Bolivia (Plurinational State of): Conseillère ou conseiller technique en planification stratégique – Bolivie

Organization: Oxfam-Québec
Country: Bolivia (Plurinational State of)
Closing date: 15 Jun 2017

PAYS : Bolivie

VILLE : Cochabamba

DÉBUT DU CONTRAT : Avril 2017

DURÉE : 3 mois

ORGANISATION PARTENAIRE

– IFFI (Instituto de Formacion Femenina Integral) – Cochabamba/Bolivie

CONTEXTE DU MANDAT

Dans le cadre du programme de coopération volontaire (PCV) financé par le gouvernement du Canada, Oxfam-Québec a développé le Programme ACCÈS & INNOVATION (PAI) dont le but ultime est d’améliorer le bien-être économique et social des collectivités vulnérables et marginalisées, particulièrement des femmes et des jeunes dans 11 pays d’intervention : Bénin, Bolivie, Burkina Faso, Colombie, Cisjordanie et bande de Gaza, Haïti, Honduras, Jordanie, Mali, Pérou et la République démocratique du Congo (RDC).

La stratégie centrale du programme repose sur l’affectation dans les pays d’intervention de conseillères et de conseillers techniques canadiens (ou résidents permanents) ayant pour mandat d’accroître les capacités techniques, administratives et financières des organisations partenaires locales. Ces appuis doivent permettre aux partenaires d’innover et de générer des changements durables dans leur milieu en matière de croissance économique, de sécurité alimentaire, d’égalité entre les sexes, de bonne gouvernance et de viabilité de l’environnement. Dans cette optique, le programme privilégiera le développement de modèles et d’approches d’intervention innovants à travers une démarche qui sera soutenue par un réseau de partenaires canadiens composés d’organisations reconnues de la société civile, d’instituts de recherche ainsi que d’entreprises socialement responsables.

L’institut de Formation Féminin Intégral, est une ONG sans but lucratif, qui travaille depuis 35 ans pour contribuer à la construction d’une société plus démocratique axée sur la justice sociale, l’équité et l’ égalité au niveau des droits et opportunités pour les femmes en Bolivie à partir de la reconnaissance et la promotion de l’exercice d’une citoyenneté pleine des femmes et de leurs diversités socio-culturelles et ethniques. L’IFFI a développé de l’expérience et de la reconnaissance au niveau régional et national dans la participation citoyenne active, les droits des femmes, et l’approche de genre dans la gestion locale et le développement économique.

L’organisation possède trois axes stratégiques : le genre, l’interculturalité et l’incidence politique. L’IFFI cherche transformer les relations actuelles de subordination et d’inégalité envers les femmes et qui sont présentes dans la plupart des institutions publiques et privées. L’IFFI contribue à de changements significatifs au niveau des politiques, des imaginaires et des pratiques sociales, en utilisant des principes démocratiques, d’égalité et d’équité de genre et d’inclusion sociale.

Le mandat en planification stratégique répond a une nécessité de l’IFFI de consolider ses axes stratégiques dans un plan stratégique dans le but de renforcer la compréhension qu´ont toutes les organisations affiliées à l’IFFI des objectifs institutionnels à court, moyen et long terme.

RESPONSABILITÉS

Sous la responsabilité de la coordonnatrice ou du coordonnateur du programme ACCÈS INNOVATION (PAI) dans le pays d’intervention et en étroite collaboration avec ses collègues d’Oxfam (pays, région, siège d’Oxfam-Québec), la conseillère ou le conseiller en planification stratégique effectue son mandat afin d’assurer l’atteinte des résultats du PAI et l’appui aux partenaires dans son champ d’expertise. En conformité avec les politiques, les normes et les procédures d’Oxfam, la conseillère ou le conseiller en planification stratégique assume les responsabilités suivantes :

Renforcement des capacités

– Réaliser une analyse SWOT (forces, faiblesses, opportunités, menaces) de l´environnement et du contexte de travail de l’IFFI ;
– Appuyer l’IFFI dans le processus de réflexion et formulation de son plan stratégique, incluant les objectifs et stratégies à court, moyen et long terme, à partir des axes stratégiques existants dans l’organisation ;
– Renforcer les capacités de l’IFFI dans l´utilisation de techniques participatives pour la planification stratégique ;
– Appuyer la diffusion du plan stratégique aux organisations affiliées à l’IFFI ;
– Elaborer une guide ou document qui permettra à l’IFFI de réaliser sa planification stratégique ou ajuster celle-ci de façon indépendante. De la même façon, permettra à l’IFFI de renforcer aux organisations affiliées à l’institut.

Suivi-évaluation-apprentissage

– Participer à l´élaboration d´outils de suivi et d´évaluation du plan stratégique :
– Appuyer la systématisation des apprentissages réalisés avec l’IFFI au cours des processus de planification stratégique (bonnes pratiques, leçons apprises, etc.).

EXIGENCES

Statut : doit obligatoirement détenir la citoyenneté canadienne ou la résidence permanente.

Profil de compétences

ÉTUDES

• Diplôme universitaire en développemetn des organisations, gestion de projet, sociologie ou autre domaine pertinent.

EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
• Au moins 3 ans d´expérience en planification stratégique ;
• Expérience de travail avec des organisations de femmes ou spécialisées en droits économiques des femmes;
• Expérience en gestion de projet ou planification stratégique en Amérique Latine (un atout).

COMPÉTENCES SPÉCIFIQUES POUR LE POSTE
• Connaissances approfondies des principes d´égalité entre les femmes et les hommes;
• Maîtrise de techniques participatives;
• Expérience en facilitation et animation de groups;
• Excellente capacité de synthèse.

LANGUES DE TRAVAIL
Espagnol, français

MAÎTRISE D’OUTILS INFORMATIQUES
Suite Microsoft Office, Skype

COMMUNICATION ORALE ET ÉCRITE
Niveau avancé en espagnol (incluant rédaction)

COMMUNICATION ORALES ET ÉCRITE DANS UNE AUTRE LANGUE

Niveau avancé en français (incluant rédaction)

AUTRES QUALITÉS

• Compréhension y adhésion aux valeurs d´Oxfam, incluant la promotion de l´égalité de genre
• Excellente capacité d´analyse, de synthèse et de rédaction (surtout en espagnol)
• Leadership inclusif
• Travail en équipe
• Autonomie, initiative
• Capacité de travailler sous pression
• Capacité de travailler dans un environnement interculturel
• Flexibilité et adaptation

BONNE COMPRÉHENSION DES ENJEUX
• Justice de genre
• Autonomisation économique des femmes et/ou participation des femmes à l´économie

CONDITIONS

• Allocations de subsistance mensuelles : Montant en fonction du coût de la vie dans le pays d’affectation;
• Billet d’avion aller-retour; • Assurance santé, vie et invalidité;
• Montant pour le logement.

How to apply:

COMMENT POSER VOTRE CANDIDATURE ?

Ce poste vous intéresse ?
Faites parvenir votre candidature (CV et lettre d’intérêt), en spécifiant le titre du poste et le pays d’affectation dans l’objet de votre courriel (ex. : Conseillère ou conseiller en développement et gestion – Bolivie, Cochabamba), à :

recrutement-volontaires@oxfam.qc.ca

Oxfam-Québec souscrit au principe de l’équité en matière d’emploi.
Nous remercions tou(te)s les candidat(e)s pour leur intérêt mais seul(e)s les candidat(e)s sélectionné(e)s seront contacté(e)s.

Peru: Líder de Proyecto Peru

Organization: Fundación Capital
Country: Peru
Closing date: 27 Mar 2017

¿Qué estamos ofreciendo?

Fundación Capital requiere contratar a un Líder de Proyecto basado en Lima, Perú, para liderar una iniciativa de generación de capacidades financieras con jóvenes vulnerables, a través del testeo, validación y adaptación de herramientas digitales desarrolladas por Fundación Capital. Además, el líder de proyecto tendrá a su cargo generar negocios y construir la presencia de Fundación Capital en Perú, estableciendo relaciones con donantes y/o clientes del sector privado. Proveemos un contrato por prestación de servicios por 6 meses con oportunidad de vincularse más tiempo y de crecer profesionalmente en nuestra organización. Ofrecemos un trabajo en un equipo profesional de gran calidad, para impactar masivamente a jóvenes en situación de vulnerabilidad.

¿Quiénes somos?

Fundación Capital (FundaK) es pionera en inclusión financiera e incubadora de innovación para el crecimiento de activos en poblaciones de bajos recursos. Trabajamos para eliminar la pobreza buscando ampliar el acceso a la educación, el capital y las oportunidades productivas. Mediante la alineación con políticas públicas, mecanismos de mercado y avances en tecnología digital, nuestros proyectos le dan la posibilidad a millones de familias en condición de pobreza de vivir sus ambiciones y decidir por sí mismos cómo manejar, hacer crecer e invertir sus recursos (www.fundacioncapital.org)).

¿Cuáles son las tareas y responsabilidades?​

El Consultor será responsable, bajo la orientación y con el apoyo del equipo de FundaK, de:

● Apoyar la elaboración, la validación y el seguimiento de propuestas técnicas y financieras dirigidas a potenciales donantes y/o clientes del sector privado y establecer y mantener relaciones institucionales con ellos.

● En caso de que prosperen una o varias de las propuestas técnicas y financieras presentadas, asumir el rol de Country Manager, velando de forma general por la correcta ejecución de las actividades contempladas en el marco de los proyectos en curso y asumiendo la representación de la Fundación Capital a nivel local.

● Liderar una iniciativa de generación de capacidades financieras con jóvenes vulnerables en el Perú, velando por la correcta ejecución de las actividades en campo y asegurando el mantenimiento de excelentes relaciones institucionales con los aliados locales.

Estas actividades implican:

○ Apoyar las labores de testeo de herramientas digitales en campo, de investigación cualitativa e identificar sus necesidades financieras.

○ En conjunto con el equipo de Soluciones Digitales, definir, desarrollar y testear los ajustes necesarios para adecuar una de las herramientas digitales

○ Pilotear la herramienta localizada y ajustada al contexto y programa con 300 jóvenes focalizados en el distrito de Lima y acompañar la realización de los ajustes requeridos.

● Documentar y difundir, con el apoyo del equipo de comunicaciones, las experiencias del marco del proyecto con jóvenes y otras actividades realizadas en el marco del trabajo de la Fundación Capital en el Perú.

¿A quién estamos buscando?​

Requerimientos Personales:

● Relacionarse de manera excelente tanto con personas de bajos ingresos como con representantes de gobierno o instituciones financieras. Capacidad para trabajar con equipos multidisciplinarios

● Ser autónomo y proactivo, saber priorizar y trabajar en varias cosas a la vez

● Orientado hacia la innovación

● Con disponibilidad para viajar en caso de requerimiento Requerimientos Técnicos

Lenguajes: Excelente manejo de Español (oral y escrito). Excelente capacidad de redacción.

Habilidades y conocimientos:

○ Capacidad de manejar un proyecto de pequeña escala (20k EUR, 6 meses)

○ Redactar, presentar y negociar propuestas técnicas y financieras con potenciales donantes o clientes del sector privado.

Experiencia laboral:

○ Experiencia profesional de al menos tres (3) años en el diseño, implementación

o gestión de proyectos sociales, preferiblemente en relación con temas de inclusión económica.

○ Experiencia deseable de al menos un (1) año en iniciativas de inclusión social o económica con jóvenes.

○ Experiencia en el trabajo de campo y con comunidades, organizaciones e instituciones sociales.

Educación: Título universitario en ciencias sociales, humanas, económicas o área afín.

Se valorará positivamente: ​manejo de inglés y de otras idiomas; posgrado universitaria en área afín; experiencia profesional o académica a nivel internacional;

How to apply:

Por favor envíenos su Hoja de Vida y una carta de presentación concisa en la que se explica: 1) Su motivación para trabajar con nosotros, (2) Por qué agregaría valor a nuestro equipo, (3) Expectativa de honorarios y fecha de inicio posible, (4) Dónde ha encontrado nuestra oferta de trabajo.

Tenga en cuenta que sólo se considerarán las solicitudes completas​. Envíe su solicitud hasta el 27 de Marzo de 2017 a miquel.jordana@fundacioncapital.org, con el asunto «Líder de Proyecto Perú”.

Favor revisar el perfil completo antes de aplicar en el siguiente link: http://fundacioncapital.org/trabajaconnosotros/

Honduras: Operations Manager

Organization: Creative Associates International
Country: Honduras
Closing date: 07 Apr 2017

The Operations Manager reports to the Deputy Chief of Party and manages the Regional Risk Manager, Verification Officer, Office/HR Manager, Senior Procurement Manager, and Grants/Database Manager. In the addition, the position oversees the Field Operations Manager based in San Pedro Sula.

Primary Responsibilities

The Operations Manager is responsible for:

  • All operations including but not limited to administration, logistics, procurement, budgeting, finance, and property management;
  • Ensuring that program implementation is in accordance with USAID regulations and procedures and the specifications determined in the SOW. This will include monitoring contractor/recipient worthiness, ensuring that all procurement processes are perceived as transparent by beneficiary communities, assuring fair and transparent procurement processes, review of financial management, and monitoring activity implementation;
  • Assuring that the most reasonable, fair, expeditious, and appropriate procurement choices were made pursuant to the Contractor Procurement Guide;
  • Supervising the Contractor’s day-to-day field presence in the areas of operations (including the project’s facilities such as office space, equipment and project vehicles), administration, logistics, procurement, budgeting and financial accounting;
  • Supervising the daily financial operations of the contract, which include cash flow management, time sheet recording, reporting to USAID/OTI on the financial aspects of the project, and daily monitoring of obligations, budgets, and expenditures;
  • Ensuring continuous liquidity for the project;
  • Overseeing all human resource issues; and
  • Investigating and identify new ways of achieving project efficiencies.

Qualifications

  • At least three (3) years of experience working on donor-funded projects in a related role and with some demonstrated supervisory experience;
  • Prior experience with grants management, preferably small grants under contract programs;
  • Prior work experience in security-challenged environments;
  • The candidate should be fluent in the Contractor’s and USAID’s policies and procedures in regards to financial management, financial reporting, procurement processes, management systems, and grants management;
  • Complete fluency in written and oral English is an essential qualification for the Operations Manager; and
  • Fluency in Spanish is also required.

Local and regional candidates strongly encouraged to apply.

How to apply:

Please apply on company website: https://rew21.ultipro.com/CRE1010/JobBoard/JobDetails.aspx?__ID=*02A9868D5FEC4AD1

Nicaragua – Rural and Urban Access Improvement Project

Nicaragua – Rural and Urban Access Improvement Project IDA Scale-Up Facility (SUF) Credit: US $50 million equivalent Terms: Maturity = 30 years, Grace = 9 years IDA Credit: US$46.8 million equivalent Terms: Maturity = 25 years, Grace = 5 years Total Financing: US $96.80 million equivalent Project ID: P160359 Project Description: The objectives of the Project are to improve safe and sustainable access to markets and services in targeted rural and urban areas by means of road construction, rehabilitation and maintenance; and to provide immediate and effective response in the event of an eligible natural disaster or climate change crisis. Contact: Cynthia Flores Mora (506) 88220956 cfloresmora@worldbank.org For more information, please visit here: http://projects.worldbank.org/P160359?lang=en  

More Than Half a Million Nicaraguans To Benefit from Better Access to Services and Markets

WASHINGTON, March 6, 2017 – Nicaraguan farmers, ranchers, transport and micro entrepreneurs, 51 percent of them women, will benefit from improved roads financed through a new credit approved today by the World Bank Board of Directors. The US$ 96.8 million credit will support efforts of the Nicaraguan government to improve safe and sustainable access to markets and services for nearly 550,000 residents of urban and rural areas of the country.   The Rural and Urban Access Improvement Project proposes the expansion and construction of new roads and the rehabilitation and maintenance of existing ones. It will also promote an immediate, effective response in the event of natural disasters. Of the total beneficiaries, 370,000 are direct beneficiaries. Fifty-one percent of beneficiaries are women and 50 percent reside in rural areas. “Our main objective is to promote women’s equitable participation and empowerment in different stages of project implementation,” said Transportation and Infrastructure Minister Pablo Martínez. “This financing will also help create jobs in the short and medium term for residents in areas surrounding the project sites, for skilled and unskilled workers as well as for experienced professionals.” Road network quality has improved in Nicaragua in recent years, but deficiencies persist, which limit mobility and hinder productive activities, particularly in the poorer, more remote areas of the country. With this project, micro entrepreneurs, drivers and passengers will benefit from improved traffic on the highways. Trips will be shorter and more comfortable, which will have a positive impact on production given the lower costs of vehicle operation and improved delivery of products. The project includes innovative activities aimed at strengthening road safety in the country, which consist of addressing road safety measures in road accident hazardous spots, strengthening the institutional capacity of road safety management, and increasing the resilience of vulnerable points of the road network to climate change impacts. In addition, resources will be allocated for institutional strengthening, increased efficiency, and improved care in human quality and time for the population. “This project will be developed based on the lessons learned and results of previous transport projects we have financed in Nicaragua. We are now expanding to new areas of commitment such as the immediate response component: Given that Nicaragua is a country that is extremely vulnerable to natural disasters and climate change phenomena, we will work to ensure that the government can immediately access eligible resources in the event of a crisis or emergency. We also plan to raise the climate change resilience of vulnerable points of the road network,” said Luis Constantino, World Bank Representative for Nicaragua. The project includes the construction and expansion of two trunk highways with access to the capital, which will help reduce traffic congestion in an area where a large share of the country’s international transport takes place. Additionally, five sections totaling 46.2 kilometers of key rural roads will be paved, which will guarantee access of the rural population to basic services. Finally, routine maintenance activities will be extended to cover some 200 kilometers of paved rural roads. The financing is part of a combined financial agreement, including a 25-year credit for US$ 46.8 million from the International Development Agency (IDA), with a five-year grace period. It also includes an IDA Scale-Up Facility (SUF) Credit for US$50 million, for a period of 30 years, including a nine-year grace period. The end date is June 30, 2022. Contacts: Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org San José: Cynthia Flores Mora, (506) 8822-0956, cfloresmora@worldbank.org Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac   Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC   For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC   News Release 2017/176/LAC    

Mejor acceso a servicios y mercados para más de medio millón de nicaragüenses

WASHINGTON, 06 de marzo de 2017 – Agricultores, ganaderos, transportistas y microempresarios, 51 por ciento mujeres, se beneficiarán con mejores carreteras financiadas por un crédito aprobado hoy por el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial. El crédito por US$96.8 millones apoyará los esfuerzos de Nicaragua en mejorar el acceso seguro y sostenible a los mercados y servicios de cerca de 550.000 residentes de zonas rurales y urbanas. El Proyecto de Mejoramiento del Acceso Rural y Urbano propone la ampliación y construcción de nuevas carreteras, y la rehabilitación y el mantenimiento de otras. Al mismo tiempo, busca proporcionar una respuesta inmediata y efectiva en caso de un desastre natural. Del total de beneficiarios, 370.000 son beneficiarios directos, 50 por ciento de ellos residentes de zonas rurales y 51 por ciento mujeres. “Nuestro principal objetivo es impulsar la participación equitativa y el empoderamiento de la mujer en las diferentes etapas de implementación de este proyecto”, dijo el Ministro de Transporte e Infraestructura, Pablo Martínez. “De igual manera, se creará oportunidad de empleos a corto y mediano plazo para quienes viven en lugares aledaños a las zonas de alcance del proyecto, tanto en calidad de mano de obra calificada como no calificada, y para profesionales con experiencia”. La calidad de la infraestructura vial ha mejorado en los últimos años en Nicaragua, pero siguen existiendo deficiencias que limitan la movilidad y obstaculizan las actividades productivas, especialmente en las zonas más remotas y más pobres del país. Con este proyecto, microempresarios, transportistas y pasajeros se beneficiarán con la descongestión en carreteras. Los viajes serán más cortos y cómodos, lo que se reflejará de forma positiva en la producción, dada la reducción en los costos de operación vehicular y la mejora en la calidad de entrega de los productos. El proyecto cuenta con novedosas actividades dirigidas a fortalecer la seguridad vial del país que consisten en atender los puntos críticos donde ocurren accidentes, en fortalecer la capacidad institucional de gestión de seguridad vial, y en elevar la resiliencia de puntos vulnerables de la red vial ante los impactos del cambio climático. Además, se destinarán recursos para el fortalecimiento institucional, el incremento de la eficiencia, y la atención mejorada en calidad humana y tiempo para la población. “Para desarrollar este proyecto nos basamos en las lecciones y resultados de los anteriores proyectos de transporte que hemos financiado en Nicaragua, expandiéndonos ahora a nuevas áreas de compromiso como es el componente de respuesta inmediata: dado que Nicaragua es un país muy vulnerable a los desastres naturales y fenómenos del cambio climático buscamos que el Gobierno pueda acceder de forma inmediata a gastos elegibles en caso que ocurra una crisis o emergencia. También hemos contemplado elevar la resiliencia de puntos vulnerables de la red vial ante los impactos del cambio climático,” dijo Luis Constantino, representante del Banco Mundial para Nicaragua. El proyecto incluye la construcción y ampliación de dos carreteras troncales principales de acceso a la capital, lo que contribuirá a disminuir el congestionamiento vehicular por donde transita gran parte del transporte internacional También se adoquinarán otros cinco tramos de caminos rurales claves para un total 46.2 km, con lo que se garantizará el acceso de la población rural a servicios básicos. Finalmente, obras menores de mantenimiento rutinario se extenderán hasta cubrir unos 200 km de caminos rurales adoquinados. El financiamiento es parte de un acuerdo financiero combinado, que incluye un crédito por US$46.8 millones, proporcionado por la Agencia Internacional de Fomento (AIF) con un plazo de 25 años incluido un período de gracia de cinco años; más una ampliación de AIF por un crédito de US$50 millones que se ofrece en condiciones no concesionales con un plazo de 30 años, incluido un período de gracia de nueve años. La fecha de cierre es el 30 de junio del 2022. Contactos: En Washington: Marcela Sánchez-Bender, (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org En San José: Cynthia Flores Mora, (506) 8822-0956, cfloresmora@worldbank.org Para conocer el trabajo del Banco Mundial en América Latina y el Caribe visite: www.bancomundial.org/alc   Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundial Manténgase informado via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Nuestro canal de YouTube: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC Comunicado de Prensa 2017/176/LAC   

Cómo al proteger a un pez diminuto, Perú salvó al mar y sus pescadores

Perú alberga una de las industrias más grandes del mundo de pesca de una sola especie, la anchoveta, que provee aceite de pescado rico en omega 3 y harina de pescado utilizada en la industria ganadera y de la acuicultura. Hace apenas unos años, este pequeño pez, una especie relacionada con la anchoa, se vio amenazado por la sobreexplotación desmedida y por los cambios recurrentes en las corrientes oceánicas debido a eventos como el fenómeno de El Niño. Hasta 2009, la pescadería de anchoveta peruana era gestionada como un recurso de libre acceso y propiedad común, con una cuota de pesca general impuesta en la región Centro-Norte del país. Esto llevó a las compañías a aumentar la cantidad de barcos e intentar pescar tanto como pudieran durante la temporada, lo que a su vez ejerció una gran presión sobre la población existente. “Todo estaba permitido”, recordó Antonio Juárez Amaya, un capitán de pesca con 42 años de experiencia. “Tomábamos el cardumen completo, sin importar el tamaño del pez”. Ante la amenaza de agotar las existencias, el gobierno del Perú revisó la gestión de la pesca industrial de anchoveta. La principal prioridad fue la de devolverle la salud a la población de peces, reduciendo la actividad. En el caso de la anchoveta, esto significó que se adoptara una estrategia en la que se asigna un porcentaje de la pesca total permitida, según lo establecido por una organización científica, a las compañías individuales. Como resultado de esta reforma, un cuarto de la flota fue desmantelada. Las compañías pesqueras que permanecieron en el sector de la anchoveta, pero con sus flotas reducidas, asignaron tareas rotativas a sus trabajadores, y compensaron a aquellos que eligieron dejar el sector. Según lo exigido por la ley, el FONCOPES, un fondo de compensación financiado por el sector privado, brindó programas de capacitación y asesoría para iniciar un pequeño emprendimiento a más de 2.000 expescadores.De pescador a chef José Luis Cárdenas Vílchez, un expescador convertido en un exitoso chef de Nuevo Chimbote, una ciudad costera al norte del Lima, es uno de los más de 1.000 “casos exitosos” documentados por el FONCOPES. “Yo tuve suerte, recibí una capacitación muy buena [en gastronomía]. Vi la transición como una oportunidad, en lugar de enfocarme únicamente en el paquete de indemnización”, dijo. Otros tuvieron más problemas. Ana María Jaico, una coordinadora de FONCOPES que solía trabajar en Chimbote, admite que no siempre fue fácil reconvertir a los pescadores, la mayoría de ellos de entre 40 y 60 años de edad, hacia otras profesiones. “Algunos decidieron abandonar los programas de capacitación”, dijo. La sensación general, sin embargo, es que los beneficios de la reforma son superiores a las molestias. La salud de la población de anchoveta, la calidad de la harina de pescado, las condiciones de trabajo en los buques, y la rentabilidad de la industria mejoraron desde 2009, si bien el caudal de pesca sigue estando a merced de las cambiantes corrientes oceánicas y demás perturbaciones. Dado que la anchoveta es un recurso que habita un ecosistema de elevada variabilidad climática, y es afectada por los cambios en la temperatura del mar, el tamaño de la población y el volumen de captura sostenible varían enormemente año tras año. La población por lo tanto requiere de un monitoreo constante. La creciente cooperación entre las pesquerías privadas e IMARPE, el instituto marítimo peruano, está ayudando en la recopilación de datos en tiempo real de las condiciones climáticas y su impacto en la población de peces. “Hoy en día, existen límites de captura por buque, [y] temporada de pesca. Preservamos la especie por tamaño y madurez”, dijo Miriam Huanca Aguilar, jefe de control de calidad de la pesquera Diamante en Malabrigo. “Cumplimos con los controles no solo porque la ley lo estipula. Queremos ser responsables para asegurarnos que podremos seguir pescando a futuro”.En pro de la pesca sustentable Si bien los controles y cuotas han ayudado en la recuperación de la anchoveta, las demás pesquerías están menos reguladas. De las principales especies comerciales, el 35 por ciento no está sujeta a norma de gestión alguna, mientras que un 35 por ciento adicional está sujeta apenas a tallas mínimas de captura, de acuerdo a un análisis de 2013. En Pucusana, un pequeño puerto pesquero al sur de Lima repleto de buques esperando descargar su captura, la presión puesta sobre los pescadores artesanales como David García es evidente. García estaba en tierra firme el día que fue entrevistado, dado que el precio de la pota (molusco semejante al calamar) era demasiado bajo para cubrir sus costos. “El precio bajó mucho debido al exceso de oferta”, dijo. En su opinión, las limitaciones de pesca ayudan mucho a mejorar el sector: “Trayendo menos pescados aquí, estaríamos conservando mejor a la especie y negociando mejores precios”. Un nuevo informe del Banco Mundial titulado “Los miles de millones hundidos: Una nueva visión” aduce que el sector pesquero podría generar 83.000 millones de dólares adicionales por año a nivel mundial reduciendo el volumen de pesca y dejando que las pesquerías se recuperasen hasta alcanzar un tamaño más saludable y valioso. De acuerdo a Héctor Soldi, viceministro peruano de Pesca y Acuicultura, lograr que la pesca artesanal sea más sustentable es una de las prioridades del gobierno, así como el desarrollo de la acuicultura. “Hay un enorme potencial para la innovación”, dijo Soldi, quien le da la bienvenida a la siguiente fase del apoyo del Banco Mundial en ambos sectores, un Programa Nacional de Innovación en la Pesca y Acuicultura de US$40 millones. La pesca artesanal emplea entre 45.000 y 65.000 personas. La acuicultura, aún incipiente en Perú, podría proporcionar una actividad alternativa a algunos de estos pescadores y ayudar a reducir la presión sobre las especies silvestres.

In Peru, Fishing Less Anchoveta Pays Off

Peru is home to one of the world’s largest single stock fishery – the anchoveta — a species related to anchovy, which supplies fish oil rich in omega-3, and fishmeal for livestock and aquaculture around the world. Only a few years ago, this little fish was threatened by rampant overfishing and by recurring changes in ocean currents from climatic events like El Nino. “Anything went,” concurred Antonio Juarez Amaya, a fishing captain with 42 years of experience. “We took the whole school, no matter the fish size.” Until 2009, the Peruvian anchoveta fishery was managed as an open access, common property resource, with an overall catch quota imposed in the North-Center region. This led companies to overinvest in vessels and try to catch as much fish as they could during the open season, which in turn put significant pressure on fish stocks. The government of Peru overhauled the management of the industrial anchoveta fishery, with the help of the World Bank. The first priority was to restore the health of the stocks by reducing fishing. In the case of the anchoveta, this meant adopting a rights-based approach based on quotas set by a scientific body, assigned to individual companies. As a result of the reform, a quarter of the fleet was decommissioned. Fishing companies that remained in the anchoveta sector but reduced their fleet offered rotating assignments to their workers and compensated those who chose to exit the sector. As required by law, FONCOPES, a compensation fund financed by the private sector, provided over 2,000 ex-fishermen with training programs and advisory support to start small businesses. Jose Luis Cardenas Vilchez, an ex-fisherman turned successful chef in Nuevo Chimbote, a coastal city north of Lima, is one of over 1,000 “success stories” documented by FONCOPES. “I was lucky, I received very good training [in gastronomy.]. I saw the transition as an opportunity rather than focusing only on the severance package,” he said. Others found it more challenging. Ana Maria Jaico, a coordinator for FONCOPES who used to work in Chimbote, concedes that it was not always easy to convert fishermen, most of them 40-to-60 years old, to other professions. “Some chose to drop out of training programs,” she said. The overall sentiment, though, is that the gains secured by the reform outweigh the pains. The health of the anchoveta stock, the quality of fishmeal, working conditions on vessels, and the profitability of the industry have all improved since 2009, although catches are still at the mercy of shifting ocean currents and other shocks. Because the anchoveta is a resource that lives in an ecosystem of high climatic variability and is affected by changes in sea temperature, the size of the population and how much can be sustainably caught fluctuates widely from year to year.  The stock therefore requires constant monitoring. Growing cooperation between private fisheries and IMARPE, Peru’s maritime research institute, is helping gather real-time information on the state of the stock and climatic conditions. “Nowadays, there are catch limits by ship, [and] fishing seasons. We preserve the species by size and maturity,” said Miriam Huanca Aguilar, head of quality control at the Diamante fishing plant in Malabrigo, Peru. “We are complying with the controls not just because it’s mandated by the law. We want to be responsible to make sure we can continue fishing in the future.” While controls and quotas have helped the anchoveta rebound, other fisheries are less well regulated. Of the most important commercial species, 35 percent were not subject to any management regulations, while another 35 percent were subject only to minimum catch size regulations, according to a 2013 analysis.   In Pucusana, a small fishing harbor south of Lima clogged with vessels waiting to unload their catch, the pressure is evident on artisanal fishers such as David Garcia. Garcia was staying on shore the day he was interviewed because the price of jumbo squid was too low to cover his costs.  “The price has gone down because of oversupply,” he said. In his view, fishing limits could go a long way toward improving the sector: “by bringing in less fish here, we would take better care of the species and negotiate better prices.”  A new World Bank report – The Sunken Billions Revisited – argues the fishing sector could generate an additional $83 billion per year, globally, by reducing fishing effort and letting marine fish stocks recover to healthier, more valuable sizes. According to Hector Soldi, Peru’s Vice Minister of Fisheries and Aquaculture, putting artisanal fishing on a more sustainable footing is a government priority, as is the development of aquaculture. “There is a great potential for innovation,” said Soldi, who welcomes the next phase of World Bank support in both areas, a $40 million National Program for Fishery and Aquafarming Innovation. Artisanal fishing employs an estimated 45,000 to 65,000 people. Aquaculture, still nascent in Peru, could provide an alternative activity for some of these fishers and help reduce the pressure on wild species.

¿Qué significa ser mujer en Brasil? La respuesta te sorprenderá

Brasil dio a los hombres y las mujeres el mismo nivel de acceso a la educación, mejoró la salud materna y redujo las tasas de embarazo en la adolescencia, pero paradójicamente, no todas las ciudadanas se han beneficiado de estos avances. En el país más grande de Latinoamérica, las afrodescendientes y las indígenas siguen estando en desventaja, especialmente en las regiones más pobres, según un nuevo informe del Banco Mundial titulado Retrato de género en el Brasil de hoy. "La lucha contra las desigualdades raciales y geográficas es fundamental para lograr la igualdad de género, pues es difícil – y en algunos casos imposible – mejorar los indicadores de progreso de las mujeres en su conjunto si ciertos grupos se quedan atrás", escribieron las autoras. "Haríamos un flaco favor si se establecen metas para las mujeres en general cuando se sabe que las no blancas y las residentes del norte, noreste y medio oeste están por debajo de la media", agregaron. Para hacer frente a este problema, el estudio destaca la importancia de tener en cuenta las desventajas de estos subgrupos en el diseño de políticas y proyectos, así como en el ajuste apropiado de los objetivos de igualdad de género en el país.Geografía y raza significan más probabilidad de morir violentamente En América Latina, una encuesta realizada en 12 países encontró que entre el 25% y el 50% de las mujeres han sufrido violencia por parte de su pareja. Y Brasil, en una comparación hecha entre 83 países, fue el país que tuvo la quinta tasa más alta de homicidios de mujeres. De todas las regiones del país, el sureste tiene las tasas más bajas, y fue la única que registró una disminución entre 2003 y 2013. En cambio, tanto en el Norte como en el Nordeste, durante el mismo período, el índice subió más de un 70%. El aumento se concentró entre la población afrobrasileña e indígena, especialmente en el noreste, donde la tasa de homicidios de mujeres afrodescendientes se incrementó un 103% durante la década. Las indígenas son especialmente vulnerables a la violencia. En 2012, la tasa media de homicidios de mujeres en el país fue de 4,6 por 100.000. Pero el número fue casi dos veces mayor entre las indígenas: 7,3 por 100.000. Por otra parte, en 2015, la tasa de suicidios en esta población fue de 5,8 por 100.000, más del doble de la media de 2,2 de las mujeres brasileñas.El salario es muy inferior al de los hombres Una encuesta realizada por el Banco Mundial muestra que en 2010, las mujeres ganaron el 71% del salario de los hombres. Esa fue una de las mayores diferencias salariales registradas en los países de América Latina y el Caribe. Las disparidades se refuerzan por la desigualdad racial y la brecha se hace más amplia entre los profesionales con mayor nivel educativo. Las mujeres afrodescendientes con 12 o más años de escolaridad, por ejemplo, ganan en promedio R$ 15,6 (US$ 5) por hora, frente a los R$ 21,5 (US$ 6,89) pagados a las mujeres blancas y los R$ 32,7 (US$ 10,49) pagados a los hombres blancos.Más educación no significa más participación en el mercado laboral De manera similar a lo que ocurrió en América Latina durante la última década, la brecha entre hombres y mujeres en la participación en la fuerza laboral de Brasil ha cambiado poco. El informe señala que desde 2005, la participación de las brasileñas aumentó sólo un punto porcentual. El hallazgo es sorprendente teniendo en cuenta que las brasileñas han cerrado (y en algunos casos hasta invertido) las diferencias de género en la educación. El nivel de educación es cada vez mayor, tanto para hombres como mujeres, y la tasa de alfabetización de los jóvenes (15-24 años) alcanzó el 98% para los hombres y el 99% para las mujeres, en comparación con el 84% en 1980. En la actualidad, alrededor de dos tercios de los graduados en universidades cada año son mujeres. Sin embargo, las mujeres siguen concentradas en áreas de menor crecimiento y salarios más bajos. Sectores como los de hospedaje y alimentación, educación, salud, servicios sociales y servicios domésticos concentran alrededor del 45% de las trabajadoras, mientras que el 48% de los hombres empleados trabajan en la agricultura, la industria y la construcción.La representación femenina en la política sigue baja Aunque el número de candidatas ha aumentado en los últimos años, los resultados de las elecciones no significaron una mayor representación femenina en el Congreso. En 2010, 45 mujeres fueron elegidas para la Cámara de los Diputados; en 2014, 51 candidatas obtuvieron escaños. Las cifras representan respectivamente el 8,8% y el 9,9% de los 513 miembros de la Cámara. Para el Senado, que renovó un tercio de sus 81 escaños en 2014, cinco mujeres fueron elegidas parlamentarias, uniéndose a las seis elegidas previamente. Las senadoras ahora ocupan el 13,6% de los curules. Estas cifras están significativamente por debajo del promedio de América Latina y el Caribe, donde el 26% de los políticos en los parlamentos son mujeres. La Unión Inter-Parlamentaria coloca a Brasil en el puesto 113º en su ranking global de mujeres en los parlamentos nacionales.El embarazo precoz amenaza a las más pobres En Brasil, la tasa de fecundidad de las adolescentes (nacimientos por cada 1.000 mujeres de 15 a 19 años) ha disminuido constantemente desde el comienzo del siglo. Esta era de 87,47 en 2000 y cayó a 70 en 2013. Sin embargo, todavía está ligeramente por encima del nivel promedio de América Latina y el Caribe, 67,7 en 2013, según los Indicadores de Desarrollo Global recopilados por el Banco Mundial en 2015. Al igual que en otros países de América Latina, las significativas tasas de embarazo en la adolescencia en Brasil están relacionadas con alta vulnerabilidad social y la pobreza. En 2013, el porcentaje de mujeres entre 15 y 19 años que tuvieron un bebé (en comparación con todas las mujeres en este grupo de edad) es más alto en el Norte. En esta región, una de cada cinco mujeres (20%) en este grupo de edad tuvo un bebé.

#BoldForChange: Grupo Banco Mundial ayuda a promover la educación de las niñas y las mujeres

Dado los desafíos y riesgos que las niñas y las mujeres enfrentan y deben superar, la campaña #BeBoldForChange (i) con ocasión del Día Internacional de la Mujer de 2017 es apropiada y un claro llamado a la acción. El apoyo a las niñas y las mujeres es fundamental para los dos objetivos del Grupo Banco Mundial de poner fin a la pobreza extrema a más tardar en 2030 y promover la prosperidad compartida. En abril de 2016, el presidente del Grupo Banco Mundial, Jim Yong Kim, anunció el compromiso de la institución de invertir USD 2500 millones en el curso de un quinquenio en proyectos de educación en beneficio directo de las adolescentes. En menos de un año, el Grupo Banco Mundial ya ha comprometido USD 600 millones en proyectos que fomentan cambios positivos mediante la educación y el empoderamiento de las adolescentes. Dos de los ejemplos más recientes incluyen proyectos en Uruguay y Haití. Uruguay En Uruguay, las niñas y las mujeres se enfrentan a muchos casos de violencia por razón de género en la escuela. Su desempeño escolar se ve impactado negativamente por estereotipos de género en los planes de estudio, a lo que se suma la falta de conciencia social e inclusión en las aulas. Esto se relaciona directamente con los estereotipos de género existentes en la sociedad uruguaya que tienen impactos a largo plazo en las oportunidades de desarrollo de las mujeres, tales como oportunidades de empleo. Para el Gobierno es de máxima prioridad abordar los prejuicios que enfrentan las niñas y las mujeres. El Proyecto de mejoramiento de la calidad de la educación inicial y primaria en Uruguay, (i) por un monto de USD 40 millones, incorporará una serie de actividades para entregarles a los maestros nuevas herramientas que les permitan abordar el tema de la desigualdad de género. El proyecto apoyará sesiones de capacitación que fomenten la toma de conciencia de las dimensiones de género en el aprendizaje, en particular normas sociales arraigadas sobre la masculinidad y la femineidad. En el marco del proyecto también se realizará un estudio a nivel nacional sobre la igualdad de género que servirá de punto de referencia para el Plan de Acción de Igualdad de Género 2017-2020, cuyo objetivo es abordar los desafíos que enfrentan las niñas en la escuela. “Esperamos que esto ayude a catalizar soluciones de largo plazo, como el aumento del acceso de las mujeres al mercado laboral y la prevención de la violencia doméstica contra las mujeres y las niñas”, dijo Reema Nayar, gerenta de Prácticas de Educación en la región de América Latina y el Caribe del Grupo Banco Mundial. Haití En Haití, una gran cantidad de niñas abandona la escuela a temprana edad. Esto se vincula con factores sociales, como el matrimonio precoz. Los últimos estudios indican que el 17 % de las niñas se casa a los 18 años de edad. Recientemente, se aprobó un proyecto destinado a proveer educación de calidad en Haití (i) por un monto de USD 30 millones. Este incluirá intervenciones que incorporarán las cuestiones de género en el diseño de la infraestructura de saneamiento, la capacitación docente y las actividades comunitarias con el fin de promover el acceso de los niños a una educación primaria de calidad y la finalización de los estudios por parte de los alumnos. El Proyecto de Educación para Todos de Haití promueve la asistencia y la finalización de la educación primaria mediante un programa de exención de aranceles escolares. Una de las beneficiarias es Jessica Prudent, de 11 años de edad, quien cursa el sexto grado y vive en uno de los barrios más pobres de Puerto Príncipe, la capital haitiana. Jessica ahora está en camino de hacer realidad sus sueños. “Me gustaría ser enfermera, así si alguno de mis familiares se enferma, podría cuidarlos. Para conseguirlo, tengo que terminar la escuela; debo estudiar mucho para pasar de curso”, dijo. En Haití, solo el 50 % de los estudiantes finaliza la escuela primaria a tiempo, y Jessica lo ha logrado. Educación y actividades que promueven el empoderamiento, un apoyo para las niñas y las mujeres Tomar medidas audaces para empoderar a las niñas y las mujeres es una obligación a nivel mundial, que se refleja en las prioridades, los estudios analíticos y las inversiones del Grupo Banco Mundial: desde la implementación de la Estrategia de género (i) y las investigaciones sobre la escolarización de las niñas (i) en Zambia y Malawi al apoyo a las niñas refugiadas sirias (i) para que asistan a la escuela en Líbano y la entrega de vales de matrícula para adolescentes vulnerables (i) en Punjab, Pakistán.

#BoldForChange: World Bank Group Helps Advance Education for Girls and Women

Given the challenges and risks that girls and women face and must overcome, the global theme of International Women’s Day 2017, #BeBoldForChange, is fitting and a clear call to action. Support to girls and women is key to the World Bank Group (WBG’s) twin goals of eliminating extreme poverty by 2030 and boosting shared prosperity. In April 2016, WBG President Jim Kim made the commitment to invest $2.5 billion over five years through education projects that directly benefit adolescent girls. In less than a year, WBG has already committed $600 million in projects that foster positive change through the education and empowerment of adolescent girls. Two of the latest examples include projects in Uruguay and Haiti.   Uruguay In Uruguay, girls and women face higher incidences of school-related gender-based violence. Their performance in school is negatively impacted by gender stereotyping in curricula, underpinned by a lack of awareness and inclusion in the classroom. This relates directly to gender stereotypes in Uruguayan society which has long-term effects on opportunities for women’s development, such as employment opportunities. Addressing the bias faced by women and girls is a high priority for the government. The $40 million Improving the Quality of Initial and Primary Education in Uruguay Project will incorporate a series of activities to give teachers new tools to address gender inequality. The project will support training that focuses on fostering awareness of the gender dimensions of learning, especially ingrained social norms about masculinity and femininity. It will also conduct a national study on gender equality that will be used as the baseline for the Gender Equality Action Plan from 2017 to 2020 to address challenges faced by girls at school. “We hope that this will become a catalyst of long-term solutions such as enhancing access for women to the labor market and prevention of domestic violence against women and girls,” says Reema Nayar, WBG Education Practice Manager for Latin America and the Caribbean.   Haiti In Haiti, many girls drop out of school at a young age. This is linked to social factors such as early marriage, where the latest research shows that 17 percent of girls are married by age 18. The recently-approved $30 million Providing an Education of Quality in Haiti Project includes interventions that will incorporate gender into sanitation infrastructure design, teacher training, and community engagement activities to support children’s access to and successful completion of a quality primary education. The Haiti Education for All Program helps make it possible for children to attend and complete primary school through a Tuition Waiver Program. One such recipient is 11-year-old Jessica Prudent, Grade 6, who lives in one of the poorest neighborhoods of the capital, Port-au-Prince. With her access to education secured, Jessica is on the way to achieving her dreams. “I would like to be a nurse so if someone in my family is ill, I can care for them. To succeed, I have to finish school. I must study a lot to move to the next class,” she said. In Haiti, only 50 percent of students successfully reach the end of primary on time, as Jessica has done. Supporting girls and women through education and activities that promote empowerment Bold actions to empower girls and women is a global imperative and the World Bank Group’s institutional priorities, analytical work, and investments reflect this: from implementing the Gender Strategy, to delivering situation analysis on keeping girls in school in Zambia and Malawi to supporting Syrian refugee girls to attend school in Lebanon and providing school tuition vouchers for vulnerable adolescent girls in Punjab, Pakistan.  

مجموعة البنك الدولي تساعد على النهوض بتعليم الفتيات والنساء

في ضوء التحديات والمخاطر التي تواجهها الفتيات والنساء والتي يتوجب عليهن التغلب عليها، فإن هاشتاغ الشعار العالمي للاحتفال باليوم الدولي للمرأة لعام 2017 "كن جريئاً من أجل التغيير" (BeBoldForChange#) يعد مناسبا، وهو دعوة واضحة للعمل. ولمَ لا وتوفير الدعم للفتيات والنساء عامل أساسي لتحقيق هدفي مجموعة البنك الدولي لإنهاء الفقر المدقع بحلول عام 2030 وتعزيز الرخاء المشترك.في أبريل/نيسان 2016، تعهد رئيس مجموعة البنك الدولي جيم يونغ كيم باستثمار 2.5 مليار دولار على مدى خمس سنوات من خلال المشاريع التعليمية التي تعود بالنفع المباشر على المراهقات. وفي أقل من عام، ارتبطت المجموعة بالفعل بتقديم 600 مليون دولار في مشاريع تعزز التغيير الإيجابي من خلال تعليم المراهقات وتمكينهن من أسباب القوة. ونسلط الضوء فيما يلي على مشروعين من أحدث الأمثلة على ذلك في أوروغواي وهايتي.أوروغوايفي أوروغواي، تواجه الفتيات والنساء معدلات عالية للعنف القائم على نوع الجنس في المدارس، إذ تحدث الأفكار والقوالب النمطية للجنسين في المناهج الدراسية تأثيرا سلبيا في أدائهن الدراسي، وهو ما يزداد سوءا من جراء نقص الوعي وعدم مراعاة احتياجاتهن في الفصول الدراسية. ويتعلق الأمر مباشرة بالأفكار النمطية السائدة في في مجتمع أوروغواي عن دور الذكور والإناث، ولذلك آثار طويلة الأمد على فرص تطوير المرأة، مثل فرص التشغيل. وتمثل معالجة التحيز الذي تواجهه النساء والفتيات إحدى أهم أولويات الحكومة.وسيعمل مشروع تحسين نوعية التعليم الأولي والابتدائي في أورغواي (40 مليون دولار) على تعميم مجموعة من الأنشطة في قطاع التعليم بغرض تزويد المدرسين بأدوات جديدة لمعالجة أوجه عدم المساواة بين الجنسين. وسيدعم المشروع التدريب الذي يركز على تعزيز الوعي بأبعاد الفروق بين الجنسين في عملية التعليم، وخاصة القواعد الاجتماعية الراسخة بشأن موقع كل من الرجل والمرأة. كما سيجري دراسة في ربوع البلاد عن المساواة بين الجنسين سيتم استخدامها كخط أساس لإعداد خطة العمل بشأن المساواة بين الجنسين للفترة من 2017 إلى 2020 للتصدي للتحديات التي تواجهها الفتيات في المدرسة.وعن ذلك، تقول ريما نيار، المديرة بقطاع الممارسات العالمية للتعليم بمكتب منطقة أمريكا اللاتينية والبحر الكاريبي بمجموعة البنك الدولي "نأمل أن يصبح ذلك حافزا للحلول طويلة الأجل مثل تعزيز وصول المرأة إلى سوق العمل ومنع العنف المنزلي ضد النساء والفتيات".هايتيفي هايتي، تترك العديد من الفتيات الدراسة في سن مبكرة. ويرتبط ذلك بعوامل اجتماعية مثل الزواج المبكر، حيث تظهر أحدث البحوث أن 17% من الفتيات يتزوجن قبل سن 18 عاما.سيشمل مشروع توفير التعليم جيد النوعية في هايتي – الذي تمت الموافقة عليه مؤخرا بتكلفة 30 مليون دولار – أنشطة تدخلية من شأنها إدماج منظور المساواة بين الجنسين في تصميم البنية التحتية لمرافق الصرف الصحي، وتدريب المعلمين، وأنشطة المشاركة المجتمعية لدعم حصول الأطفال على تعليم ابتدائي جيد وإتمامه بنجاح.ويساعد "برنامج التعليم للجميع في هايتي" على تمكين الأطفال من المواظبة على حضور الدراسة الابتدائية وإتمامها من خلال برنامج للإعفاء من المصروفات المدرسية. وجيسيكا برودنت، ابنة الأحد عشر ربيعا والتلميذة بالصف السادس، هي إحدى المستفيدات من هذا المشروع، وهي تعيش في أحد أفقر الأحياء في العاصمة بورت أو برانس. ومع ضمان حصولها على التعليم، تمضي جيسيكا على طريق تحقيق أحلامها.وعن ذلك، تقول جيسيكا "أود أن أكون ممرضة عندما أكبر، وذلك كي أتمكن إذا مرض أحد أفراد أسرتي من العناية به. لكن لكي أنجح لابد أن أتم دراستي، ويجب كذلك أن اجتهد في استذكار دروسي كي أتمكن من الانتقال إلى الصف التالي". يُشار هنا إلى أن نسبة لا تتعدى 50% من التلاميذ والتلميذات في هايتي هي التي تتم بنجاح المرحلة الابتدائية في الوقت المحدد، كما فعلت جيسيكا. دعم الفتيات والنساء من خلال التعليم والأنشطة التي تعزز التمكينإن اتخاذ إجراءات شجاعة من أجل تمكين الفتيات والنساء أمر ضروري على الصعيد العالمي، وهو ما تعكسه الأولويات المؤسسية لمجموعة البنك الدولي وما تقوم به من عمل تحليلي واستثمارات: من تنفيذ استراتيجية المساواة بين الجنسين، إلى إجراء تحليل الحالة بشأن استمرار الفتيات في الدراسة في زامبيا وملاوي، ودعم بنات اللاجئين السوريين للالتحاق بالمدارس في لبنان، وتوفير قسائم للرسوم المدرسية للفتيات المراهقات الأكثر ضعفا في إقليم البنجاب، بباكستان.