Pêche : des milliards engloutis faute de bonne gestion

14 février 2017 – Un nouveau rapport de la Banque mondiale, intitulé The Sunken Billions Revisited: Progress and Challenges in Global Marine Fisheries (a), confirme une intuition largement partagée : la surexploitation n’est pas une bonne façon de  gérer les ressources naturelles renouvelables comme les poissons si l’on souhaite pérenniser les profits, les emplois et la croissance lies à la pêche. À l’échelle mondiale, on estime à 83 milliards de dollars le manque-à-gagner pour le secteur halieutique en 2012 par rapport à un scénario optimal, en grande partie à cause de la surpêche. Ce rapport, qui s’appuie sur un modèle bioéconomique conçu par le professeur Ragnar Arnason, de l’université d’Islande, vient actualiser une étude publiée en 2009 par la Banque mondiale et la FAO intitulée The Sunken Billions: The Economic Justification for Fisheries Reform (a) En quantifiant précisément le manque-à-gagner potentiel pour les pêches maritimes mondiales, cette étude plaidait pour une amélioration urgente de la gouvernance du secteur et a permis de relancer la dynamique en faveur de la reconstitution des réserves de poissons. Depuis, la Banque mondiale et ses partenaires ont œuvré avec différents pays pour placer le secteur de la pêche sur une trajectoire plus durable. Voici un aperçu d’un certain nombre d’initiatives récentes ou en cours qui présentent différents éléments de solutions prometteuses. 

Los miles de millones hundidos del sector pesquero

14 de febrero de 2017. En un nuevo informe del Grupo Banco Mundial titulado The Sunken Billions Revisited ( “Los miles de millones hundidos”: Una nueva visión  (i) se confirma lo que muchos saben de manera intuitiva: la sobreexplotación no es una buena estrategia para gestionar un recurso natural renovable como las poblaciones de peces ni para producir beneficios económicos constantes, empleos seguros y crecimiento a largo plazo. El sector pesquero a nivel mundial perdió en conjunto alrededor de USD 83 000 millones en 2012, en comparación con un escenario de condiciones más óptimas, en gran parte debido a la pesca excesiva. El informe —en que se utilizó un modelo bioeconómico desarrollado por Ragnar Arnason, profesor de la Universidad de Islandia—, es una versión actualizada de un estudio publicado en 2009 por el Banco Mundial y la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO, por sus siglas en inglés) titulado The Sunken Billions: The Economic Justification for Fisheries Reform (Los miles de millones hundidos: La justificación económica para la reforma de la pesca). (i) El documento The Sunken Billions, al cuantificar de manera explícita los posibles beneficios económicos perdidos en el sector pesquero a nivel mundial, puso de relieve la urgencia de mejorar la gestión de la pesca marina y dio un impulso adicional a los esfuerzos en favor de la recuperación de las poblaciones de peces sobreexplotadas. Desde entonces, el Banco Mundial y sus asociados han colaborado con varios países para ayudarlos a lograr una gestión más sostenible de los recursos pesqueros. Los siguientes cinco casos son ejemplos de esfuerzos recientes o en curso para contribuir a un crecimiento más sostenible del sector pesquero.

Giving Oceans a Break Could Generate US$83 Billion in Additional Benefits for Fisheries

WASHINGTON,  February 14, 2017— Fishing less, and better, could  generate an additional $83 billion each year for the fisheries sector, creating a much-needed revenue stream in developing countries and improving global food security, according to a new World Bank Group report. The Sunken Billions Revisited, an update on a 2009 study, shows that reducing the global fishing effort would allow fish stocks to recover from overexploitation and lead to increases in the weight, value and price of fish landed, boosting the profitability of the fisheries sector from an estimated $3 billion a year to $86 billion. It would also lead to more fish being caught and landed, because stocks would have recovered to healthier levels, thus helping meet growing global demand for seafood and improving food security in many countries around the world. “This study confirms what we have seen in different country contexts: Giving the oceans a break pays off,” said Laura Tuck, World Bank Vice President for Sustainable Development. “Moving toward more sustainable fisheries management, through approaches that are tailored to local conditions, can yield significant benefits for food security, poverty reduction and long-term growth.” The bio-economic model used in The Sunken Billions Revisited,—developed by Ragnar Arnason, professor in the Faculty of Economics at the University of Iceland—treats the world’s marine fisheries as one large fishery. It examines the mismatch between the increasingly high level of effort put into fishing and stagnant or even declining fish catches, and calculates the incremental benefits that could be derived from global fisheries reform. The analysis reveals foregone economic benefits of about $83 billion in 2012, compared with what could be generated under the optimal scenario. This result is not statistically different from the sunken billions estimated for 2004, which were revised from an estimated $50 billion in the 2009 study to $88 billion in The Sunken Billions Revisited, based on improvements in the model, better data, and adjustment to 2012 dollars. Both figures emphasize the urgent need for reform and the important economic gains that could be made through a more sustainable management of the world’s fisheries. While the report makes a strong case for investing in the recovery of fish stocks, it does not prescribe a particular reform path. Reform experiences in countries and regions as diverse as Peru, Morocco, the Pacific Islands and West Africa show it is possible to reduce overfishing through locally appropriate reforms that ultimately improve the livelihoods and job security of coastal populations. Reducing the global fishing effort would allow biological processes to reverse the long-term decline in fish stocks seen in many parts of the world. About 90 percent of marine fisheries monitored by the Food and Agriculture Organization (FAO) are fully fished or overfished, up from about 75 percent in 2005. Fish stocks are also under pressure from pollution, coastal development, and the impacts of climate change.    The World Bank helps countries improve the management of their fisheries, invest in sustainable aquaculture, and manage competing pressures on coasts and oceans, to improve the livelihoods of coastal communities and put growth on a more sustainable and resilient footing.

En réduisant la pression sur les océans, le secteur de la pêche pourrait générer 83 milliards de dollars de gains supplémentaires

WASHINGTON, 14 février 2017 — Pêcher moins et mieux : un nouveau rapport du Groupe de la Banque mondiale chiffre à 83 milliards de dollars les gains supplémentaires que pourrait générer le secteur de la pêche, avec, à la clé, une source de revenu plus que bienvenue dans les pays en développement et une plus grande sécurité alimentaire dans le monde. Selon cette nouvelle publication, qui s’intitule en anglais The Sunken Billions Revisited et qui vient actualiser une précédente étude parue en 2009, la réduction de l’effort de pêche mondial permettrait de reconstituer des stocks de poissons aujourd’hui surexploités et d’accroître le poids, la valeur et le prix des prises, ce qui entraînerait une hausse de la rentabilité de 3 à 86 milliards de dollars par an pour le secteur de la pêche. Une fois les stocks ramenés à des niveaux plus salutaires, la quantité de poissons pêchés et débarqués pourrait augmenter, ce qui permettrait de faire face à la demande croissante de produits de la mer et d’améliorer la sécurité alimentaire dans de nombreux pays du monde. « Cette étude confirme ce que nous avons pu observer dans différents contextes nationaux : réduire la pression sur les océans, ça paye, indique Laura Tuck, vice-présidente de la Banque mondiale pour le développement durable. Une gestion plus durable de la pêche, mise en œuvre selon des modalités adaptées aux conditions locales, peut procurer des gains considérables sur le plan de la sécurité alimentaire, de la réduction de la pauvreté et de la croissance à long terme. »                                                                                                                    Le modèle bio-économique utilisé dans le rapport, qui a été mis au point par Ragnar Arnason, professeur à la faculté d’économie de l’université d’Islande, considère les pêcheries du monde dans leur globalité. Il étudie le déséquilibre entre les moyens mis en œuvre dans les activités de pêche, toujours plus élevés, et le niveau des prises, en stagnation voire en déclin, et calcule les gains supplémentaires que pourrait générer une réforme globale de la pêche. Cette analyse révèle un manque à gagner économique d’environ 83 milliards de dollars en 2012, par rapport à un scénario optimal. Ce résultat n’est pas statistiquement différent de l’estimation établie pour l’année 2004, qui a été revue à la hausse après l’étude parue en 2009 — de 50 à 88 milliards de dollars — à la suite des améliorations apportées au modèle, de l’utilisation de meilleures données et de calculs ajustés sur le dollar de 2012. Les deux estimations soulignent l’urgence de la réforme et l’importance des gains économiques que pourrait procurer une gestion plus durable des pêches dans le monde. Si le rapport plaide vigoureusement pour la nécessité d’investir dans la reconstitution des réserves halieutiques, il ne propose pas un chemin de réforme unique. De fait, les efforts entrepris dans des régions et des pays aussi divers que le Pérou, le Maroc, les îles du Pacifique et l’Afrique de l’Ouest montrent qu’il est possible de réduire la surpêche grâce des réformes adaptées au contexte local et qui permettent, au bout du compte, d’améliorer les moyens de subsistance des populations côtières et de sécuriser leurs emplois. La réduction de l’effort de pêche mondial permettrait aux processus biologiques d’inverser le déclin durable des stocks de poissons observé dans de nombreuses régions du globe. Environ 90 % des stocks de poissons qui font l’objet d’un suivi par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sont pleinement exploités ou surexploités, contre 75 % en 2005. Au problème de la surpêche, s’ajoutent en outre ceux de la pollution, du développement des littoraux et des effets du changement climatique.    La Banque mondiale aide les pays à mieux gérer leurs ressources halieutiques, à investir dans une aquaculture durable et à gérer les pressions antagonistes qui s’exercent sur les littoraux et les océans, afin d’améliorer les moyens de subsistance des populations côtières et de placer la croissance sur une trajectoire plus durable et résiliente.

تعافي مصائد الأسماك بالمحيطات يمكن أن يحقق 83 مليار دولار إضافية

واشنطن العاصمة، 14 فبراير/شباط 2017- أوضح تقرير جديد لمجموعة البنك الدولي أن من شأن منع صيد الأسماك الصغيرة أن يحقق 83 مليار دولار إضافية سنويا لقطاع مصائد الأسماك، مما يخلق إيرادات تمس الحاجة إليها في البلدان النامية ويحسن الأمن الغذائي العالمي.وتبين نسخة محدثة لدراسة أجريت في عام 2009، بعنوان "مراجعة المليارات الضائعة"، أن تقليل أنشطة الصيد العالمي من شأنه أن يتيح الفرصة للمخزون السمكي للتعافي من آثار الصيد الجائر، وسيؤدي إلى زيادة في أوزان الأسماك التي يتم صيدها وقيمتها وأسعارها، مما يزيد من ربحية قطاع مصائد السمكية من نحو 3 مليارات دولار أمريكي سنويا إلى 86 مليار دولار. كما سيؤدي إلى زيادة حصيلة صيد الأسماك، لأن المخزون سيكون قد تعافى إلى مستويات أكثر ملاءمة، مما سيساعد في تلبية الطلب العالمي المتنامي على المأكولات البحرية وتحسين الأمن الغذائي في العديد من البلدان في جميع أنحاء العالم.وعن ذلك، قالت لورا تاك، نائبة رئيس مجموعة البنك الدولي لشؤون التنمية المستدامة "تؤكد هذه الدراسة ما رأيناه في مختلف السياقات القُطرية: وهو أن إعطاء فرصة للمحيطات كي تسترد عافيتها يؤتي ثماره. ويمكن للتوجه نحو إدارة أكثر استدامة لمصائد الأسماك، من خلال اعتماد نُهج يتم تصميمها وفقا للظروف المحلية، أن يسفر عن تحقيق فوائد كبيرة للأمن الغذائي والحد من الفقر وتحقيق النمو على المدى الطويل".ويتعامل النموذج الحيوي الاقتصادي المستخدم في دراسة مراجعة المليارات الضائعة، الذي أعده راغنار آرناسون، الأستاذ بكلية الاقتصاد في جامعة أيسلندا- مع مصائد الأسماك البحرية في العالم على أنها مصيدة أسماك واحدة كبيرة، حيث يبحث عدم التطابق بين تزايد الجهود المبذولة في صيد الأسماك وبين ثبات حصيلة صيد الأسماك أو حتى تناقصها، ويحسب الفوائد الإضافية التي يمكن تحقيقها من إصلاح مصائد الأسماك في العالم.ويكشف التحليل عن فوائد اقتصادية ضائعة بلغت حوالي 83 مليار دولار في عام 2012، مقارنة مع ما يمكن تحقيقه في ظل السيناريو الأمثل. ولا تختلف هذه النتيجة من الناحية الإحصائية عن المليارات الضائعة التي تم تقديرها لعام 2004، والتي تم تعديلها من نحو 50 مليار دولار في دراسة عام 2009 إلى 88 مليار دولار في دراسة مراجعة المليارات الضائعة، على أساس تحسن النموذج والبيانات، وتعديلها وفقا للمبلغ بالدولار الأمريكي في عام 2012. ويؤكد كلا الرقمين الحاجة الملحة للإصلاح والمكاسب الاقتصادية الكبيرة التي يمكن أن تتحقق من خلال إدارة أكثر استدامة لمصائد الأسماك في العالم.وفي حين أن التقرير يقدم دليلا قويا على أهمية الاستثمار في تعافي المخزونات السمكية، فإنه لا يحدد مسارا معينا للإصلاح. وتشير تجارب الإصلاح في بلدان ومناطق مختلفة، مثل بيرو والمغرب وجزر المحيط الهادئ وغرب أفريقيا، إلى أنه من الممكن الحد من الصيد الجائر من خلال إصلاحات مناسبة للواقع المحلي تؤدي في نهاية المطاف إلى تحسين سبل العيش والأمن الوظيفي لسكان المناطق الساحلية.ومن شأن تقليل أنشطة الصيد العالمية السماح للعمليات البيولوجية أن يوقف تدهور المخزونات السمكية على المدى الطويل الذي شهدته أجزاء كثيرة من العالم، ومن ثم بدء تعافيه. لقد تم استغلال حوالي 90% من مصائد الأسماك البحرية بشكل كامل أو بشكل جائر، وهي المصائد التي رصدتها منظمة الأغذية والزراعة (الفاو)، وذلك ارتفاعا من نحو 75% في عام 2005. كما أن مخزونات الأسماك تخضع أيضا لضغوط التلوث، والتنمية الساحلية، وتأثيرات تغير المناخ.ويساعد البنك الدولي البلدان على تحسين إدارة مصائد الأسماك لديها، والاستثمار في الاستزراع السمكي المستدام، وإدارة الضغوط المتنافسة على السواحل والمحيطات، لتحسين سبل العيش للمجتمعات المحلية الساحلية ووضع النمو على مسار أكثر استدامة ومرونة.

La basura electrónica: Desechos que valen millones

¿Cada cuánto cambias de teléfono celular? Para 2018 se pronostica que los latinoamericanos generarán 4.800 kilotoneladas (kt) de basura electrónica o e-waste, lo que representa un 70% más que en 2009, por encima del 55% que se espera a nivel global, según un reporte de la GSMA y el Instituto de Estudios Avanzados sobre la Sostenibilidad de la Universidad de las Naciones Unidas (UNU-IAS). Pero la basura electrónica no incluye sólo los teléfonos móviles, ordenadores y aparatos domésticos, sino también equipos cuya existencia apenas se percibe, como los medidores de energía. Aunque sean pequeños, permanezcan ocultos en las casas y no contengan metales pesados, los medidores pueden causar riesgos ambientales y para la salud desde el momento en que son enviados a los vertederos. Por otro lado, son totalmente reutilizables y tienen potencial lucrativo si se eliminan correctamente y reciclan, en un esquema más conocido como logística inversa. Así se hizo en Brasil, el país latinoamericano que más produce e-waste: fueron más de 1,400kt en 2014, de acuerdo con la GSMA y el UNU-IAS. Una alianza entre el Banco Mundial y las Centrales Eléctricas Brasileñas (Eletrobras) en seis estados (Acre, Amazonas, Rondônia y Roraima, en el norte, y Alagoas y Piauí, en el noreste) hizo posible la subasta de medidores obsoletos, transformadores, cables y otros equipos para empresas de reciclaje. Con la venta, los operadores de energía locales recaudaron 5,4 millones de reales (1,7 millones de dólares) que será destinados a proyectos sociales. También se generaron más de 2 toneladas de materias primas recicladas. La iniciativa forma parte del proyecto Energía Más, que tiene como objetivo mejorar la calidad de transmisión y reducir los problemas de medición incorrecta y robo de electricidad, que cuestan a Brasil alrededor de 15.000 millones de reales (4.700 millones de dólares) al año. Elementos rastreables "En cada subasta, las empresas de reciclaje se han comprometido a destruir los medidores obsoletos, para poner fin a cualquier posibilidad de que sean reutilizados en la propia red de distribución, lo que agravaría los problemas", explica Christophe de Gouvello, director del proyecto en el Banco Mundial. "El destino final de estos elementos se hizo rastreable para que estuviéramos seguros de que el material no iría para un vertedero", añade. Gouvello destaca el interés que el mercado de reciclaje tuvo por los equipos, a pesar de que estaban en estados distantes de la mayoría de las empresas del sector. Para muchas de estas compañías, la subasta sirvió como motivación para organizarse y brindar mejores servicios. Una de ellas, Trafominas, se encuentra en Guaxupé, ciudad de 70.000 habitantes en Minas Gerais, sudeste brasileño. El fundador, Geovani Marques, se desempeñaba como pequeño comerciante de metales cuando decidió fundar la compañía en 2007. Marques aprendió que, para cerrar negocios importantes, tendría que reformar la planta de reciclaje y buscar certificaciones de gestión ambiental.

Peru: Sending Markets the Right Signals

Every year in August, Peru commemorates the National Day of the Elderly. With the average life expectancy of pensioners projected to reach 89 years, the segment of the population over the age of 60 is projected to reach 23 percent by 2050. That’s good news for the people of Peru, a culture where the elderly are greatly valued. And with one in three adults now participating in a private pension plan, they are financially more independent than a decade ago.    Pension funds are the prime buyers of government securities, which constitute about 50 percent of their assets. That leaves room for pension funds to invest the rest of their assets in higher yielding alternative asset classes, both domestically and overseas. Peru’s sound macroeconomic and debt management allowed its credit rating to improve over the past and its sovereign bonds are now rated investment grade (Moody’s, A3 and S&P, BBB+ as of 2016). Government securities are, thus, considered safe investment options for both residents and non-residents. Consistent sound stewardship of the government’s debt and risk management operations remains key for building resiliency to financial shocks. Peru’s Partnership with the World Bank: Improving Resilience to Financial Shocks As a long-term partner of Peru, the World Bank has supported the implementation of several economic and social reforms. After the global financial crisis of 2008, a key priority for the government was to reduce fiscal vulnerability to external shocks. The World Bank, through funding obtained from the Swiss State Secretariat for Economic Affairs (SECO), is supporting three complementary government initiatives focused on strengthening the government’s financial stability against natural disasters and financial shocks, while promoting infrastructure financing: ·         The Government Debt and Risk Management (GDRM) Program to strengthen Peru’s debt and risk management capacity and develop a liquid and efficient government securities market. ·         The Disaster Risk Management program aimed at building a robust legal framework and a financial strategy to manage the fiscal risks that arise in the event of a natural disaster. ·         The Capital Markets and Infrastructure Financing program aimed at further developing domestic capital markets and improving the infrastructure for financing public-private partnerships (PPPs).   The World Bank Treasury’s GDRM Program, the focus of this story, worked with the Peruvian Ministry of Finance and Economy on improving the debt management strategy –a rolling medium-term plan that outlines the preferred composition of the government debt portfolio. Peru’s debt management office was already publishing a three-year rolling-strategy document, but required an assessment of the quality of the strategy and expertise to improve some areas. Accessing the Best Experts in the Debt Management World The GDRM team started its assessment of the 2014-2017 debt management strategy by mobilizing world-class peer reviewers that included, the first director general of the UK’s Debt Management Office. The review pointed at two key areas for improvement: ·         The policy signals on the foreign currency versus domestic currency mix were ambiguous and could be better supported by a sound analysis of costs and risks. ·         There was a need to provide more clarity and transparency in the domestic issuance of government securities to investors. “The debt management strategy gives clear guidance to investors about the instruments the government will issue in the medium term, so that they have a clear idea of the environment they will be operating in,” said Antonio Velandia-Rubiano, Peru Task Team Leader, GDRM Program. “When investors have reliable information on future government issuances, there is a more competitive process and lower interest rates, which ultimately lower the cost of funding for the taxpayer.”      One of the key tasks of the GDRM team was to run cost-risk tradeoff simulations and train Peru’s debt management office’s middle office on running the simulations themselves to ensure sustainability once the GDRM team left. Through interviews with domestic investors, such as pension funds and banks, they uncovered problems related to the type of auctions, the auction calendar, and the number and size of benchmarks that impaired the functioning of the primary and secondary markets.  Today, the preparation and quality of the debt management strategy document is significantly improved. An Improved Debt Management Strategy Document In 2016, the debt management office issued a new strategy document, Estrategia de Gestión Global de Activos y Pasivos 2016-2019, which is much simpler and has clearer directions –now 43 pages, down from the previous 149. “We have changed our strategy document into a much more concise one, placing emphasis on the forward looking aspect of the strategy. We expect with this to better inform markets and citizens, making it much more transparent and effective.” said Rossana Polastri, Vice-Minister of Finance at the Ministry of Economy and Finance, Peru. Today, with the support of the GDRM Program, the Peruvian debt management office has the sound capability to design a medium-term debt management strategy. The new strategy document will help make the economy more resilient to financial shocks and give investors, such as private pension funds, clearer guidance for improving pension investment options for the benefit of citizens. 

El Perú envía señales correctas al mercado

Cada año en agosto, el Perú conmemora el Día Nacional del Adulto Mayor. Con una esperanza de vida promedio de 89 años para los pensionados, se proyecta que el segmento de la población de más de 60 años llegará al 23 por ciento de la población en el año 2050. Es una buena noticia para el pueblo peruano, una cultura donde los ancianos son muy valorados. Con uno de cada tres adultos que ahora participa en un plan de pensiones privado, ellos son financieramente más independientes que hace una década. Los fondos de pensiones son los principales compradores de títulos públicos, conformando estos últimos aproximadamente el 50 por ciento de sus activos. Esto deja espacio para que los fondos inviertan el resto de sus activos en otros productos, tanto nacionales como extranjeros, de mayor rendimiento. La sólida gestión macroeconómica y de deuda del Perú ha permitido que su calificación crediticia mejore, y sus bonos soberanos están ahora clasificados con grado de inversión (Moody’s, A3 y S&P, BBB+ desde 2016). Por lo tanto, los títulos del gobierno se consideran opciones de inversión seguras para residentes y no residentes. Una gestión efectiva de las operaciones de deuda y riesgo del gobierno sigue siendo clave para mejorar la capacidad de respuesta ante las crisis financieras. Alianza Perú – Banco Mundial para aumentar la capacidad de respuesta ante shocks financieros Como socio de largo plazo del Perú, el Banco Mundial ha apoyado la implementación de varias reformas económicas y sociales. Después de la crisis financiera mundial de 2008, una prioridad clave para el gobierno fue la de reducir la vulnerabilidad fiscal a los shocks externos. El Banco Mundial, con fondos provenientes de la Secretaría de Estado para Asuntos Económicos de Suiza (SECO), está apoyando tres iniciativas gubernamentales complementarias centradas en el fortalecimiento de la estabilidad financiera del gobierno frente a los desastres naturales y los shocks financieros:  • El Programa de Gestión de Deuda y Riesgo del Gobierno (GDRM), diseñado por el Banco Mundial e implementado por el MEF con el fin de fortalecer la capacidad de gestión de deuda y riesgo del Perú, y de desarrollar un mercado de valores gubernamentales líquido y eficiente;  • El Plan Nacional de Gestión de Riesgos de Desastres, diseñado para construir un marco regulatorio y una estrategia financiera robustos, para manejar los riesgos fiscales que surjan a raíz de un fenómeno natural catastrófico;  • El programa de Financiamiento de Infraestructura y Mercado de Capitales: dirigido a seguir desarrollando los mercados de capitales nacionales y mejorar la infraestructura para financiar asociaciones público-privadas (PPP). El Programa GDRM de la Tesorería del Banco Mundial, objeto de esta nota, permitió trabajar con el Ministerio de Finanzas y Economía (MEF) para mejorar su estrategia de gestión de deuda pública – un plan de mediano plazo de tres años, que describe la composición preferida de la cartera de deuda pública. La Dirección General de Endeudamiento y Tesoro Público ya publicaba este documento, pero requería apoyo para mejorar la calidad de la estrategia y conocimientos para perfeccionar algunas áreas en su ejecución. Apoyo de los mejores expertos en materia de gestión de deuda pública Los integrantes del equipo del Programa GDRM comenzaron su evaluación de la Estrategia de Gestión Global de Activos y Pasivos 2014-2017 convocando a expertos mundiales tales como el primer director general de la Oficina de Gestión de Deuda Pública del Reino Unido. La evaluación identificó las siguientes áreas que podían ser mejoradas:  • Las señales política sobre la composición del portafolio de deuda de divisas versus moneda local eran ambiguas y podrían ser mejor sustentadas con un análisis de costos y riesgos más robusto.  • Era preciso poner al alcance de los inversionistas información más clara y transparente en lo referente a las emisiones de títulos destinados al mercado local.  "La estrategia de gestión de deuda debe dar lineamientos claros a los inversionistas sobre los instrumentos que el gobierno emitirá en el mediano plazo, para que tengan una idea precisa del ambiente en el que van a operar", dijo Antonio Velandia-Rubiano, experto del programa GDRM. "Cuando los inversionistas tienen información confiable sobre las emisiones futuras del gobierno, las subastas son más competitivo y las tasas de interés más bajas, lo que en última instancia reduce el costo del endeudamiento para el contribuyente". Una de las tareas principales del equipo de GDRM fue la de cuantificar los dilemas costo-riesgo,  y al tiempo capacitar a los técnicos de la Dirección General de Endeudamiento y Tesoro Público para asegurar la continuidad del trabajo una vez que el equipo de GDRM completara su visita. Asimismo descubrieron, por medio de entrevistas con inversionistas nacionales, tales como fondos de pensiones y bancos, problemas relacionados con la modalidad y el calendario de las subastas, y el número y el tamaño de los benchmarks (puntos de referencia) que perjudican el funcionamiento de los mercados tanto primarios como secundarios.  Finalmente, hoy día, gracias a la participación del Perú en el programa GDRM, la Estrategia de Gestión Global de Activos y Pasivos es un documento altamente mejorado. Un documento de estrategia de gestión de deuda pública mejorado En el año 2016, la Dirección General de Endeudamiento publicó un nuevo documento de estrategia de deuda pública llamado Estrategia de Gestión Global de Activos y Pasivos 2016-2019, que con tan solo 43 páginas, representa una diferencia sustancial si se compara con la anterior publicación, de 149 páginas. "Hemos transformado nuestro documento de estrategia a uno mucho más conciso, poniendo énfasis en la estrategia a futuro. Esperamos que al hacer el documento más transparente y eficaz podamos informar mejor a los mercados y a los ciudadanos ", dijo Rossana Polastri, viceministra de Hacienda del Ministerio de Economía y Finanzas de Perú. Hoy, con el apoyo del Programa GDRM, la Dirección General de Endeudamiento y Tesoro Público tiene la capacidad para diseñar una estrategia de gestión de deuda a mediano plazo. El nuevo documento de estrategia ayudará a que la economía sea más resistente a los shocks financieros, y a proveer a los inversionistas, tales como los fondos de pensiones privados, lineamientos más claros para así dar más opciones de inversión a estos, en beneficio de los ciudadanos.  

Dar un descanso a los océanos podría generar USD 83 000 millones en beneficios adicionales para el sector pesquero

CIUDAD DE WASHINGTON, 14 de febrero de 2017. Según un nuevo informe del Grupo Banco Mundial, pescar menos y de mejor manera podría generar USD 83 000 millones adicionales cada año para el sector pesquero, lo que crearía un flujo de ingresos sumamente necesarios en los países en desarrollo, además de mejorar la seguridad alimentaria mundial. The Sunken Billions Revisited (Los miles de millones hundidos: Una nueva visión), versión actualizada de un estudio realizado en 2009, muestra que si se redujera la actividad de pesca a nivel mundial, las poblaciones de peces podrían recuperarse de la sobreexplotación, y el tonelaje, el valor y el precio del pescado desembarcado aumentarían, con lo cual la rentabilidad del sector pesquero se incrementaría de una cifra estimada de USD 3000 millones anuales a USD 86 000 millones. Además, aumentaría la captura de peces y el desembarque de pescado porque las poblaciones se habrán recuperado hasta alcanzar niveles saludables, lo que ayudaría a satisfacer la creciente demanda mundial de pescado y mejoraría la seguridad alimentaria en muchos países de todo el mundo. “Este estudio confirma lo que hemos observado en distintos países: dejar descansar a los océanos reporta beneficios”, dijo Laura Tuck, vicepresidenta de Desarrollo Sostenible del Banco Mundial. “Lograr una administración más sostenible de las pesquerías mediante la adopción de métodos adaptados a las condiciones locales puede producir beneficios importantes para la seguridad alimentaria, la reducción de la pobreza y el crecimiento a largo plazo”. El modelo bioeconómico que se utilizó en The Sunken Billions Revisited —desarrollado por Ragnar Arnason, profesor de la Facultad de Economía de la Universidad de Islandia— considera los recursos pesqueros marinos como una sola gran pesquería. Analiza el desequilibrio entre el nivel de actividad de pesca cada vez mayor y el estancamiento, o incluso la disminución, de las capturas, y calcula los beneficios adicionales que podrían derivarse de la reforma del sector pesquero a nivel mundial. El análisis revela la pérdida de beneficios económicos por valor de unos USD 83 000 millones en 2012, en comparación con los que se podrían haber generado en un escenario de condiciones óptimas. Este resultado no difiere estadísticamente de los miles de millones hundidos que se estimaron para 2004, cálculos que fueron rectificados de una cifra estimada de USD 50 000 millones en el estudio de 2009 a USD 88 000 millones en The Sunken Billions Revisited, sobre la base de las mejoras introducidas al modelo, datos más completos y el ajuste a dólares de 2012. Ambas cifras hacen hincapié en la urgente necesidad de reforma y en los considerables beneficios económicos que podrían obtenerse mediante una administración más sostenible de los recursos pesqueros del mundo. Si bien en el informe se presentan sólidos argumentos para invertir en la recuperación de las poblaciones de peces, no se prescribe un proceso de reforma en particular. Las experiencias en materia de reforma en países y regiones tan diversos como Perú, Marruecos, las islas del Pacífico y África occidental muestran que es posible reducir la pesca excesiva mediante la introducción de reformas apropiadas para cada lugar que a la larga mejoren los medios de subsistencia y la seguridad laboral de las poblaciones costeras. Mediante la reducción de la actividad de pesca a nivel mundial, los procesos biológicos podrían revertir la declinación a largo plazo de las poblaciones de peces observada en muchas partes del mundo. Alrededor del 90 % de los recursos pesqueros marinos monitoreados por la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura están totalmente explotados o sobreexplotados, en comparación con alrededor del 75 % en 2005. Las poblaciones de peces también sufren las presiones de la contaminación, el desarrollo de las zonas costeras y los impactos del cambio climático. El Banco Mundial ayuda a los países a mejorar la administración de sus recursos pesqueros, a invertir en acuicultura sostenible y a controlar las presiones contrapuestas a que se ven sometidos los litorales y los océanos, a fin de mejorar los medios de subsistencia de las comunidades costeras y contribuir a que el proceso de crecimiento sea más sostenible y resiliente. 

让海洋休养生息可为渔业带来830亿美元的额外效益

2017年2月14日,华盛顿:减少捕捞量,改进捕捞方法,每年可为渔业带来830亿美元的额外收入,为发展中国家开创急需的收入来源,改善全球粮食安全,世界银行集团新报告称。 《重温?…

Colombia: Program Director, Colombia

Organization: Heartland Alliance
Country: Colombia
Closing date: 15 Apr 2017

Transform the lives of the most marginalized and vulnerable communities and be at the forefront of social change.

About YOU: A driven and passionate professional hoping to work with an inspiring, dynamic team of leading human rights workers. Collaborative and hard-working, the candidate will have exceptional leadership skills, and the ability to support responsible growth of an office, and take HAI’s successful programming to the next level. This person has extensive management experience in diverse and challenging environments.

Organizational Background: Heartland Alliance International (HAI) is the youngest and fastest growing part of Heartland Alliance for Human Needs & Human Rights, a family of organizations that has been leading anti-poverty and social justice work in Chicago for more than 125 years. HAI is comprised of nearly a dozen country offices implementing programs on a broad range of human rights issues globally, as well as the Chicago-based Marjorie Kovler Center for the Treatment of Survivors of Torture, which serves individuals from more than 50 countries. HAI has significant expertise in the fields of trauma-informed mental health care and access to justice for survivors of rights abuses. It is also an industry leader in access to high-quality and stigma-free health care. Across all of its programs, HAI promotes progressive, innovative approaches to human rights protections and gender equality.

Position Summary: In Colombia, HAI is a leading non-profit organization in the provision of trauma-informed mental health services for Colombian victims of armed conflict and forced displacement. The Colombia program approaches its work through three pillars: access to justice, access to mental health care, and advocacy. HAI is looking for qualified candidates for the position of Program Director based in its Cali or Bogotá offices in Colombia. The applicant will be responsible for assuring compliance with and successful implementation of existing U.S. and U.N. grants and contracts; designing programs and drafting proposals; drafting donor reports; and serving as HAI’s country representative when the Country Director is on leave. Individual accountabilities and work volume will be established through the development of annual Success Objectives, within the framework outlined below.

Essential Duties and Responsibilities:

General Management, Financial Management & Administration

  • Work with the Country Director, Director of Finance and Administration, and other key staff members to develop spending plans for each program and help ensure program compliance with all federal contracting regulations, as well as generally accepted accounting principles
  • In coordination with the Country Director, facilitate internal coordination and technical assistance for program and administration staff
  • May serve as Acting Country Director whenever the Country Director is out of the country, including communication and coordination with HAI HQ in Chicago
  • Work full-time outside of the United States, including areas that might be considered dangerous
  • Other duties as may be assigned by the Country Director

Program Coordination, Grant Management and Development

  • Directly support program officers and other program staff to ensure effective program implementation
  • Systematically monitor and support existing programs, assuring deliverables are being met in compliance with grant and contract requirements, and high quality standards
  • Oversee the collection of accurate data and provide technical support to program officers and other program staff for reporting, and monitoring and evaluation purposes
  • In coordination with the Director of Finance and Administration, track program expenditures to ensure programs are being executed in accordance to budgets
  • In coordination with Country Director and others designated by the Country Director, participate in program development activities, including:

  • Drafting of proposals, particularly in the areas of access to justice, mental health services for victims of torture and other forms of abuse, and other technical areas to be determined in consultation with Country Director;

  • Preparing budgets for proposals and other documentation;

  • Maintaining up to date donor mapping for funding opportunities and, together with the Country Director, meeting with donors and potential donors;

  • Meeting with LNGO and government partners and conducting needs assessments

  • Lead reviews of monthly, quarterly, and annual reports to ensure compliance with all relevant standards; this includes ensuring conformity with relevant donor requirements, HAI internal regulations, and industry best practices

  • Participate in annual planning of strategic goals

  • In coordination with Country Director, maintain constructive relationships with government entities, non-governmental organizations, and civic associations

Qualifications: To perform this job successfully, an individual must be able to perform each essential duty satisfactorily. The requirements listed below are representative of the knowledge, skill, and/or ability required. Reasonable accommodations may be made to enable individuals with disabilities to perform the essential functions.

Education and/or Experience: M.A. in International Relations, Public Administration, or related field (such as Political Science, Economics, Social Work or Law), and 4-6 years of relevant management experience (or equivalent combination of education and experience). Experience must include at least four of the following areas:

  • Project management and project design experience, including financial, personnel management, and basic M&E concepts;
  • Experience working constructively with local CBOs/NGOs, the UN, USAID, and other U.S.-government agencies;
  • Experience working in developing countries and disaster/conflict environments including diverse cultural and linguistic settings; and
  • Extensive knowledge and understanding of the unique, complex operating environment in Colombia.

Business, mathematical, analytical skills:

  • Excellent Excel skills required, and comfort with diverse information systems preferred;
  • Ability to define problems, collect data, establish facts, and draw valid conclusions;
  • Ability to synthesize complex or diverse information, collect and research data, use intuition and experience to complement data and design work flows and procedures;
  • Understands organizational and strategic implications of decisions; and
  • Ability to develop and implement cost saving measures.

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Communication and Leadership Skills:

  • Exhibits confidence in self and others;
  • Has an ability to foster effective communication and teamwork with staff from a range of economic, cultural, ethnic and social groups;
  • Inspires and motivates others to perform well;
  • Effectively influences actions and opinions of others;
  • Accepts feedback from others;
  • Demonstrates the ability to lead strategic planning, program development and evaluation;
  • Gives appropriate recognition to others;
  • Excellent oral communication skills: speaks clearly and persuasively in positive or negative situations; listens and gets clarification; responds well to questions; demonstrates group presentation skills; participates in meetings;
  • Effectively communicates utilizing a variety of technologies such as phone or video phone (i.e. Skype);
  • Passionate about and personally engaged with human rights and social justice
  • Leads by example and possesses a high degree of integrity
  • Personally credible, with a professional demeanor that generates the trust and confidence of staff, partners and donors.
  • Excellent written skills: writes clearly and informatively; edits work for spelling and grammar; varies writing style to meet target audience needs, including cross-cultural needs; presents numerical data effectively; able to read and interpret written information;
  • Effectively communicates and manages electronic communication such as email, and diverse information systems;
  • Ability to remain composed and professional in difficult circumstances; and
  • Policy, advocacy and community organizing experience a plus.

Language: English and Spanish fluency in reading, writing and speaking required.

Heartland Alliance International makes all hiring and employment decisions without regard to race, creed, color, age, gender, gender identity, marital or parental status, religion, ancestry, national origin, physical or mental disability, sexual orientation, sexual identity, immigrant status, political affiliation or belief.

How to apply:

http://chk.tbe.taleo.net/chk01/ats/careers/requisition.jsp?org=HEARTLANDALLIANCE&cws=1&rid=4…