la capacidad de modificar el comportamiento adecuándolo a situaciones inesperadas o de cambio.

    · Orientación a los resultados: Capacidad de definir metas, objetivos realistas y específicos orientando la actividad para conseguir los objetivos y la estrategia marcada. Insiste en su trabajo para alcanzar el objetivo de forma óptima.

    · Resistencia a la tensión: s la habilidad para trabajar eficazmente en situaciones de mucha exigencia o de alta incertidumbre. Implica responder y trabajar con alto desempeño incluso en entornos o situaciones inestables y/o de inseguridad.

    · Comunicación Eficaz y Síntesis: Habilidad para transmitir con corrección, claridad y precisión ideas y opiniones, bien sea por escrito u oralmente, utilizando un lenguaje adaptado al objetivo y al interlocutor. Supone además la habilidad de escuchar y entender a otros estableciendo un diálogo de forma efectiva.

    · Motivación: Actitud positiva y proactiva hacia el trabajo y la vida en cooperación, la organización y sus proyectos.

    V. Requisitos Mínimos

    · Formación:

    · Formación Profesional y/o tecnológica en proceso, enfocada al área Contable 2. Experiencia:

    · Mínimo 2 años de experiencia demostrada en apoyo de la gestión contable en empresas u organismos del sector público o privado.

    · Se valorará altamente la experiencia en organizaciones sin ánimo de lucro 3. conocimientos

    · Conocimiento en legislación tributaria y contabilidad colombiana.

    · Conocimientos técnicos: en dinámicas de cuentas, retención en la fuente, conciliaciones bancarias, contabilidad de causación y caja.

    · Deseable conocimientos en NIIF 4. Características personales:

    · Capacidad de trabajar de forma autónoma (organización y planificación de su trabajo)

    · Capacidad de trabajo en equipo

    · Adaptación y tolerancia a condiciones de estrés

    · Actitud propositiva

    · Sentido de responsabilidad y compromiso con el trabajo

    · Manejo de información bajo el principio de confidencialidad

    · Sensibilidad y vocación humanitaria

    · Puntualidad 5.

    Programas informáticos requeridos:

    · Dominio de Windows, imprescindible manejo intermedio de Excel

    · Manejo de sistemas contables entre ellos SIIGO

    · Deseable manejo de sistemas financieros como SAGA

    How to apply:

    Cómo aplicar: Enviar hoja de vida (archivo máximo 3 páginas – sin que exceda 1 mega- vía e-mail a la siguiente dirección- postulaciones@co.acfspain.org

    El Salvador: Consultor para Sistematización de Lecciones Aprendidas

    Organization: Pan American Health Organization
    Country: El Salvador, Honduras
    Closing date: 09 Oct 2017

    El Triángulo Norte de América Central (TNCA) es considerada como una de las regiones sin conflictos más violentas del mundo, debido a las tasas epidémicas de homicidios, según los niveles establecidos por la Organización Mundial de la Salud. Las causas de la violencia están principalmente en factores como el conflicto entre maras y pandillas para el control territorial y reclutar a jóvenes; Intolerancia social; Violencia familiar o feminicidios.

    Los tres países de la TNCA (Guatemala, El Salvador y Honduras) totalizaron 15.727 homicidios en 2014 y 17.422 en 2015. Honduras ha mantenido el primer lugar en índices de violencia global en los últimos años, alcanzando la tasa más alta de homicidios de 193.4 para la ciudad de San Pedro Sula en 2013; Aunque la tasa nacional de homicidios ha experimentado una disminución constante en los últimos 3 años. El 2015 fue considerado el año más violento en la historia de El Salvador, con 6.657 homicidios (113 casos por 100.000 habitantes), mientras que Honduras reportó un total de 5.092 homicidios (59 / 100.000).

    Honduras y El Salvador se enfrentan a fenómenos de violencia perpetrados por grupos armados y pandillas organizadas o narcotraficantes, que resultan, en algunas áreas, en situaciones humanitarias similares a conflictos armados: altos niveles de violencia y delincuencia; gran número de lesiones y muertes causadas por armas de fuego de diferentes calibres; extorsiones y secuestros; toque de queda (no oficial); confinamiento, temor a una muerte violenta o ser víctima de un delito; áreas controladas por bandas criminales o maras; El reclutamiento forzado, el abuso físico y sexual, así como las fronteras invisibles y el acceso limitado a los servicios básicos.

    Objetivos del Proyecto

    Objetivo General:

    Fortalecer el acceso a servicios de salud seguros y resilientes en contextos de violencia.

    Objetivo específico:

    Fortalecer la capacidad y seguridad de prestación de atención en salud en zonas propensas a la violencia, a través del diagnóstico del impacto de la violencia en los servicios de salud, la demanda de atención sanitaria en hospitales y el fortalecimiento de las funciones y componentes no estructurales de seguridad hospitalaria para mejorar el acceso seguro a los servicios sanitarios.

    Resultado 1: Análisis y evaluación del impacto de la violencia en la salud pública y la capacidad de prestación de servicios de salud a comunidades y niveles institucionales desarrollado y validado por las autoridades nacionales. Se establecerá un grupo interinstitucional y 3 multisectorial para el análisis del impacto de la violencia en las instituciones de salud pública, por medio de una herramienta de evaluación rápida, complementaria al ISH, que será aplicada a los hospitales, para identificar las vulnerabilidades y medidas de mejora.

    Resultado 2: Intervenciones demostrativas implementadas para fortalecer la capacidad de atención de la salud en los establecimientos más críticos situados en zonas propensas a la violencia. Intervención correctiva focalizada en componentes funcionales y no estructurales para mejorar la capacidad de prestación de servicio y seguridad del personal y los pacientes; la revisión y capacitación del personal de salud sobre los protocolos y procedimientos institucionales para el manejo de lesiones y la prestación de apoyo psicosocial relacionados con la violencia; identificación y promoción de rutas seguras de acceso a los servicios de salud en zonas de violencia

    Resultado 3: Lecciones aprendidas del proyecto documentadas y sistematizadas las experiencias y recomendaciones para facilitar la replicación en otras áreas propensas a la violencia. Este resultado comprenderá la organización de talleres de evaluación y lecciones aprendidas con expertos y líderes involucrados en las intervenciones del proyecto en cada país, para lo que se harán reuniones binacionales, y se producirá un documento con los resultados, buenas prácticas y recomendaciones del proyecto con las autoridades nacionales, socios y donantes potenciales para expandir la cobertura de la iniciativa.

    Objetivos de la Sistematización

    De acuerdo a las actividades del proyecto DIPECHO, la OPS/OMS realizará una sistematización de las lecciones aprendidas resultantes de la implementación del proyecto. La sistematización del proyecto permitirá consolidar lecciones aprendidas resultantes de la implementación de las actividades del proyecto, los resultados obtenidos y el impacto que en alguna medida ha sido alcanzado por el proyecto en Honduras y El Salvador, a fin de establecer una estrategia de seguimiento y replicabilidad en otras instalaciones de salud en dichos países, así como en otros países de la región. El objetivo general de la Sistematización es analizar y consolidar las lecciones aprendidas en la implementación de las actividades, el logro de los resultados y el impacto que el proyecto haya podido generar en los países participantes en la iniciativa. De forma diferenciada, analizar cómo cada uno de los países ha llegado a los resultados, las buenas prácticas y aquellas prácticas que deben ser corregidas o ajustadas para lograr establecer una estrategia de trabajo consolidada con capacidad de replicabilidad y escalabilidad de acuerdo a la situación y contexto de los diferentes países de la región.

    Metodología de la Sistematización

    Fase preparatoria

    Desarrollo de una metodología que integrará el análisis de documentos como la preparación de herramientas para recabar la información tanto de:

    • Funcionarios de la OPS/OMS a nivel subregional y de los países involucrados (Honduras y El Salvador)

    • Revisión de la documentación existente, incluyendo el documento del proyecto e informes de actividad,

    • Desarrollo de las herramientas metodológicas para recabar la información Fase de recabar información para la sistematización de las experiencias

    Esta fase estará marcada por:

    1) Entrevistas y discusiones con: Equipo de implementación de proyectos, Grupos destinatarios, autoridades nacionales de ambos países y autoridades de los hospitales, Cruz Roja Hondureña y Cruz Roja Salvadoreña

    2) Revisión de las diversas herramientas desarrolladas: Herramientas de evaluación, Material didáctico, Folleto de referencia, Los diferentes planes desarrollados e Informes El consultor coordinará con el equipo en el campo para realizar las reuniones con los diferentes actores.

    Fase de reporte Estará marcada por:

    • Redacción del primer informe en español;

    • Presentación del proyecto de informe a la OPS/OMS con el fin de recabar comentarios y recomendaciones;

    • Una sesión de información de la OPS/OMS sobre el primer informe presentado • La producción y transmisión del informe final en español que incorpore los comentarios y enmiendas de la organización.

    Selección del Consultante

    Dada la naturaleza binacional de este proyecto y la importancia de su componente de salud pública, el consultor tendrá que justificar:

    • Dominio de idioma español y conocimiento básico del inglés

    • Un conocimiento del sistema de salud de Honduras y El Salvador

    • Conocimiento de temas de violencia que afectan la accesibilidad a los centros de Salud en ambos países

    • Comprensión del concepto de resiliencia aplicado al sistema de salud y a las estructuras sanitarias seleccionadas como blanco en este proyecto 5 El consultor también tendrá que justificar una experiencia en:

    • Sistematización de experiencias y buenas prácticas de proyectos

    • Facilitar reuniones y talleres, desarrollo de metodologías y herramientas para recabar información y establecer conclusiones con base en participación de diversos actores involucrados en el proceso.

    • Preparación de informe consolidado y con un esquema amigable y entendible.

    • Gestión de la salud

    • Evaluación de las instalaciones de salud Un conocimiento previo de la iniciativa de hospitales seguros es deseable.

    Proposición Técnica y Financiera y Duración Los candidatos interesados en esta consulta deberán presentar los siguientes elementos:

    • Carta de intención y compromiso, expresando su disposición e interés en realizar la consultoría (máximo una página)

    • Un CV

    • Proposición financiera a todo costo (inclusive pasajes y movilización a países) con un techo de hasta $9,000 dólares americanos

    • La OPS/OMS otorgar el 30% del total como avance para gastos de movilización contra la aprobación de la fase preparatoria. El contrato tendrá una duración de hasta 52 días a partir de la firma del contrato y hasta el 11 de diciembre con la aprobación final del producto.

    How to apply:

    La fecha límite para la presentación de propuestas es el 9 de octubre de 2017 al correo santande@paho.org y en copia a barrazalor@paho.org .

    El Salvador: Evaluación de proyecto: Fortalecimiento del acceso a servicios de salud seguros y resilientes en áreas propensas a violencia de honduras y el salvador

    Organization: Pan American Health Organization
    Country: El Salvador, Honduras
    Closing date: 09 Oct 2017

    Antecedentes y contexto

    El Triángulo Norte de América Central (TNCA) es considerada como una de las regiones sin conflictos más violentas del mundo, debido a las tasas epidémicas de homicidios, según los niveles establecidos por la Organización Mundial de la Salud. Las causas de la violencia están principalmente en factores como el conflicto entre maras y pandillas para el control territorial y reclutar a jóvenes; Intolerancia social; Violencia familiar o feminicidios. Los tres países de la TNCA (Guatemala, El Salvador y Honduras) totalizaron 15.727 homicidios en 2014 y 17.422 en 2015. Honduras ha mantenido el primer lugar en índices de violencia global en los últimos años, alcanzando la tasa más alta de homicidios de 193.4 para la ciudad de San Pedro Sula en 2013; Aunque la tasa nacional de homicidios ha experimentado una disminución constante en los últimos 3 años. El 2015 fue considerado el año más violento en la historia de El Salvador, con 6.657 homicidios (113 casos por 100.000 habitantes), mientras que Honduras reportó un total de 5.092 homicidios (59 / 100.000).

    Objetivos del Proyecto

    Objetivo General:

    Fortalecer el acceso a servicios de salud seguros y resilientes en contextos de violencia.

    Objetivo específico: Fortalecer la capacidad y seguridad de prestación de atención en salud en zonas propensas a la violencia, a través del diagnóstico del impacto de la violencia en los servicios de salud, la demanda de atención sanitaria en hospitales y el fortalecimiento de las funciones y componentes no estructurales de seguridad hospitalaria para mejorar el acceso seguro a los servicios sanitarios

    Resultado 1: Análisis y evaluación del impacto de la violencia en la salud pública y la capacidad de prestación de servicios de salud a comunidades y niveles institucionales desarrollado y validado por las autoridades nacionales. Se establecerá un grupo interinstitucional y multisectorial para el análisis del impacto de la violencia en las instituciones de salud pública, por medio de una herramienta de evaluación rápida, complementaria al ISH, que será aplicada a los hospitales, para identificar las vulnerabilidades y medidas de mejora.

    Resultado 2 : Intervenciones demostrativas implementadas para fortalecer la capacidad de atención de la salud en los establecimientos más críticos situados en zonas propensas a la violencia. Intervención correctiva focalizada en componentes funcionales y no estructurales para mejorar la capacidad de prestación de servicio y seguridad del personal y los pacientes; la revisión y capacitación del personal de salud sobre los protocolos y procedimientos institucionales para el manejo de lesiones y la prestación de apoyo psicosocial relacionados con la violencia; identificación y promoción de rutas seguras de acceso a los servicios de salud en zonas de violencia.

    Resultado 3: Lecciones aprendidas del proyecto documentadas y sistematizadas las experiencias y recomendaciones para facilitar la replicación en otras áreas propensas a la violencia. Este resultado comprenderá la organización de talleres de evaluación y lecciones aprendidas con [Pick the date] 4 expertos y líderes involucrados en las intervenciones del proyecto en cada país, para lo que se harán reuniones binacionales, y se producirá un documento con los resultados, buenas prácticas y recomendaciones del proyecto con las autoridades nacionales, socios y donantes potenciales para expandir la cobertura de la iniciativa.

    Propósito y Objetivos de la Evaluación

    De acuerdo con los procedimientos de gestión de proyectos de DIPECHO, la OPS/OMS está realizando una evaluación final del proyecto. La realización de esta evaluación se inscribe como una actividad de pleno derecho en el documento del mismo. La elección de una evaluación externa ha sido privilegiada para asegurar la independencia, imparcialidad y credibilidad del proceso. El objetivo general de la evaluación final es medir el nivel de resultados alcanzados en relación con los previstos en el proyecto. También tendrá la oportunidad de evaluar la estrategia adoptada y de clarificar las medidas correctivas que deben aplicarse para permitir su replicación en otros establecimientos en ambos países y a nivel regional.

    Periodo de Tiempo Abarcado por la Evaluación

    La evaluación abarcará el cumplimiento de los resultados, actividades y objetivos establecidos en el proyecto, para su implementación durante los pasados 18 meses de ejecución del proyecto; a partir de mayo 2016 y hasta inclusive el 14 de octubre 2017, en los hospitales en Honduras (Hospital Escuela Universitarios, Hospital de Especialidades Dr. Mario Catarino Rivas y el Hospital General del Progreso) y en El Salvador (Hospital Zacamil en Mejicanos, Hospital Nacional de la Mujer de San Salvador y Hospital Nacional General y de Psiquiatría de Soyapango). VI. Usuarios de la Evaluación Los usuarios directos de la evaluación son el Departamento de Emergencias en Salud de la OPS/OMS, Ministerios de Salud de Honduras y El Salvador y el Departamento de Ayuda Humanitaria y Protección Civil de la Unión Europea.

    Consultor o Equipo Evaluador

    Dada la naturaleza binacional de este proyecto y la importancia de su componente de salud pública, el consultor tendrá que justificar:

    • Dominio de idioma español y conocimiento básico del inglés • Un conocimiento del sistema de salud de Honduras y El Salvador

    • Conocimiento de temas de violencia que afectan la accesibilidad a los centros de Salud en ambos países

    • Comprensión del concepto de resiliencia aplicado al sistema de salud y a las estructuras sanitarias seleccionadas como blanco en este proyecto El consultor también tendrá que justificar una experiencia en:

    • Evaluación de proyectos basada en resultados

    • Gestión de la salud

    • Gestión de emergencias médicas a nivel pre y hospitalario

    • Evaluación de las instalaciones de salud Un conocimiento previo de la iniciativa de hospitales seguros es deseable.

    Proposición Técnica y Financiera y Duración

    Los candidatos interesados en esta consulta deberán presentar los siguientes elementos: o Una nota de comprensión de los objetivos y cuestiones de evaluación, así como su disposición e interés en realizar la consultoría (máximo una página) o Un CV actualizado. o Proposición financiera a todo costo (inclusive pasajes y movilización a países) con un techo de hasta $9,000 dólares americanos

    La OPS/OMS otorgar el 30% del total como avance para gastos de movilización contra la aprobación de la fase preparatoria.

    El contrato tendrá una duración de hasta 90 días (3 meses) a partir de la firma del contrato y hasta el 15 de diciembre con la aprobación final del producto.

    How to apply:

    La fecha límite para la presentación de propuestas es el 9 de octubre de 2017 al correo santande@paho.org y en copia a barrazalor@paho.org .

    El sutil aleteo de la paz | Pablo Ruiz

    El pasado 15 de agosto asistimos a la dejación de armas de las FARC-EP, certificada por la ONU, y el 4 de septiembre celebramos el acuerdo alcanzado entre el Gobierno de Colombia y el Ejército de Liberación Nacional -ELN- para implementar un cese al fuego bilateral y temporal.

    Colombia: Evaluador independiente Proyecto Inclusión Económica Colombia

    Organization: Handicap International Belgium
    Country: Colombia
    Closing date: 15 Oct 2017

    Programa de inclusión laboral para personas vulnerables, en específico personas con discapacidad

    Fase1: (2014-2016) “Inclusión laboral para personas con discapacidad, en los departamentos de Meta, Antioquia y Bolívar”

    Fase2:(2017) “Fortalecimiento de OPcD y de las redes institucionales para la Inclusión Socioeconómica de las PcD de la región del Ariarí-Guayabero, departamento del Meta”

    1. Informaciones generales

    1.1 Acerca de Handicap International

    Handicap International (HI) es una organización de solidaridad internacional, no gubernamental, independiente e imparcial, que interviene en contextos de pobreza y exclusión, conflictos armados y catástrofes naturales. Actúa junto a las personas con discapacidad y las poblaciones vulnerables, para responder a sus necesidades esenciales, mejorar sus condiciones de vida y promover el respeto de su dignidad y de sus derechos fundamentales. Desde su creación en 1982, la Federación HI compuesta por ocho asociaciones nacionales (Bélgica, Canadá, Francia, Alemania, Luxemburgo, Reino Unido, Suiza y Estados Unidos) ha puesto en marcha programas en más de 60 países.

    Handicap International en Colombia implementa proyectos desde 1998, en el ámbito de la rehabilitación con base comunitaria, apoyo a redes de personas con discapacidad y asistencia a Víctimas de Minas Antipersonal. Desde 2003 desarrolla proyectos de inclusión socioeconómica para las personas con discapacidad. Está apoyo se concretiza en 2 líneas de trabajo, el apoyo al acceso al empleo y el apoyo a la creación de autoempleo a través de micro emprendimientos. Las acciones de Handicap International se desarrollan en gran medida en zona rural con población vulnerable, en los departamentos de Antioquia, Cauca, Nariño, Bolívar y Meta con el apoyo de socios locales.

    1.2. Sobre Handicap International en el país

    El programa de HI en Colombia, en colaboración con socios locales, trabaja hacia un cambio global de mejorar el acceso a los servicios para todos y todas y promover una sociedad más inclusiva. En la continuidad y cierre del precedente programa 2014-2016, y en línea con las prioridades de la cooperación belga y la estrategia de HI en Colombia, la intervención 2017-2021 está enfocada a fortalecer las capacidades locales para potenciar la productividad y la capacidad de ingresos de la población vulnerable en zonas rurales, en particular las personas con discapacidad, con enfoque de género, en tres municipios de la región del Ariarí-Guayabero, en el departamento de Meta. La estrategia cuenta con tres ejes: 1. El desarrollo de proyectos de emprendimiento y acceso al empleo, con enfoque de derechos y de desarrollo sostenible, mejorando la calidad de vida de los beneficiarios en condiciones de igualdad. 2. La coordinación de los servicios locales para dar continuidad al proceso de inclusión socio económica de las personas con discapacidad y/o vulnerables en el marco de la política nacional. 3. El acompañamiento a los servicios locales para que sean más inclusivos y favorezcan los procesos de inclusión socioeconómico de las personas con discapacidad y/o vulnerables. La estrategia de intervención está basada en el fortalecimiento y la capacitación de los actores locales (autoridades, servicios, usuarios), y la generación de alianzas entre centros de formación, agencias de empleo y entidades financieras.

    1. Contexto de la evaluación

    2.1 Presentación del proyecto a evaluar

    Título del proyecto (2014-2016) “Inclusión laboral para personas con discapacidad, en los departamentos de Meta, Antioquia y Bolívar” (2017) “Fortalecimiento de OPcD y de las redes institucionales para la Inclusión Socioeconómica de las PcD de la región del Ariarí-Guayabero, departamento del Meta” Fechas de ejecución Junio 2014 a Diciembre 2017 Localización/Zonas de intervención (2014-2016) Departamento de Antioquia (Turbo y Apartadó) Departamento del Meta (Granada) Departamento de Bolívar (Cartagena) (2017) Departamento del Meta (Lejanías, Vista Hermosa y San Juan de Arama) Socios operacionales Amigos con Calor Humando (ACH) – Fundación Ángeles del Ariari (FADA) y Fundación Para la Rehabilitación Integral (REI) Otras partes interesadas Secretarias de inclusión y alcaldías municipales y Organizaciones de Personas con Discapacidad (OPcD). Grupos destinatarios Las personas vulnerables de las zonas rurales: las personas con discapacidad, los jóvenes sin empleo, las madres cabeza de familia, los desplazados. Los profesionales y agentes públicos municipales, departamentales y nacionales de los servicios ligados al empleo (agencias de empleo, centros de formación, cooperativas de microfinanzas). Presupuesto del 2014-2016: 331.356 € proyecto 2017: 137.569 € Objetivos del proyecto (2014-2016)

    1. A finales de 2016, el 70% de las PCD beneficiarias han adquirido las habilidades necesarias para entrar en el mercado laboral (nivel de preparación, la autoestima …)
    2. Al menos el 50% de las personas que reciben acompañamiento personalizado logran implementar un proyecto de inserción profesional (que esten empleadas o hayan creado su propia microempresa) (2017)
    3. Fortalecer técnicamente a los socios locales, buscando mayor sostenibilidad y proximidad a los proyectos de generación de ingresos.
    4. Apoyar la generación de alianzas entre actores locales, como centros de formación, agencias de empleo y entidades financieras.
    5. Validar la ruta de inclusión socio económico y las mejores prácticas para el autoempleo y la empleabilidad. Resultados esperados e (2014-2016) indicadores R1/ El entorno familiar y la comunidad, desempeñan un rol facilitador para la inclusión laboral de las personas con discapacidad (PcD). R2/ Los servicios de formación profesional favorecen la inclusión de las personas con discapacidad (PcD) R3/ Los servicios locales de inclusión laboral y las organizaciones de personas con discapacidad (OPD) ofrecen un apoyo efectivo a las PcD que están en búsqueda de empleo. R4/ La coordinación e intercambios entre los actores, se potencian a nivel nacional y regional (2017)

      R1/ Las personas con discapacidad y/o vulnerables (ejemplo: sobrevivientes de minas, jóvenes rurales, madres cabeza de familia, desplazados) desarrollan proyecto de emprendimiento y acceden a empleos que mejoran su calidad de vida en condiciones de igualdad. R2/ La coordinación de las estructuras locales permite dar continuidad al proceso de inclusión socio económica de las PCD en el marco de la política pública de discapacidad e inclusión social nacional. R3/ Las estructuras locales son más inclusivas/adaptadas y favorecen el desarrollo de las capacidades de las PCD y sus procesos de inclusión socio económico. Principales actividades 2017 • Identificación de las personas con discapacidad. A través de los socios ACH, Fundación FADA y Fundación REI, las principales agencia de empleo locales COMFENALCO y COFREM, las Secretarias de Inclusión Municipales y/o el SENA. • Acompañamiento social personalizado, perfilamientos ocupacionales de las PcD (valoraciones por competencias) e identificación de los proyectos personalizados. • Talleres de formación para el desarrollo de habilidades y competencias sociales, de emprendimiento y empleabilidad para las PcD, incluyendo sensibilización al ahorro. • Formulación de proyectos de generación de ingresos a nivel individual o colectivo • Talleres de sensibilización y negociación con entidades del sector financiero, para la inclusión financiera de las unidades productivas y de los proyectos individuales. • Apertura de cuentas bancarias para la adquisición de créditos • Selección de los proyectos y apoyo al montaje de unidades productivas asociativas e individuales en infraestructura y equipamiento. • Diagnóstico de las necesidades de las PcD en términos de adaptaciones de puestos de trabajo y herramientas inclusivas. • Mapeo de actores realizado por municipio. Diagnóstico de debilidades y fortalezas de actores locales (Cajas de Compensación y sus agencias de empleo, centros de formación: SENA, empresas, cooperativas, entidades financieras, etc.). • Talleres de coordinación para mejorar la colaboración entre los actores ISE/ estructuras locales e implementación de comité directivos, uno al nivel institucional, y unos al nivel operacional local. • Definición e implementación de una ruta inclusiva para el acceso al empleo de las PCD (con la principal agencia de empleo local COMFENALCO y COFREM) • Talleres de intercambio y sistematización de la ruta de inclusión a nivel nacional. • Refuerzo de la capacidad local de los actores sobre la discapacidad: Talleres de información y sensibilización para la inclusión de las PCD en los servicios existentes. • Diagnósticos de actores (centros de formación, agencias de empleo e instituciones financieras) sobre la inclusión de las PcD (capacidades, debilidades, barreras). • Elaboración con cada uno de los actores de un plan de acción para que se vuelvan más inclusivos: proceso de selección, de acompañamiento y de evaluación; accesibilidad (física, in-formación y comunicación), actitudes, políticas internas, metodología y herramientas para la capacitación. • Apoyo a la implementación del plan de acción: talleres de formación para cambiar las prácticas profesionales, adaptación de los currículos, ajustes razonables en infraestructura y equipa-miento a centros de formación y de empleo. Antecedentes en términos de seguimiento y evaluación En febrero del año 2015 se hizo una evaluación interna de proyecto por parte de la referente técnica de inclusión laboral de la sede de Handicap International (Gaétane BLEHER) con el objetivo de conocer el contexto del proyecto (actores involucrados, beneficiarios y metodologías de intervención), conocer las relaciones establecidas con los socios del proyecto (roles y responsabilidades). Hacer aportes en herramientas y metodologías de intervención para los dos componentes (empleabilidad y emprendimiento). En la ejecución del proyecto se cuenta con: • Informes trimestrales y anuales de avances del proyecto. • Herramienta Excel de Planificación, Seguimiento y Evaluación • Base de datos de beneficiarios • Fuentes de verificación • Informe de evaluación interna de la Referente Técnica (Gaétane BLEHER)

    2.2 Justificación de la evaluación

    Como compromiso ligado a su política de Planificación, Monitoreo y Evaluación, HI definió que los proyectos de más de dos años deben recibir una evaluación externa, con el fin de aprender, rendir cuentas y medir la calidad de los proyectos que se implementan por la organización. Se espera que este proceso de evaluación contribuya a la identificación de los resultados en el desarrollo de las acciones adelantadas por HI y sus socios y en una oportunidad para identificar las buenas prácticas que merecen ser replicables en la ruta de inclusión socioeconómica para el autoempleo y la empleabilidad para con las personas con discapacidad, con un enfoque especial en las zonas rurales del país.

    Los principales destinatarios de la evaluación serán: las comunidades que fueron sujetas de la intervención, las PcD y sus familias, los/as cuidadores/as y las OPcD. La red local de prestación de servicios, como cajas de compensación, centros de formación y micro financieras, los socios que participaron en el desarrollo del proyecto y el equipo de Handicap International en Colombia y en otras partes del mundo. También, el donante, la Dirección General de la Cooperación para el desarrollo de Bélgica es destinataria del informe final incluyendo las buenas prácticas.

    1. Objetivos de la evaluación

    3.1 Objetivos y aspectos esperados de la evaluación

    Objetivo General: Identificar los logros, las dificultades y los alcances obtenidos en el proyecto titulado “Inclusión laboral para personas con discapacidad, en los departamentos de Meta, Antioquia y Bolívar” y su segunda fase: el proyecto “Fortalecimiento de OPcD y de las redes institucionales para la Inclusión Socioeconómica de las PcD de la región del Ariarí-Guayabero, departamento del Meta”, entre las vigencias 2014 y 2017, teniendo en cuenta los criterios de calidad establecidos por Handicap International en su política de planeación, seguimiento y evaluación, de manera que permita:

    • Proporcionar una visión de la inclusión laboral formal e informal, de acuerdo a información de contexto y de la experiencia de Handicap durante la ejecución de este proyecto, en las zonas rurales de los departamentos de intervención, generando recomendaciones para futuras intervenciones y en articulación con los programas nacionales de atención para las personas con discapacidad. • Recopilar las lecciones aprendidas del proceso y las buenas de intervención y cómo estas contribuyeron en el mejoramiento de la calidad y accesibilidad de los servicios.

    • Evaluar la integración de los socios involucrados en el desarrollo del proyecto para el alcance de los resultados y la sostenibilidad del proceso en el largo plazo. • Identificar propuestas para la política gubernamental sobre la inclusión laboral de personas con discapacidad.

    3.2 Objetivos específicos

    • Hacer un análisis cuantitativo y cualitativo sobre el logro de los indicadores, los objetivos, los resultados y a nivel de las actividades definidos en el marco lógico, así como de acuerdo con los criterios establecidos en el cuadro siguiente. • Evaluar en qué medida se alcanzaron los productos y resultados previstos, en relación a la generación de medios de vida a través del autoempleo y a empleabilidad de PcD. El evaluador debe identificar todos los impactos registrados, incluyendo aquellos no intencionados y compararlos con los impactos previstos. • Evaluar la apropiación de los beneficiarios en el desarrollo de las actividades, tales como: comunidades locales (OPcD, PcD y sus familias, Cuidadoras/es, red de prestadores de servicios) y autoridad locales y regionales. • Evaluar el valor añadido del proyecto con respecto a otros programas para la inclusión laboral de personas con discapacidad • Evaluar y hacer retroalimentación sobre las buenas prácticas y lecciones aprendidas del proyecto, en relación con la ruta de inclusión socio laboral, que se ha ido construyendo durante la ejecución del proyecto.

    3.2 Criterios de evaluación y preguntas de evaluación

    Política de Planificación, Seguimiento y Evaluación Criterios de Calidad HI

    Relevancia
    El proyecto responde a las prioridades demostradas y se adapta al contexto de la intervención

    Necesidades El proyecto cumple con las exigencias y necesidades de los beneficiarios y contribuye a la consecución de las prioridades de otras partes interesadas (autoridades, socios, donantes …). De qué manera las intervenciones del proyecto responden a las necesidades prioritarias de los beneficiarios? De qué manera los actores y los recursos humanos movilizados tienen en cuenta las necesidades de los usuarios y la pertinencia de cada una de ellos (o necesidades de fortalecimiento de algunos de ellos)?

    Contexto El proyecto se ajusta a sus acciones de acuerdo con el contexto de la intervención (determinantes socio-culturales e históricos, de seguridad, las limitaciones logísticas, reguladora …) y su evolución. Los procesos implementados y los productos tienen en cuenta las diferencias culturales,poblacionales y educativos de la población objeto (enfoque especifico en zonas rurales)?

    Cambios El proyecto está dirigido a los cambios positivos a corto, mediano y / o largo plazo para los grupos objetivo.

    Impacto El proyecto contribuye a la consecución de los efectos positivos a largo plazo en la vida de los beneficiarios y sus familias. ¿Cómo el proyecto ha contribuido en la a mejorar la calidad de vida de los beneficiarios del proyecto en las zonas de intervención del proyecto? ¿Están comprometidos los beneficiarios, los prestadores de servicios y los socios en la concepción, gestión y sostenimiento del proyecto? ¿Cuenta el proyecto con el apoyo político suficiente a nivel local y departamental?

    Capacidades
    El proyecto contribuye a fortalecer las capacidades internas y externas.

    Autonomía El proyecto ayuda a la creación de capacidades de los actores locales y apoyarlos hacia la autonomía al final del proyecto. ¿La metodología y los aspectos técnicos aplicados por el proyecto pueden ser asumidas por los beneficiarios sin grandes problemas?

    Competencias El equipo del proyecto y los socios desarrollan las habilidades necesarias para la ejecución del proyecto. Están formados los equipos y los socios en términos técnicos y de gestión para dar continuidad con los servicios del proyecto?

    Sostenibilidad El proyecto respeta los principios éticos universales y aplica los valores de Handicap International.

    Continuidad La intervención ha respondido a las necesidades identificadas de las poblaciones y / o el proyecto proporciona una transferencia a otros actores que pueden seguir la acción.

    Resilencia El proyecto contribuye a reducir la vulnerabilidad de las poblaciones objetivo y aumenta su capacidad de respuesta. GESTIÓN
    Administracion El proyecto cuenta con la capacidad de gestión adecuada.

    Organización Los equipos de proyectos y equipos de apoyo (HI) y socios conocen sus funciones y proporcionan su contribución (operacional, financiera ..) en un momento apropiado, costo y calidad. ¿Están asignadas con claridad las responsabilidades de los equipos ejecutores para la ejecución de las actividades? Efectividad El proyecto logra sus objetivos con éxito

    Viabilidad El proyecto cuenta con los recursos necesarios (humanos, financieros, logísticos, técnicos …) para alcanzar sus objetivos.

    Coherencia Los resultados contribuyen a la consecución de los objetivos del proyecto. ¿Cuál es el peso que tienen los factores externos que afectan a los resultados y a los objetivos específicos del proyecto?

    Eficiencia
    El proyecto hace un uso óptimo de los recursos (humanos, financieros, logísticos, técnicos …).

    Estrategia El tipo de intervención propuesto alcanza los resultados esperados en el costo más bajo. ¿Se están alcanzando los productos o resultados esperados a un costo aceptable?

    Flexibilidad El proyecto es flexible y se adapta a las necesidades cambiantes y riesgos (limitaciones y oportunidades). ¿Todas las actividades han sido esenciales para la consecución de los resultados?

    ACTORES

    Cooperación
    Los socios del proyecto están activamente involucrados

    Participación Los socios son informados regularmente y están involucrados en los procesos de toma de decisiones relacionados con la dirección y ejecución del proyecto.

    Resultado
    Los socios están contribuyendo activamente a los beneficios del proyecto.

    Sinergias El proyecto es coherente con su entorno e interactúa positivamente con otras partes interesadas.

    Cooperación El proyecto es aceptado por los principales grupos de interés y está buscando activamente su participación.

    Complementariedad El proyecto está en coherencia con otras intervenciones para asegurar una respuesta integral a las múltiples y cambiantes necesidades de los grupos destinatarios.

    1. Metodología de la evaluación (1 página como máximo)

    4.1 Método de colecta

    Se propone que la colecta de información sea cualitativa y cuantitativa, de la siguiente manera:

    • Revisión de documentos del proyecto. • Entrevistas con el equipo de HI (Jefe de proyecto, coordinadora, servicios soportes) y socios del proyecto (FADA,Fundación REI y Amigos con Calor Humano) • Talleres con los destinarios de las acciones (OPcD, PcD sus familias, y cuidadoras/es) • Entrevistas con profesionales de centros de formación, agencias de empleo, microfinancieras y autoridades locales. • Análisis de bases de datos generadas por el proyecto.

    4.2 Datos disponibles • Proyecto narrativo • Informes trimestrales y anuales del proyecto. • Base de datos de los beneficiarios del proyecto. • Informe de la evaluación interna del proyecto • Material de trabajo construido en el marco del proyecto. • Fuentes de verificación de los indicadores (fotos, registros de presencia, relatorías, videos, etc.)

    4.3 Actores implicados en la evaluación

    • Handicap International – Colombia. Organización principal en la ejecución del proyecto. Encargado de coordinar y velar por el cumplimiento de los objetivos y la ejecución presupuestal de la acción. • Socios locales: o Amigos Con Calor Humano – ACH o Fundación Ángeles del Ariari – FADA o Fundación Para la Rehabilitación Integral – REI • Contrapartes: o Universidad Minuto de Dios de Apartadó o OPcD o Caja de Compensación COFREM del Meta o Caja de Compensación COMFENLACO Bolivar o SENA o Cooperativa CONGENTE del Meta o Escuela de Artes y Oficios de Cartagena – ETCAR o Actuar por Bolívar o Juntas de Acción Comunales

    • Población participante: Las personas vulnerables, las personas con discapacidad, los jóvenes, mujeres y hombres en las zonas rurales, las madres cabeza de familia, los desplazados. Los profesionales y agentes públicos municipales, departamentales y nacionales de los servicios ligados al empleo (agencias de empleo, centros de formación, instituciones de microfinanzas).

    1. Principios y valores

    • Confidencialidad: Se debe guardar respeto por todas las personas involucradas en los procesos, como parte de los parámetros éticos, manteniendo confidencialidad de la información suministrada y recolectadas , en especial, si implica a las personas con discapacidad, sus familias y personas que trabajan por la reivindicación de sus derechos. • Objetividad, Neutralidad e Independiente: La evaluación debe ser objetiva, neutral e independiente, centrada en los hallazgos verificables. El evaluador debe mantener siempre control e independencia respecto de los mecanismos e instrumentos de investigación, impidiendo cualquier limitación contraria. • Multidimensional: El evaluador deberá recoger y combinar información de diferentes fuentes, procesos y resultados que permita la comparación de los datos y la incorporación de información procedentes niveles del ciclo de la acción y su incidencia sobre los resultados alcanzados. • Participación: El evaluador debe garantizar que en la sistematización que las opiniones de todos los actores involucrados en el proceso. Dada la pluralidad de actores se deberá poner en prácticas metodologías apropiadas y diferenciales. • Política de protección a la infancia: La presente política tiene como objetivo la protección de los niños ante cualquier abuso o maltrato intencional o no intencional. Esta política se aplica tanto a Handicap International, como a sus colaboradores, personal local o expatriado, en relación con los niños con quienes tratan. Handicap International pondrá especial atención en la acción de sus socios en relación con la dignidad de los niños. • Política de protección de beneficiarios contra la explotación y el abuso sexual: A través de esta política, Handicap International muestra su determinación para combatir la explotación y los abusos sexuales de beneficiarios cometidos sobre los beneficiarios por parte del personal humanitario, y para implementar una serie de medidas para reducir el riesgo en sus programas, cualquiera sea el contexto. • Política contra el fraude y la corrupción: En el marco de su misión y sus actividades, Handicap International debe protegerse contra los riesgos de malversación de sus recursos, financieros y materiales, particularmente contra el fraude y la corrupción • Política de género: Handicap International aplica en todas sus acciones un principio ético de referencia: el principio de no-discriminación. Este principio se refiere al compromiso de la asociación al lado de las personas en situación de discapacidad y por la igualdad de oportunidades. • Política de seguridad: El evaluador deberá adoptar la política de seguridad zona suroccidente que tiene HI – Colombia.

    1. Entregas esperadas y calendario propuesto

    6.1 A entregar

    Entregable. Descripción.

    1 Memorias del trabajo de campo. Es el resultado del trabajo de campo e incluye las primeras valoraciones de evaluación. Su entrega será en versión digital y contiene un soporte de retroalimentación. Se realizara un taller de retroalimentación al equipo coordinador del proyecto. 2 Borrador del informe final. El borrador se realizará teniendo en cuenta la estructura señalada para el informe. 3 Informe final. (Menor a 50 páginas) • Resumen ejecutivo. • Introducción.

    Capítulo 1: La evaluación del proyecto: Antecedentes de la evaluación, tipo de evaluación, objetivos de la evaluación y metodología de la evaluación. Capítulo 2: El modelo lógico de la intervención: Descripción del contexto de intervención, descripción del marco lógico de la intervención y descripción de los procesos realizados. Capítulo3: Hallazgos. Descripción de los logros a mediano y largo plazo obtenidos en la implementación del proyecto, descripción del nivel de cumplimiento de la política de planeación y seguimiento de HI en el marco del proyecto y descripción de los cambios de los beneficiarios del proyecto. (10 páginas)

    Capítulo 4: Conclusiones.

    Capítulo 5: Recomendaciones.

    Capítulo 6: Lecciones aprendidas, incluyendo la retroalimentación a la ruta de inclusión de empleabilidad y autoempleo.

    Anexos: Términos de referencia, Perfil del evaluador. Instrumentos, técnicas y fuentes utilizadas para recopilar la información (Revisión documental: listado de fuentes secundarias utilizadas; Entrevistas: listado de informantes, guion de entrevista, transcripciones y notas; Encuestas: modelos, datos brutos recopilados y análisis estadístico). Resumen de las actividades realizadas en el estudio de campo. Otros documentos producidos en el proceso de evaluación.

    6.2 Fechas y calendarios de la evaluación

    La evaluación se realizara durante 5 semanas del mes de Noviembre. Se estima dos semanas de trabajo de campo (según propuesta técnica).

    ETAPA FECHA INICIO FECHA FIN Revisión Documentaria 1 de Noviembre 5 de Noviembre Trabajo de Campo (Meta) 6 de Noviembre 8 de Noviembre Trabajo de Campo (Cartagena) 9 de Noviembre 10 de Noviembre Trabajo de Campo (Apartadó) 13 de Noviembre 15 de Noviembre Informe Intermedio 16 de Noviembre 19 de Noviembre Retroalimentación 20 de Noviembre 24 de Noviembre Informe Final 26 de Noviembre 30 de Noviembre

    1. Medios

    7.1 Peritaje del o de los consultante(s)

    • El evaluador consultor deberá: o Tener experiencia previa de evaluación de proyectos similares, es deseable que tenga experiencia específica en atención a población con discapacidad y/vulnerable en contexto de ruralidad, dispersión geográfica y generación de medios de vida (autoempleo y empleabilidad). o Tenga experiencia / conocimiento en el ámbito de la discapacidad con enfoque de derechos, género y poblacional. o Tener conocimiento y habilidades en la gestión del ciclo de proyectos y enfoque de Marco Lógico. o Tener competencias lingüísticas en español.

    7.2 Presupuesto asignado a la evaluación El presupuesto será concertado de acuerdo a la propuesta económica recibida para la ejecución de la evaluación entre el candidato seleccionado y HI-Colombia.

    1. Licitación de las ofertas

    Las propuestas deberán incluir:

    • Hoja de vida • Propuesta técnica y metodológica (incluyendo plan de acción) para llevar a cabo la evaluación. • Las referencias de evaluaciones previas que haya realizado. • La propuesta económica.

    El proceso de selección tomará en cuenta los siguientes puntos de la tabla de evaluación: Ítem de Evaluación Puntaje de Evaluación Conocimiento en el ámbito de la discapacidad con enfoque de derechos y género 10 Experiencia laboral reconocida en la materia a abordar (sujeta a verificación) 20 Experiencia anterior en evaluaciones similares 20 Calidad, coherencia, viabilidad y pertinencia de la propuesta técnica 30 Propuesta económica presentada 20

    How to apply:

    Direcciónyfechalímitedeenvío

    *Las propuestas se recibirán al correo jpise@handicap.org.co a más tardar el 15 de octubre de 2017. Favor indicar en el asunto: Eva Externa ISE DGD*