Bolivia (Plurinational State of): Conseillère ou conseiller technique en participation citoyenne des jeunes – Bolivie

Organization: Oxfam-Québec
Country: Bolivia (Plurinational State of)
Closing date: 15 May 2017

STATUT DE COOPÉRANTE OU COOPÉRANT VOLONTAIRE.

Pays: Bolivie
Lieu d’assignation (ville) : La Paz
Durée du contrat : 2 ans
Départ : Juin 2017

ORGANISATIONS PARTENAIRES

L’ensemble des partenaires d’Oxfam dans le pays d’affectation recevant un appui sur la thématique de la participation citoyenne des jeunes dans le cadre du programme ACCÈS INNOVATION (PAI). Il s’agit principalement d’organisations de la société civile.

CONTEXTE DU POSTE/MANDAT

La stratégie centrale du programme repose sur l’assignation dans les pays d’intervention de conseillères et de conseillers techniques canadiens (ou résidents permanents) ayant pour mandat d’accroître les capacités techniques, administratives et financières des organisations partenaires locales. Ces appuis doivent permettre aux partenaires d’innover et de générer des changements durables dans leur milieu en matière de croissance économique, de sécurité alimentaire, d’égalité entre les sexes, de bonne gouvernance et de viabilité de l’environnement. Dans cette optique, le programme privilégie le développement de modèles et d’approches d’intervention innovants à travers une démarche qui sera soutenue par un réseau de partenaires canadiens composés d’organisations reconnues de la société civile, d’instituts de recherche ainsi que d’entreprises socialement responsables.
En ce qui concerne la population cible, le programme met les jeunes au cœur de toutes ses interventions, car ceux-ci sont trop souvent privés d’opportunités économiques et de pouvoir de décision et d’influence. Pour ce faire, Oxfam développe dans tous les pays d’intervention une approche spécifique et un réseau d’expertise qui soutiennent la pleine participation des jeunes à la Stratégie globale d’intervention d’Oxfam dans ces pays.

MANDAT
Sous la responsabilité de la coordonnatrice ou du coordonnateur du PAI dans le pays d’intervention et en étroite collaboration avec ses collègues d’Oxfam (pays, région, siège d’Oxfam-Québec), la conseillère ou le conseiller en participation citoyenne des jeunes effectue son mandat afin d’assurer l’atteinte des résultats du PAI et l’appui aux partenaires dans son champs d’expertise.

RESPONSABILITÉS

En conformité avec les politiques, les normes et les procédures d’Oxfam, la conseillère ou le conseiller en participation citoyenne des jeunes assume les responsabilités suivantes :

Développement de la thématique

• Effectuer une veille des recherches publiées sur la thématique de la participation citoyenne des jeunes dans la région d’assignation et au sein de la confédération Oxfam;

• Appuyer l’analyse du contexte du pays d’intervention en matière de participation citoyenne des jeunes;

• Coordonner l’élaboration de la stratégie thématique du PAI reliée à la participation citoyenne des jeunes ainsi que son articulation à la Stratégie globale d’intervention d’Oxfam dans le pays;

• Contribuer au développement de nouveaux partenariats et alliances dans le pays (particulièrement avec des organisations jeunesse) en lien avec la stratégie thématique élaborée;

• Participer à la coordination des différentes stratégies thématiques déployées par Oxfam au niveau du pays et au niveau régional.

Innovation et renforcement des capacités
• Appuyer les partenaires locaux dans la réalisation ou l’actualisation de leur diagnostic et plan de renforcement organisationnel en ce qui a trait au volet de participation citoyenne des jeunes;

• Soutenir les partenaires locaux dans l’identification et la planification des innovations qui seront développées en matière de participation citoyenne des jeunes dans le cadre du PAI et ce, en collaboration avec les partenaires canadiens;• Coordonner un plan de formation et d’accompagnement des partenaires et alliés portant sur la participation citoyenne des jeunes;

• Appuyer la réalisation d’initiatives de participation citoyenne développées par et pour les jeunes et documenter ces nouvelles expériences;

• Soutenir la participation active des organisations jeunesse aux campagnes de sensibilisation et aux espaces de dialogue appuyés par Oxfam dans le pays.

Suivi-évaluation-apprentissage
• Appuyer les partenaires et alliés dans l’évaluation quantitative et qualitative des résultats qu’ils ont atteints en matière de participation citoyenne des jeunes;

• Coordonner le rapportage – au niveau du programme d’Oxfam dans le pays – des résultats atteints en matière de participation citoyenne des jeunes selon les normes établies;

• Contribuer à la documentation des apprentissages et des innovations développés par Oxfam et ses partenaires et alliés en matière de participation citoyenne des jeunes (leçons apprises, bonnes pratiques, méthodologies, approches, histoires de vie, etc.).

Réseaux d’expertise**
• Participer à un réseau d’expertise global d’Oxfam portant sur la participation citoyenne des jeunes;

• Faciliter la participation des partenaires/alliés locaux à des réseaux d’expertise portant sur la participation citoyenne des jeunes, particulièrement celui coordonné par Oxfam;

• Coordonner l’organisation d’échanges d’expériences dans la région portant sur les expériences innovantes mises en œuvre par les partenaires et autres acteurs du développement;

• Contribuer à faire connaître et rayonner l’expertise d’Oxfam et de ses partenaires dans des réseaux nationaux et internationaux portant sur la participation citoyenne des jeunes (articles, conférences, vidéos, témoignages, etc.).

QUALIFICATIONS ET EXIGENCES

STATUT

Être citoyenne ou citoyen canadien ou posséder le statut de résident permanent.

SCOLARITÉ

• Diplôme universitaire en développement international, travail social, sociologie, administration publique, gestion tout autre domaine pertinent.

EXPÉRIENCE DE TRAVAIL

• Au moins trois (3) ans d’expérience pertinente dans le domaine de la participation citoyenne.

• Expérience de travail en équipe multidisciplinaire.

• Expérience de travail en développement international (un atout).

EXPÉRIENCE DE TRAVAIL À L’INTERNATIONAL ET DANS LE PAYS

• Expérience de travail dans le pays d’assignation (un atout).

COMPÉTENCES SPÉCIFIQUES POUR CE POSTE

• Planification stratégique reliée au développement international.

• Gestion axée sur les résultats (GAR).

• Communication orale et écrite.

• Compétences interculturelles.

• Multitâches.

• Conception et adaptation d’outils de formation.

• Facilitation et animation de groupes.

INFORMATIQUE

• Maîtrise de la suite Microsoft Office 2010 (Word, Excel, Outlook et PowerPoint) et Skype.

LANGUE(S) DE TRAVAIL

• maîtrise de l’espagnol et du français parlé et écrit. L’anglais est un atout.

QUALITÉS RECHERCHÉES

• Adhésion à la mission et aux valeurs d’Oxfam-Québec, incluant la promotion de l’égalité entre les femmes et les hommes.

• Leadership inclusif.

• Diplomatie et bon jugement.

• Capacité à travailler en équipe.

• Autonomie et initiative.

• Professionnalisme.

• Capacité à travailler sous pression.

CONDITIONS

• Allocations de subsistance mensuelles : Montant en fonction du coût de la vie dans le pays d’affectation;

• Majoration de l’allocation mensuelle pour un maximum de 2 personnes accompagnatrices;

• Frais de scolarité des enfants;

• Billet d’avion aller-retour;

• Assurance voyage, assurance vie et invalidité;

• Montant pour le logement;

• Bourse permettant de faciliter la réintégration au Québec/Canada.

How to apply:

COMMENT POSER SA CANDIDATURE ?

Ce poste vous intéresse ? Faites parvenir votre candidature (CV et lettre d’intérêt), en spécifiant le titre du poste et le pays d’assignation dans l’objet de votre courriel (Ex: Conseillère ou conseiller technique en participation citoyenne des jeunes – Bolivie) :

recrutement-volontaires@oxfam.qc.ca

Oxfam-Québec souscrit au principe de l’équité en matière d’emploi.
Nous remercions toutes les candidates et candidats pour leur intérêt mais seules les personnes sélectionnées seront contactées.

Guatemala: Chief of Party, Guatemala Metrics (M&E)

Organization: Dexis Consulting Group
Country: Guatemala
Closing date: 08 Apr 2017
Dexis is seeking an experienced Chief of Party (COP) to provide to provide technical and management services. The work location for this position will be in Guatemala Cit…

Guatemala: Finance & Administration Manager, Guatemala

Organization: Dexis Consulting Group
Country: Guatemala
Closing date: 04 Apr 2017

Dexis is seeking an experienced Finance & Administration Manager to to provide overall program support to the United States Agency for International Development (USAID) in Guatemala. The work location for this position will be in Guatemala City, Guatemala. This is a long-term position expected to start in the second half of 2017. This position is contingent upon award.

Responsibilities

  • Oversee the project’s financial and administrative systems including reporting and finances

  • Recruit and manage the project’s long-term personnel and short-term technical assistance

  • Liaise with Dexis home office program management unit to provide high quality program support to the field office

  • Manage the logistics of the office space and project equipment

Qualifications:

  • Master’s degree in business/public administration, management, accounting, or finance with at least five (5) years of experience in managing and coordinating development programs, or a bachelor’s degree and at least twelve (12) years of experience

  • Demonstrated ability to manage complex, time sensitive, high-quality activities and work collaboratively with institutional, government, and private sector partners and stakeholders

  • Experience as an administrator for a USAID program of at least comparable size and scope preferred

  • Excellent communications skills, written and oral

  • Deep familiarity with Guatemala’s culture, society, and development context or that of similar countries in the region

  • English proficiency is required

  • Must be authorized to work in Guatemala

Only successful candidates will be contacted.

Winner of the 2014 Small Business of the Year at the United States Agency for International Development (USAID) and working in nearly 90 countries in FY 2015 for USAID and the Department of State, Dexis supports US federal agencies in the areas of program monitoring and evaluation, program learning, and program support. We are not only one of the fastest growing firms in international development, we are rated among the highest among our peers on employee-reviewed sites.

Dexis is an equal opportunity employer offering employment without regard to race, color, religion, sex, sexual orientation, age, national origin, citizenship, physical or mental handicap, or status as a disabled or Vietnam Era veteran of the US Armed Forces. **

How to apply:

Please apply online at http://chc.tbe.taleo.net/chc01/ats/careers/requisition.jsp?org=DEXISCONSULTINGGROUP&cws=1&rid=1052

Banco Mundial apoya innovación pesquera y acuícola en Perú

WASHINGTON D.C., 27 de enero 2017 – Con el propósito de hacer de la pesca industrial y artesanal del Perú una actividad más sostenible y aumentar la productividad y la diversidad en su acuicultura, el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial aprobó hoy un préstamo de US$40 millones. A través del Programa Nacional para la Innovación de la Pesca y la Acuicultura, la financiación buscará  mejorar las cadenas de valor de la pesca y la acuicultura peruanas y promover menor dependencia de la pesca de captura. El Perú se encuentra entre los principales productores de pesca en el mundo gracias a su ubicación geográfica que le permite capturar cerca del 20 por ciento de la captura mundial de peces, principalmente especies pequeñas como la anchoveta. Dicha pesca es de vital importancia para la economía nacional, representando en la última década un promedio del 7 por ciento del total de exportaciones del país. Este proyecto está alineado con los dos grandes objetivos paralelos del Gobierno del Perú. El primero es desarrollar el sector pesquero y de acuicultura al reorientar la estrategia de explotación de pesca marina hacia el incremento relativo de otras especies que no sean anchoveta mientras se garantiza la sostenibilidad de la masa biológica marina. El segundo objetivo es expandir el sector acuícola marino y de agua dulce al promover la inversión a través de las cadenas de valor de manera que incremente los ingresos, genere empleo y mejore la nutrición de la población, especialmente la de más bajos recursos. “Este programa contribuirá a promover la innovación y la sostenibilidad del sistema pesquero y acuícola en el Perú,  apoyará los esfuerzos del Gobierno para impulsar el desarrollo del sector, lo que generará más empleo, ingresos económicos y opciones de alimentación para una gran parte de la población”, afirmó Alberto Rodríguez, Director Regional del Banco Mundial para Bolivia, Chile, Ecuador, Perú y Venezuela. El proyecto beneficiará de manera directa a más de 12 000 individuos, grupos de productores y empresas artesanales involucradas en la pesca y acuicultura, procesamiento y distribución de especies acuáticas. Igualmente, trabajará con cerca de 10 mil instituciones, organizaciones no gubernamentales, asociaciones comunitarias, agencias gubernamentales e internacionales que desarrollan actividades de innovación en el área pesquera. Al aumentar la competitividad y sostenibilidad del sector, el proyecto busca reducir la pobreza extrema proporcionando nuevas fuentes de empleo e ingresos para los pescadores de bajos recursos y los productores de acuicultura. También busca fortalecer   la gobernanza del sector mediante mejores sistemas de monitoreo y seguimiento, así como mayores capacidades analíticas para la formulación de políticas. El proyecto tiene cuatro componentes: la promoción de la innovación en el subsector de pesca, la promoción de la innovación en el subsector acuícola, el fortalecimiento del Sistema Nacional de Innovación en Pesca y Acuicultura además de las instituciones y las políticas para mejorar la gobernanza de la pesca y la acuicultura; y el fortalecimiento de la capacidad institucional y organizativa del Viceministerio de Pesca y Acuicultura dentro del Ministerio de Producción (PRODUCE), necesaria para la exitosa implementación del Proyecto. El costo total del programa asciende a US$120.90 millones,  de los cuales el Ministerio de Economía y Finanzas aportará US$ 80.90 millones. El cierre del proyecto está previsto para el 2022. El préstamo es reembolsable en un plazo de nueve años y medio, incluyendo un periodo de gracia de cinco  años y medio. — Para conocer el trabajo del Banco Mundial en América Latina y el Caribe visite: www.bancomundial.org/alc Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundial Manténgase informado via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Nuestro canal de YouTube: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC

Compromiso, coordinación y cooperación, las tres claves de la gobernanza

La primera década de 2000, marcada por un crecimiento económico inclusivo en América Latina, dio paso a una nueva clase media que comenzó a exigir mejores servicios públicos. Un ejemplo fueron las manifestaciones de los brasileños en 2013, un año antes de que se celebrara el Mundial de Fútbol, contra el alza de los precios de los billetes de transporte público y en favor de escuelas, hospitales y otros servicios de mejor calidad. Esta mayor y abierta participación ciudadana es uno de los aspectos destacados en el nuevo Informe Sobre el Desarrollo Mundial (WDR, por sus siglas en inglés), del Banco Mundial, que este año analiza la importancia de la gobernanza para impulsar el desarrollo. El concepto tiene que ver con el proceso a través del cual los grupos estatales y no estatales interactúan para diseñar e implementar políticas dentro de un conjunto dado de reglas formales e informales que dan forma al poder y son moldeadas por él. Según el estudio, la decisión de quién participa (o no) en la mesa de negociación de los procesos de diseño e implementación de políticas públicas puede determinar la mayor o menor eficacia de las soluciones propuestas por las autoridades. Tras una investigación mundial de un año, los autores encontraron que la distribución desigual del poder es una de las principales razones del por qué las políticas de desarrollo, aunque bien intencionadas, a menudo no mejoran la vida de las personas. Tal asimetría puede tener efectos negativos en las instituciones y políticas públicas, entre ellos, llevar al clientelismo, afectar a la prestación de servicios básicos, perjudicar a los pobres e incluso provocar respuestas violentas de los grupos que se sientan excluidos de la toma de decisiones. Asimismo, las "asimetrías de poder" pueden ayudar a explicar por qué las leyes modelo y las agencias anticorrupción a menudo no frenan este flagelo; por qué la descentralización no siempre resulta en mejores servicios municipales; o por qué las políticas fiscales bien elaboradas no siempre generan ahorros a largo plazo. Compromiso, coordinación, cooperación Según el informe, existen tres conceptos básicos para entender lo que genera una mejor o peor gobernanza: compromiso, coordinación y cooperación. El primero tiene como objetivo hacer que la política pública dure sin importar las circunstancias. El segundo promueve acciones conjuntas basadas en expectativas compartidas (a través de normas, parámetros y ajustes). El tercero utiliza recompensas o castigos para limitar el comportamiento oportunista. Este último concepto, en particular, ayuda en gran medida a entender cómo los latinoamericanos se relacionan con el Estado. En los países con alta desigualdad, como son los de Latinoamérica, algunos ciudadanos dejan de usar los servicios públicos porque son de baja calidad. Un ejemplo claro es cuando se eligen colegios privados en lugar de públicos. Cuando la clase media siente que recibe poco del Estado (ya que los impuestos no siempre se utilizan para mejorar los servicios y el mal uso de los fondos públicos rara vez es castigado), su disposición a cooperar fiscalmente (es decir, pagar impuestos) y contribuir a la provisión de bienes públicos se debilita. "Es un círculo vicioso", define el informe. Pero cuando la desigualdad cae – a través del crecimiento y de programas como Bolsa Familia de Brasil y Oportunidades en México – y la clase media se expande, como ocurrió en América Latina en los 2000, las asimetrías de poder disminuyen, lo cual aumenta la presión sobre los políticos. Eso provocó protestas en países como Chile en 2011 y Brasil y Perú en 2013. "Paradójicamente, la reducción de la pobreza aumentó las percepciones de injusticia; por sus contribuciones, la nueva clase media empezó a esperar más que servicios públicos de baja calidad", sostienen los autores del informe.

Os três segredos de uma política pública de sucesso

A primeira década dos anos 2000, marcada pelo crescimento econômico inclusivo na América Latina, fez surgir uma nova classe média que passou a exigir serviços públicos de melhor qualidade. Um exemplo disso está nas manifestações feitas…

World Bank Support Will Benefit Some 300,000 Students in Colombia

Washington, January 31, 2017— 287,000 Colombian students in higher education will benefit from a new US$160 million loan approved yesterday by the World Bank Board of Directors. The Program for Higher Education Access and Quality (PACES, in Spanish) will work to improve the quality and the access to higher education in Colombia, and especially to close socioeconomic and regional access gaps. The components of this project include the financing of loans for disadvantaged students in higher education, as well as grants for master’s and doctoral programs in the world’s leading universities (“Passport to Science”).  “At ICETEX, we are pleased to have World Bank support for the social promotion of higher education in Colombia through the implementation of PACES. This enables us to continue to help thousands of young people fulfill their dreams of attending technical, technological and university programs, transforming their lives, as well as those of their families and communities,” Andrés Eduardo Vásquez Plazas, president of the Colombian Institute of Education Loans and Technical Studies Abroad (ICETEX, in Spanish).  “This program also gives us the tools to improve the supply of higher education and to strengthen regional development. PACES, in collaboration with the World Bank, represents one more step toward making Colombia the most highly educated nation in Latin America by 2025,” added Vásquez Plazas. PACES will form partnerships with institutions of higher learning (accredited and non-accredited), and top-level and private-sector international institutions in ecosystems that support research and innovation throughout the country (“Scientific Ecosystems”). It will also support the institutional strengthening of ICETEX.  “The project contributes to achieving the strategic objectives of both the Government of Colombia and the World Bank. Improving the quality of higher education and increasing access and graduation rates for disadvantaged students in high-quality programs helps Colombia reach its goal of becoming the most highly-educated nation,” said Gerardo Corrochano, World Bank director for Colombia and Mexico. The World Bank financing will support the overarching objectives of ICETEX, which will also contribute resources to the project, as will the French Development Agency (AFD, in French). The French agency will also provide US$150 million for three years to finance student loans and grants. The World Bank and ICETEX jointly prepared the projects, with the participation of the AFD team. PACES will give priority to victims of the armed conflict and other disadvantaged populations. This will contribute to the cross-cutting strategy of the World Bank’s Country Partnership Framework with Colombia to build peace and provide post-conflict support, and to the first pillar of Colombia’s National Development Plan associated with peace. ICETEX is the borrower and main implementing agency. COLCIENCIAS will support the implementation of the “Scientific Colombia” component, which seeks to improve the quality of institutions of higher learning in the areas of research, teaching and internationalization. The loan has a repayment period of 22.5 years, which includes a 6-year grace period. Contacts: Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org Colombia: Maria Clara Ucrós, + 57-1-3238259, mucros@worldbank.org Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac   Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC   For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC   News Release 2017/158/LAC    

Apoyo del Banco Mundial beneficiará a cerca de 300,000 estudiantes en Colombia

Washington, 31 de enero 2017— Unos 287 mil estudiantes de educación superior en Colombia se beneficiarán de un nuevo préstamo por un total de US$160 millones aprobado ayer por el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial. El Programa de Acceso y Calidad de la Educación Superior —PACES—  busca mejorar el acceso y calidad de la educación terciaria en Colombia y, en particular, cerrar las brechas socioeconómicas y regionales en el acceso. Entre los componentes de este proyecto se destacan el financiamiento de créditos para estudiantes de educación terciaria de contextos socioeconómicos desfavorables, así como créditos condonables para estudios de maestría y doctorado en las mejores instituciones de educación superior del mundo (“Pasaporte a la Ciencia”). “Para el ICETEX es gratificante contar con el apoyo del Banco Mundial para el fomento social de la educación superior en Colombia, con la implementación de PACES, que nos permitirá continuar beneficiando a miles de jóvenes que buscan cumplir sus sueños de acceder a programas técnicos, tecnológicos y universitarios; transformando sus vidas, la de sus familias y sus comunidades”, afirmó Andrés Eduardo Vásquez Plazas, presidente de Instituto Colombiano de Crédito Educativo y Estudios Técnicos en el Exterior (ICETEX). “Este programa nos permite también contar con herramientas para mejorar la oferta de educación superior y potenciar el desarrollo en las regiones. PACES, en colaboración con el Banco Mundial, representa un paso más para hacer de Colombia la nación más educada de América Latina en 2025”, agregó Vásquez Plazas. PACES también busca la conformación de alianzas entre instituciones de educación superior (acreditadas y no acreditadas), instituciones internacionales de alto nivel y del sector privado en ecosistemas que apoyen la investigación e innovación en todo el país (“Ecosistemas Científicos”), y el fortalecimiento institucional del ICETEX. “El proyecto contribuye al logro de los objetivos estratégicos tanto del Gobierno de Colombia como del Banco Mundial. Mejorar la calidad de la educación terciaria e incrementar el acceso y graduación de estudiantes en situación socioeconómica desfavorable en programas de alta calidad, contribuye a que Colombia consiga el objetivo de ser la más educada”, afirmó Gerardo Corrochano, Director para Colombia y México del Banco Mundial. La financiación del BM apoyará los objetivos generales de ICETEX, pero los recursos también provendrán del Instituto y de la Agencia Francesa de Desarrollo (AFD). Esta última aportará paralelamente US$150 millones durante tres años para el financiamiento de créditos. Los proyectos fueron preparados conjuntamente por los dos organismos, con la participación de los miembros del equipo de la AFD. PACES contribuirá a brindar atención especial a las víctimas del conflicto armado y otras poblaciones desfavorecidas, con lo que aportará  así al objetivo transversal del Marco de Alianza con Colombia del BM de construir la paz y apoyar el postconflicto, y al primer pilar del Plan Nacional de Desarrollo (PND) de Colombia relacionado a la Paz. El prestatario, y principal unidad ejecutora, es ICETEX. Por su parte, COLCIENCIAS apoyará la ejecución del componente “Colombia Científica” que busca mejorar la calidad de las instituciones de educación superior en materia de investigación, docencia e internacionalización. El préstamo tiene una duración de repago de 22.5 años que incluye seis años de período de gracia. Personas de contacto: En Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 458-5863, msanchezbender@worldbank.org; En Colombia: Maria Clara Ucrós,+ 57-1-3238259, mucros@worldbank.org Para obtener más información, por favor visite: www.bancomundial.org/co Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundialcolombia Manténgase informado vía Twitter: http://twitter.com/bancomundial Comunicado de prensa 2017/158/ALC    

The World Bank Supports Fishery and Aquafarming Innovation in Peru

WASHINGTON D.C., January 27, 2017 – The World Bank Board of Directors approved a US$ 40 million loan today to improve the sustainability of industrial and artisanal fishing in Peru and to increase the productivity and diversity of the country’s aquafarming system. Through the National Program for Fishery and Aquafarming Innovation, the financing will contribute to enhancing Peruvian fishery and aquafarming value chains and to lessening dependence on fish catching. Peru is one of the world’s leading producers of fish thanks to its geographic location, which enables the country to provide nearly 20 percent of global fish catches, particularly small species such as anchovy. That fishing has been crucial to the national economy, accounting for 7 percent of the country’s exports in the past decade. This project is aligned with the two main goals of the Peruvian government in this area. The first is to develop the fishery and aquafarming sector to redirect the marine fishing strategy toward the relative increase of species other than anchovy while guaranteeing the sustainability of saltwater species. Second, the government is working to expand the marine and freshwater aquafarming system to promote investment through value chains to increase income, create jobs and improve the nutrition of the population, especially the low-income sector. “This program will help promote innovation and sustainability of the Peruvian fishery and aquafarming system, support government efforts to stimulate development of the sector, and generate more jobs, economic income and food options for a large share of the population,” said Alberto Rodríguez, World Bank Regional Director for Bolivia, Chile, Ecuador, Peru and Venezuela. The project will directly benefit more than 12,000 individuals, producers’ groups and small businesses involved in fishing and aquafarming, processing and distribution of aquatic species. It will also work closely with 10,000 institutions, non-governmental organizations, community organizations and government and international agencies that develop innovative fishery activities. By increasing the sector’s competitiveness and sustainability, the project will contribute to reducing extreme poverty and provide new sources of employment and income for low-income fishermen and aquafarmers. It will also strengthen the governance of the sector through improved monitoring systems, as well as increased analytical capacities for policymaking. The project has four components: promotion of innovation in the fishing sub-sector; promotion of innovation in the aquafarming sub-sector; strengthening of the National System for the Innovation of Fishing and Aquafarming, as well as of institutions and policies to improve governance of fishery and aquafarming systems; and, strengthening of the institutional and organizational capacity of the Ministry of Production’s Vice-ministry for Fishing and Aquaculture necessary to successfully implement the project. The program has a total cost of US$ 120.9 million, of which the Ministry of the Economy and Finance will provide US$ 80.9 million. The project is scheduled for completion in 2022. The loan repayment period is 9.5 years, including a 5.5-year grace period. — Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac   Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC   For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC  

Centroamérica. Reforzar la certidumbre doméstica para mitigar la incertidumbre global

Como cada enero, en el Grupo Banco Mundial publicamos recientemente el informe Perspectivas Económicas Mundiales (GEP), donde se presentan las previsiones de crecimiento económico para el próximo trienio. El reporte destaca aspectos importantes como que se espera una aceleración del crecimiento del PIB de la economía global en 2017 hasta 2.7%, lo cual representa una mejora respecto al 2.3% registrado en 2016. Las perspectivas para Latinoamérica también son positivas. Según el informe, tras dos años de recesión, la región crecerá nuevamente en 2017, una mejora que se consolidará en 2018 y 2019. Centroamérica, por su parte, continuará con un crecimiento sólido, por encima del promedio latinoamericano, y con tres países (Panamá, Nicaragua y Costa Rica) entre los que más crecerán de la región este año, con un 5.4% 4% y 3.9%, respectivamente. Más allá de las perspectivas económicas, el GEP destaca este año otro tema importante: las proyecciones presentadas tienen un sesgo a la baja debido a la incertidumbre global, derivada de la orientación de las políticas de las principales economías. Concretamente, el Banco Mundial estima que un período prolongado de incertidumbre podría llevar a importantes reducciones del crecimiento de la inversión en los países emergentes en general y en Latinoamérica en concreto. Esto resulta particularmente importante si se tiene en cuenta que una de las causas identificadas para explicar las bajas tasas de crecimiento de la economía global en 2016 ha sido la debilidad de la inversión. Ahora bien, ¿qué implicaciones tiene esto para Centroamérica? La principal es que para compensar la incertidumbre global, los países del istmo tendrán que definir más que nunca sus programas de gobierno fomentando la certidumbre, algo particularmente importante teniendo en cuenta las vulnerabilidades que existen en materia económica, social y medioambiental. Ejemplo de reto económico es la delicada situación fiscal de Costa Rica y El Salvador, debida en parte a la evolución de la deuda pública, y que demandará programas de consolidación fiscal que garanticen la sostenibilidad de las finanzas públicas. Para ello, será necesario lograr amplios acuerdos políticos que faciliten una solución consensuada en ambos países. De lo contrario, no debería sorprendernos que los mercados muestren cierta preocupación y que agencias calificadoras de riesgo como Standard & Poors les hayan asignado calificaciones (BB- a Costa Rica y B- a El Salvador) que enfatizan la incertidumbre económica en ambos países, y otorgado perspectivas negativas a dichas calificaciones. En materia social, el reto seguirá siendo como lograr reducir la pobreza y la desigualdad en países con tasas particularmente altas, como Honduras, Guatemala, El Salvador y Nicaragua. Según una serie de trabajos recientes del Banco Mundial, los altos niveles de desigualdad, como los prevalentes en Centroamérica, afectan negativamente la sostenibilidad del crecimiento económico, convirtiéndose así en un obstáculo a la reducción de la pobreza. Más allá de las consecuencias económicas, la pobreza y la desigualdad generan malestar, preocupación e incertidumbre entre la población. Por último, como mencionamos, Centroamérica presenta también vulnerabilidades medioambientales importantes. De hecho, según el WorldRiskIndex, cuatro países de la región (Guatemala, Honduras, Nicaragua y Costa Rica) están situados en la parte más alta del ranking de riesgos. A ello tenemos que sumarle las consecuencias del cambio climático, que sabemos que irán en aumento, lo cual lo convierte en una prioridad a la hora de definir políticas de desarrollo. En el Banco Mundial consideramos que estas vulnerabilidades deben requerir la atención de los gobiernos, independientemente del nivel de incertidumbre global. Asimismo, reconocemos que los países ya están realizando esfuerzos y logrando éxitos a favor del desarrollo en temas tan complejos como los mencionados. Sin embargo, y debido a la situación de incertidumbre global, consideramos que hoy es más urgente que nunca reducir la incertidumbre doméstica. Como ya hemos venido haciendo, en el Banco Mundial seguiremos acompañando a los países a través de asistencia técnica y financiera para lograr este objetivo y que todos los centroamericanos puedan optar a un mejor futuro. * J. Humberto López es el Director del Banco Mundial para Centroamérica  

Ponen en marcha nuevas evaluaciones para mejorar la salud en Argentina

La Pampa y Misiones son dos provincias muy distintas de Argentina: mientras Misiones es una de las provincias más pequeñas, más tropicales, y más visitadas por turistas de todo el mundo; La Pampa se caracteriza por sus extensas llanuras ideales para actividades agropecuarias y es una de las menos habitadas del país. Sin embargo, ambas enfrentan desafíos en brindar servicios de salud de calidad a su población y serán objeto de proyectos piloto innovadores que apuntan a mejorar la atención médica de las poblaciones más vulnerables.  En particular, realizarán dos evaluaciones de impacto en el contexto del Programa Sumar, sucesor del Plan Nacer, que brinda servicios de salud en todo el país, a niños de 6 a 9 años, jóvenes de 10 a 19 años, y hombres y mujeres menores de 65 años. “Necesitamos evaluar si las políticas destinadas a mejorar la salud de los beneficiarios están dando los resultados esperados,” dijo Christel Vermeersch, líder del equipo de evaluación en el área de salud del Banco Mundial. “Estos estudios nos permiten identificar problemas, realizar cambios y fortalecer el cuidado integral de la salud”, opina Vermeersch. En La Pampa, la prueba se focalizará en la atención del médico a la mujer embarazada y a niños menores de 1 año a fin de asegurar la integralidad del cuidado durante toda la gestación y el primer año de vida. A través de un sistema de alertas informáticas, se buscará lograr el cumplimiento del protocolo de atención en esta etapa, que actualmente es muy bajo. En el caso de Misiones, una de las provincias más pobres del país y con altos índices de mortalidad materno-infantil,  se planteó como desafío conocer cuál es la población de riesgo a cargo. Es decir, identificar y nominalizar a quienes viven en la zona de influencia de cada centro de salud. Así se contribuirá a detectar a aquellas personas que sufren hipertensión, diabetes y cáncer, además de embarazadas y niños para poder mejorar el seguimiento médico.

Latinoamérica se monta en transportes más sostenibles

Madrid, Pekín, Santiago de Chile, México DF, Londres. No son solo grandes y modernas ciudades. También han registrado en los últimos años graves casos de contaminación ambiental debido a las emisiones, principalmente del transporte. Según la OMS, en 2014 nueve de cada 10 personas vivían en lugares que superaban los límites recomendados de calidad del aire. El sector de transportes consume el 27% de la energía del mundo y el 60% de todo el petróleo. Considerado uno de los principales responsables del cambio climático, tendrá que reinventarse para evitar que el planeta se caliente un máximo de 2°C este siglo, según lo acordado por 125 países en el Tratado de París en 2016. La buena noticia es que la tecnología para "limpiar" los transportes ya existe: vehículos eléctricos, gas natural, satélites y GPS para ayudar a controlar el tráfico en las grandes ciudades. Pero el camino entre la situación actual y un mundo que adopte ampliamente todas estas tecnologías es largo y complejo, incluso en América Latina. Entre 2007 y 2014, la oferta de prioridad al transporte colectivo aumentó de 1.049km a 2.083km, representando un alza del 100%, según un reporte de la Corporación Andina de Fomento (CAF) hecho en 29 zonas metropolitanas de Latinoamérica. Sin embargo, el documento concluye que las condiciones actuales de movilidad en las áreas estudiadas son inadecuadas para la mayoría de la población. Asimismo, la región tiene un 80% de población urbana y vivió durante los últimos seis años un periodo de desaceleración económica que impactó los presupuestos locales y la inversión en infraestructura. Aun así, el establecimiento de prioridades y soluciones sencillas generó novedades interesantes, como se vio en el reciente evento Transformando el Transporte, patrocinado por el Banco Mundial y el World Resources Institute (WRI). Bogotá, por ejemplo, empezó a dedicar en el último año casi la mitad de su presupuesto para el sector del transporte. "De esta cantidad, el 80% se destina al transporte masivo sostenible", explicó el Secretario de Movilidad, Juan Pablo Bocarejo. A pesar de disponer de uno de los sistemas más usados de BRT en el mundo (el Transmilenio) y ser una ciudad donde sólo el 16% de los viajes se hacen en los medios individuales de transporte, la capital de Colombia todavía sufre con los trancones y la contaminación. Esto obligó a la ciudad a adoptar medidas como el pico y placa (que saca de circulación la mitad de los coches) y el cierre de calles para peatones y ciclistas, y a elaborar nuevos proyectos para disminuir los atascos. "Nuestro plan es que el 80% de la población viva a menos de 1km del transporte público", agregó Bocarejo. Parte de la solución está en la construcción del metro de Bogotá, que comenzará en 2018 y será uno de los cuatro proyectos en curso en Latinoamérica (hoy, 19 grandes ciudades latinoamericanas cuentan con sistemas de metro). Pero también está en el uso racional del suelo para evitar la expansión desordenada de una de las ciudades más densamente pobladas de América Latina. Más gente, más autobuses En Buenos Aires, la expansión urbana se llevó a cabo de tal manera que hoy en día el área metropolitana cuenta con cerca de 13 millones de personas. Unos 18 mil autobuses transportan a gran parte de esta población y son el medio público más utilizado, respondiendo por el 80% de los trayectos. Si bien se reconoce la imposibilidad de mejorar toda la red a la vez, la secretaria de Obras del Ministerio de Transportes de Argentina, Manuela López Menendez, destacó un proyecto piloto para hacer la flota menos contaminante. "La iniciativa comenzará con 50 autobuses eléctricos, lo que exigirá ajustes en términos de infraestructura y las operaciones del sistema", explicó. Estos vehículos podrían estar comenzando a funcionar en un periodo entre 9 y 12 meses. "También queremos mejorar la red de trenes para que más gente la utilice", agregó.