Banco Mundial apoya mejoras al gasto público y productividad en Colombia

Washington, 16 de marzo 2017— Con el fin de apoyar al gobierno en sus esfuerzos por mantener la sostenibilidad fiscal y aumentar la productividad, el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial aprobó hoy un nuevo préstamo para Colombia por un total de US$600 millones. La Primera Financiación de Política de Desarrollo para la Sostenibilidad Fiscal y Competitividad apoyará las medidas de consolidación fiscal y fomentará la productividad en los sectores no extractivos para diversificar así las fuentes de crecimiento. Concretamente buscará facilitar el comercio, la inversión, la competencia, la reglamentación de los negocios y la innovación. “Esta operación de crédito es muy importante para nosotros, porque reconoce, refleja y respalda por el Banco Mundial, el conjunto de acciones de política que tuvimos que adoptar para lograr hacer un ajuste macroeconómico ordenado, en respuesta al choque que sufrió nuestra economía por la caída de los precios del petróleo”, afirmó Mauricio Cárdenas, Ministro de Hacienda y Crédito Público. ”Seguimos trabajando con gran disciplina para darle un manejo responsable a nuestras finanzas públicas, así como para consolidar un crecimiento económico, sin perder empleo ni inversión, tal como lo hemos hecho hasta el día de hoy”. Con este apoyo se busca volver al país más resistente a shocks externos y fomentar la estabilidad y el crecimiento. El espacio fiscal creado por las reformas contempladas permitirá al Gobierno mantener el gasto prioritario, incluido el necesario para apoyar el crecimiento del sector privado y las actividades relacionadas con la paz. “El proceso de paz en curso tiene el potencial de impulsar el crecimiento y el desarrollo territorial. Sin embargo, para que esto sea sostenible el país debe acompañarlo de medidas de mejora de la productividad y reformas fiscales que den espacio a gastos críticos mientras se continúa el proceso de consolidación necesario para la construcción de paz”, afirmó Gerardo Corrochano, Director para Colombia y México del Banco Mundial. El apoyo buscará aumentar la confianza de los inversionistas y reducir los costos de entrada y operación para el sector privado. Entre algunos de los resultados concretos se espera que para 2018 se llegue a 5.000 en el número de empresas (Sociedades Anónimas Simplificadas) registradas en línea por la nueva ventanilla única. Las agencias implementadoras de este préstamo serán el Ministerio de Hacienda y el Departamento Nacional de Planeación (DNP). El préstamo tiene una duración de repago de 20 años que incluye 19.5 años de gracia. Personas de contacto: En Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org; En Colombia: Maria Clara Ucrós,+ 57-1-3238259, mucros@worldbank.org Para obtener más información, por favor visite: www.bancomundial.org/co Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundialcolombia Manténgase informado vía Twitter: http://twitter.com/bancomundial Comunicado de prensa 2017/179/ALC  

World Bank Supports Improved Public Spending and Productivity in Colombia

Washington, March 16, 2017—In order to support Colombian government efforts to maintain fiscal sustainability and accelerate productivity growth, the World Bank Board of Directors approved today a new loan totaling US$ 600 million. The First Fiscal Sustainability and Competitiveness Development Policy Financing Project will support measures of fiscal consolidation and increased productivity in non-extractive sectors to diversify sources of growth. Specifically, it will work to facilitate trade, investment, competition, business regulation, and innovation. “This credit operation is crucial for us because it recognizes — and reflects World Bank support of — the policy activities that we had to adopt to achieve an ordered macroeconomic adjustment in response to the shock our economy suffered with the decline in oil prices,” said Mauricio Cárdenas, Minister of Finance and Public Credit.  “We continue our disciplined efforts to achieve the responsible management of our public finances, as well as to consolidate our current activities to ensure economic growth without losing jobs or investments.” This support will help the country become more resistant to external shocks and will promote stability and growth. The fiscal space created by the planned reforms will enable the government to maintain priority spending, including the expenditures needed to support private-sector growth and peace-related activities.  “The peace process underway has the potential to stimulate growth and land development. However, for this to be sustainable, the country must accompany it with measures to improve productivity and fiscal reforms that provide space for critical expenditures while the necessary process to consolidate peace-building continues,” said Gerardo Corrochano, World Bank director for Colombia and Mexico. The support seeks to increase investor confidence and reduce private-sector costs for opening and operating a new business. Expected concrete results for 2018 include the online registration of 5,000 companies (simplified private limited companies) through the new single window for registering new companies. The implementing agencies of this loan will be the Ministry of Finance and the National Planning Department. The loan will mature in 20 years, including a grace period of 19.5 years. Contacts: Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org Colombia: Maria Clara Ucrós,+ 57-1-3238259, mucros@worldbank.org Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac   Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC   For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC   News Release 2017/179./LAC  

En Amérique latine et aux Caraïbes, la croissance passe par une intégration plus poussée

WASHINGTON, 14 mars 2017 – D’après un nouveau rapport de la Banque mondiale, une intégration économique accrue entre les pays d’Amérique latine et des Caraïbes rendra cette région plus compétitive sur les marchés internationaux et stimulera sa croissance à long terme. Selon ce rapport, intitulé Better Neighbors: Toward a Renewal of Economic Integration in Latin America, une stratégie d’intégration repensée, qui tire parti des complémentarités de l’intégration économique régionale et mondiale, peut favoriser la croissance et la stabilité. Ceci est particulièrement important pour cette région qui sort à peine de deux années de récession. « Dans le monde actuel, l’intégration économique régionale offre un moyen de relancer la croissance économique nécessaire pour faire reculer la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée, indique Jorge Familiar, vice-président de la Banque mondiale pour l’Amérique latine et les Caraïbes. Une intégration intra-régionale renforcée permettra d’accroître notre compétitivité sur la scène mondiale. Une bonne intégration demande des investissements dans les infrastructures, les réseaux de communications et la logistique, ce qui stimulera la croissance économique. » Les efforts d’intégration régionale remontent aux années 60, et s’intensifient depuis le milieu des années 90. Toutefois, les exportations entre les pays d’Amérique latine stagnent à 20 % des exportations totales de la région, une proportion nettement inférieure aux 60 % et 50 % affichés respectivement par l’Union européenne et l’Asie de l’Est/Pacifique. Le rapport propose un « régionalisme ouvert » apte à exploiter pleinement les synergies de l’intégration économique régionale et mondiale, en partant du postulat qu’une intégration mondiale propice à la croissance passe impérativement par un renforcement des pays de la région. Pour ce faire, le rapport expose une stratégie en cinq volets interdépendants :Abaisser encore les droits de douane extérieurs. Cette mesure peut donner de l’élan à l’activité économique locale, attirer les investissements étrangers, favoriser le partage du savoir entre pays voisins et, in fine, leur permettre de pénétrer collectivement sur les marchés d’exportation mondiaux.Approfondir l’intégration économique entre l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et le Mexique. Grâce à de nouveaux accords commerciaux préférentiels (ACP), ces sous-régions peuvent mieux tirer parti de leurs complémentarités et des échanges commerciaux. Cela sera particulièrement pertinent pour les petites économies lorsqu’elles s’intègrent aux plus grandes.Harmoniser les règles et procédures. En autorisant les entreprises à utiliser des produits venant d’autres pays sans perdre leur accès préférentiel, comme le prévoient les règles instaurées par les ACP existants, les pays de la région pourront tirer de ces accords un plus grand bénéfice. L’harmonisation des normes réglementaires peut aussi leur permettre de capitaliser pleinement sur les progrès déjà substantiels qu’ils ont réalisés vers la mise en place d’un réseau énergétique intégré.Concentrer les efforts pour réduire des coûts commerciaux élevés. En Amérique latine, les échanges pâtissent du manque d’infrastructures de qualité et du relief accidenté. La part des routes non goudronnées dans la région est d’environ 70%, ce qui a pour effet d’augmenter les coûts des transports routiers. Une faible efficacité des ports rend également la connectivité de la région plus faible et plus coûteuse en comparaison aux réseaux de transport maritime et aérien dans le monde.Intégrer les marchés du travail et les marchés financiers. Une plus grande liberté de circulation des personnes et des capitaux améliorera l’efficience régionale en Amérique latine. L’intégration transnationale du marché du travail rendra les pays plus productifs et dynamisera la croissance grâce à des transferts transfrontaliers de savoir. Créé en 2011, le marché intégré latino-américain (MILA), qui regroupe les Bourses colombienne, chilienne, mexicaine et péruvienne, constitue également un pas dans la bonne direction, améliorant ainsi le climat d’investissement pour tous. Le rapport conclut que, pour réussir, la région devra concevoir et mettre en œuvre ces politiques intelligentes mais complexes pour améliorer l’intégration économique intra-régionale tout en diminuant les obstacles au commerce international avec le reste du monde. Même si cet objectif ne sera pas simple à atteindre, le rapport fait valoir que le moment est venu de donner la priorité à ces efforts. — Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale en Amérique latine et aux Caraïbes : www.worldbank.org/lac Rejoignez-nous sur Facebook : http://www.facebook.com/worldbank Suivez notre actualité sur Twitter : http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Retrouvez-nous sur YouTube : http://www.youtube.com/BancoMundialLAC

Latinoamérica: 5 razones para fortalecer la integración regional

 La región de América Latina y el Caribe observa con interés la idea de convertirse en un vecindario de puertas abiertas. Las bondades de la integración comercial, según los expertos, podrían ser clave para un futuro con crecimiento positivo y sostenible. Así lo establece un nuevo informe insignia del Banco Mundial “Mejores Vecinos: Hacia una renovación de la integración económica en América Latina” el cual analiza el cambio del entorno mundial y resume las ventajas de convertirse en una región abierta e integrada comercialmente. Pero el concepto no es nuevo para la región; existieron y existen cada vez más iniciativas para fortalecer las economías regionales. De hecho, antes del año 2000, el país promedio latinoamericano mantenía acuerdos comerciales preferenciales con cerca de cuatro socios regionales, mientras que para 2013 esta cifra se elevó a cerca de 10. Sin embargo, estos no siempre demostraron una gran apertura hacia una real integración regional. En el mundo, la mitad de los flujos comerciales ocurren entre socios regionales. Sin ir más lejos, en la UE15 + (Unión Europea 15 ampliada) y la región de Asia Oriental y el Pacífico, las exportaciones intrarregionales representaron el 60% y el 50% del comercio total, respectivamente. En el otro extremo, regiones como Asia Meridional, África Subsahariana y Oriente Medio y Norte de África, las exportaciones intrarregionales significaron un escaso 10% a un 15% del comercio total. A pesar de los esfuerzos latinoamericanos por integrase comercialmente, el volumen de las exportaciones intrarregionales en relación a las exportaciones totales se han mantenido a través de los años en un promedio del 20%.

Mejorar la gobernanza es fundamental para garantizar un crecimiento equitativo en los países en desarrollo

PANAMA, 17 de marzo de 2017 –  Panamá fue hoy centro de discusión sobre el tema de gobernanza, tras un evento de presentación del Informe de Desarrollo Mundial 2017: La gobernanza y las leyes, uno de los reportes insignia del Grupo Banco Mundial. En este Informe, presentado en un hotel capitalino, se insta a los países a repensar su enfoque en materia de gobernanza, como una de las claves para superar los desafíos relacionados con la seguridad, el crecimiento y la equidad. En el evento, organizado por el Banco Mundial, participaron expertos de la academia, gobierno y sector privado. El Ministro de Economía y Finanzas, Dulcidio De La Guardia, señaló que cuando se tienen objetivos comunes, hay transparencia, participación y voluntad para solucionar los problemas. “Es posible alcanzar la gobernanza, deponiendo los intereses que obstaculizan la adopción de políticas que propicien el desarrollo”. Por su parte, Anabela Abreu, Representante del Banco Mundial en Panamá, dijo que “esta fue una oportunidad para dinamizar el debate sobre la eficacia de las políticas y la reforma de la gobernanza y para promover nuevas ideas sobre cómo liderar el cambio. Ciertamente, esta discusión puede ser relevante para que las sociedades y sus gobiernos elijan un camino que genere progreso para todos.” A partir de amplias consultas e investigaciones realizadas en muchos países durante los últimos dos años, en este Informe se proponen principios para orientar la reforma y cambiar la dinámica de la gobernanza a fin de lograr un desarrollo equitativo. Marco Larizza, Especialista Principal del Sector Público del Banco Mundial, Co-autor del Informe y quien lo presentó esta mañana, dijo que “hay tres funciones institucionales fundamentales para la eficacia de las políticas. Las instituciones tienen que garantizar el compromiso, fortalecer la coordinación y propiciar la cooperación”. Las asimetrías de poder en la arena de negociación de las políticas pueden menoscabar las funciones básicas de las instituciones, explicó Larizza. “Y estas se pueden manifestar en captura, clientelismo y exclusión”. Sin embargo, es posible lograr un cambio para modificar las asimetrías o falta de equilibrio en las negociaciones, de manera que se obtengan políticas efectivas y viables. Las élites, los ciudadanos y actores internacionales pueden reconfigurar la arena de negociación modificando incentivos, transformando preferencias, e incrementando la contestabilidad en el proceso de toma de decisiones. La publicación de estos informes inició hace 30 años y se espera que este año, con el tema de gobernanza, el Informe pase a ser el más visto de la historia. De hecho, en menos de un mes, ha sido el más descargado de la página web del Banco Mundial desde la primera edición del Informe en el año 1994. La presentación en Panamá formó parte de la primera gira oficial de difusión del Informe en América Latina. Contacto: En San José, Costa Rica: Cynthia Flores Mora, (506) 8822-0956, cfloresmora@worldbank.org Si desea descargar el Informe click aquí: www.worldbank.org/wdr2017 Hashtag #WDR2017 Para conocer el trabajo del Banco Mundial en América Latina y el Caribe visite: http://www.bancomundial.org/alc Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundial Manténgase informado via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Nuestro canal de YouTube: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC Comunicado de Prensa 2017/01/Panamá  

En Amérique latine et aux Caraïbes, la croissance passe par une intégration plus poussée

WASHINGTON, 14 mars 2017 – D’après un nouveau rapport de la Banque mondiale, une intégration économique accrue entre les pays d’Amérique latine et des Caraïbes rendra cette région plus compétitive sur les marchés internationaux et stimulera sa croissance à long terme. Selon ce rapport, intitulé Better Neighbors: Toward a Renewal of Economic Integration in Latin America, une stratégie d’intégration repensée, qui tire parti des complémentarités de l’intégration économique régionale et mondiale, peut favoriser la croissance et la stabilité. Ceci est particulièrement important pour cette région qui sort à peine de deux années de récession. « Dans le monde actuel, l’intégration économique régionale offre un moyen de relancer la croissance économique nécessaire pour faire reculer la pauvreté et promouvoir une prospérité partagée, indique Jorge Familiar, vice-président de la Banque mondiale pour l’Amérique latine et les Caraïbes. Une intégration intra-régionale renforcée permettra d’accroître notre compétitivité sur la scène mondiale. Une bonne intégration demande des investissements dans les infrastructures, les réseaux de communications et la logistique, ce qui stimulera la croissance économique. » Les efforts d’intégration régionale remontent aux années 60, et s’intensifient depuis le milieu des années 90. Toutefois, les exportations entre les pays d’Amérique latine stagnent à 20 % des exportations totales de la région, une proportion nettement inférieure aux 60 % et 50 % affichés respectivement par l’Union européenne et l’Asie de l’Est/Pacifique. Le rapport propose un « régionalisme ouvert » apte à exploiter pleinement les synergies de l’intégration économique régionale et mondiale, en partant du postulat qu’une intégration mondiale propice à la croissance passe impérativement par un renforcement des pays de la région. Pour ce faire, le rapport expose une stratégie en cinq volets interdépendants :Abaisser encore les droits de douane extérieurs. Cette mesure peut donner de l’élan à l’activité économique locale, attirer les investissements étrangers, favoriser le partage du savoir entre pays voisins et, in fine, leur permettre de pénétrer collectivement sur les marchés d’exportation mondiaux.Approfondir l’intégration économique entre l’Amérique du Sud, l’Amérique centrale et le Mexique. Grâce à de nouveaux accords commerciaux préférentiels (ACP), ces sous-régions peuvent mieux tirer parti de leurs complémentarités et des échanges commerciaux. Cela sera particulièrement pertinent pour les petites économies lorsqu’elles s’intègrent aux plus grandes.Harmoniser les règles et procédures. En autorisant les entreprises à utiliser des produits venant d’autres pays sans perdre leur accès préférentiel, comme le prévoient les règles instaurées par les ACP existants, les pays de la région pourront tirer de ces accords un plus grand bénéfice. L’harmonisation des normes réglementaires peut aussi leur permettre de capitaliser pleinement sur les progrès déjà substantiels qu’ils ont réalisés vers la mise en place d’un réseau énergétique intégré.Concentrer les efforts pour réduire des coûts commerciaux élevés. En Amérique latine, les échanges pâtissent du manque d’infrastructures de qualité et du relief accidenté. La part des routes non goudronnées dans la région est d’environ 70%, ce qui a pour effet d’augmenter les coûts des transports routiers. Une faible efficacité des ports rend également la connectivité de la région plus faible et plus coûteuse en comparaison aux réseaux de transport maritime et aérien dans le monde.Intégrer les marchés du travail et les marchés financiers. Une plus grande liberté de circulation des personnes et des capitaux améliorera l’efficience régionale en Amérique latine. L’intégration transnationale du marché du travail rendra les pays plus productifs et dynamisera la croissance grâce à des transferts transfrontaliers de savoir. Créé en 2011, le marché intégré latino-américain (MILA), qui regroupe les Bourses colombienne, chilienne, mexicaine et péruvienne, constitue également un pas dans la bonne direction, améliorant ainsi le climat d’investissement pour tous. Le rapport conclut que, pour réussir, la région devra concevoir et mettre en œuvre ces politiques intelligentes mais complexes pour améliorer l’intégration économique intra-régionale tout en diminuant les obstacles au commerce international avec le reste du monde. Même si cet objectif ne sera pas simple à atteindre, le rapport fait valoir que le moment est venu de donner la priorité à ces efforts. — Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale en Amérique latine et aux Caraïbes : www.worldbank.org/lac Rejoignez-nous sur Facebook : http://www.facebook.com/worldbank Suivez notre actualité sur Twitter : http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Retrouvez-nous sur YouTube : http://www.youtube.com/BancoMundialLAC

Deeper Integration Vital for Growth in Latin America and the Caribbean, World Bank Report Says

WASHINGTON, March 14, 2017 – A deeper economic integration among Latin American and Caribbean countries will make the region more competitive in international markets and boost long-term growth, according to a new World Bank report. Better Neighbors: Toward a Renewal of Economic Integration in Latin America, argues that a renewed integration strategy that takes advantage of the complementarities between regional and global economic integration can contribute to growth with stability. This is particularly relevant for a region that is just coming out of two years of recession. “In today’s world, regional economic integration offers a way forward to reactivate the economic growth needed for reducing poverty and boosting shared prosperity,” said Jorge Familiar, World Bank Vice President for Latin America and the Caribbean. “A more robust intraregional integration will make us more competitive in the global arena. Effective integration will require investment in infrastructure, connectivity and logistics, which will offer an additional boost in economic growth.” Since the 1960s, the region has been pursuing regional integration, with efforts intensifying since the mid-1990s. Still, intraregional exports in Latin America remain at a persistent 20 percent of total exports, much less than the 60 and 50 percent intraregional exports in the European Union and East Asia Pacific, respectively. Therefore, the report proposes an “open regionalism” that reaps unexploited synergies between regional and global economic integration, on the premise that pro-growth integration with the world cannot be achieved without first strengthening the region’s own neighborhood. To do so, the report lays out a five-pronged interdependent strategy:Further reduce external tariffs. This can stimulate local economic activity, attract foreign investment, enable knowledge-sharing among regional neighbors, and ultimately facilitate collective entry into global export markets.Deepen economic integration between South America, Central America, the Caribbean, and Mexico. Through new preferential trade agreements (PTAs), these sub regions can better benefit from their complementarities and obtain additional gains from trade. This will be particularly relevant for small economies when integrating with larger ones.Harmonize rules and procedures.  Allowing firms to use materials from other countries without losing preferential access, as it tends to happen with rules established by existing PTAs, can help the region attain higher gains from these agreements. Harmonizing regulatory standards can also help the region fully capitalize on the already significant progress toward an integrated energy grid.  Focus efforts to reduce high trade costs. Lack of quality infrastructure and challenging topography make distance much costlier to Latin America’s trade. The share of unpaved roads in the region is around 70 percent, causing land transport to drive up trade costs. Low port efficiency also makes the region’s connectivity to global maritime and air transport networks comparatively weaker and more costly.Integrate labor and capital markets. There is room for improving regional efficiencies through freer migration and capital flows in Latin America. Labor market integration across borders can help countries become more productive and boost growth through cross-border knowledge transfers. The 2011 Mercado Integrado Latinoamericano (MILA) that sought to unite the stock market exchanges of Colombia, Chile, Mexico and Peru is also a step in the right direction, seeking to improve the investment climate for all. The report concludes that in order to be successful, the region will need to design and implement these smart but complex policies to enhance intraregional economic integration while also lowering barriers to international trade with the rest of the world. While it will not be simple, the report argues that the time is ripe to bring these efforts to the forefront. — Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC

Integración más profunda vital para el crecimiento de América Latina y el Caribe, según informe del Banco Mundial

WASHINGTON, 14 de marzo de 2017 – Una mayor integración económica entre los países de América Latina y el Caribe hará más competitiva a la región en los mercados internacionales e impulsará el crecimiento a largo plazo, de acuerdo a un nuevo informe del Banco Mundial. Mejores vecinos: Hacia una renovación de la integración económica en América Latina (i) señala que una renovada estrategia de integración que aproveche las complementariedades entre la integración económica a nivel global y regional contribuirá a un crecimiento con estabilidad. Esto es algo particularmente relevante para una región que en 2017 está dejando atrás dos años de recesión. “En el mundo de hoy, la integración económica regional ofrece una vía para reactivar el crecimiento económico necesario para disminuir la pobreza y promover la prosperidad compartida”, dijo Jorge Familiar, Vicepresidente del Banco Mundial para América Latina y el Caribe. “Una integración intrarregional más robusta nos volverá más competitivos en el escenario mundial. La integración efectiva demandará inversiones en infraestructura, conectividad y logística, lo que brindará un impulso adicional al crecimiento económico”. La región ha buscado integrarse desde la década de los 60, intensificando sus esfuerzos en esa dirección desde mediados de los 90. Aun así, las exportaciones intrarregionales en América Latina siguen siendo un 20 por ciento de las exportaciones totales, muy por debajo del 60 y 50 por ciento que las exportaciones intrarregionales representan para la Unión Europea y Asia Oriental-Pacífico, respectivamente. Por lo tanto, el informe propone un “regionalismo abierto” que saque partido de las sinergias desaprovechadas entre la integración económica a nivel regional y mundial, sobre la premisa de que una integración con el mundo favorable al crecimiento no podría lograse sin primero fortalecer el propio vecindario. Para lograrlo, el informe propone una estrategia interdependiente de cinco componentes:Reducción adicional de los aranceles externos. Esto puede estimular la actividad económica a nivel local, atraer inversión extranjera, posibilitar el intercambio de conocimiento entre vecinos regionales, y por último facilitar el ingreso colectivo en los mercados de exportación mundiales.Profundizar la integración económica entre América del Sur, América Central, el Caribe y México. A través de nuevos Acuerdos Comerciales Preferenciales (ACP), estas subregiones pueden beneficiarse más de sus complementariedades y sacar un mayor provecho del comercio, lo cual será particularmente relevante para las economías más pequeñas al integrarse con países grandes.Armonizar normas y procedimientos. Permitirles a las empresas utilizar materiales de otros países sin perder el acceso preferencial, como suele suceder con las normas establecidas por los ACP existentes, podría ayudar a la región a aprovechar mejor estos acuerdos. La armonización de estándares normativos también puede ayudar a la región a capitalizar plenamente los importantes avances logrados en torno una red energética integrada.Centrar los esfuerzos en reducir los altos costos relacionados con el comercio. La falta de infraestructura de calidad junto a una topografía complicada hacen que las distancias sean mucho más caras para el comercio latinoamericano. La proporción de caminos sin pavimentar en la región es de un 70 por ciento, haciendo que el transporte terrestre encarezca los costos de comerciar. La baja eficiencia de los puertos hacen que la conectividad de la región con las redes globales de transporte marítimo y aéreo sea comparativamente más débil y onerosa.Integrar los mercados de trabajo y de capital. Se pueden mejorar las eficiencias regionales mediante una liberalización de los flujos migratorios y de capital en América Latina. La integración de los mercados de trabajo a través de fronteras puede ayudar a los países a tornarse más productivos e impulsar el crecimiento a través del intercambio transfronterizo de conocimientos. El Mercado Integrado Latinoamericano (MILA) de 2011 que buscó unificar los mercados de valores de Colombia, Chile, México y Perú es también un paso en la dirección correcta al mejorar el clima de inversión para todos. El informe concluye que para ser exitosa, la región deberá ser capaz de diseñar y llevar a cabo políticas inteligentes, aunque complejas, mejorando así la integración económica intrarregional a la vez que reduce los obstáculos al comercio internacional con el resto del mundo. Si bien no será fácil, el informe señala que este es el momento de darle prioridad a estos esfuerzos. — Para más información sobre el trabajo del Banco Mundial en América Latina y el Caribe: www.bancomundial.org/lac Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundial Manténgase informado vía Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC Nuestro canal de YouTube: http://www.youtube.com/user/BancoMundialLAC

Banco Mundial apoya mejoras al gasto público y productividad en Colombia

Washington, 16 de marzo 2017— Con el fin de apoyar al gobierno en sus esfuerzos por mantener la sostenibilidad fiscal y aumentar la productividad, el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial aprobó hoy un nuevo préstamo para Colombia por un total de US$600 millones. La Primera Financiación de Política de Desarrollo para la Sostenibilidad Fiscal y Competitividad apoyará las medidas de consolidación fiscal y fomentará la productividad en los sectores no extractivos para diversificar así las fuentes de crecimiento. Concretamente buscará facilitar el comercio, la inversión, la competencia, la reglamentación de los negocios y la innovación. “Esta operación de crédito es muy importante para nosotros, porque reconoce, refleja y respalda por el Banco Mundial, el conjunto de acciones de política que tuvimos que adoptar para lograr hacer un ajuste macroeconómico ordenado, en respuesta al choque que sufrió nuestra economía por la caída de los precios del petróleo”, afirmó Mauricio Cárdenas, Ministro de Hacienda y Crédito Público. ”Seguimos trabajando con gran disciplina para darle un manejo responsable a nuestras finanzas públicas, así como para consolidar un crecimiento económico, sin perder empleo ni inversión, tal como lo hemos hecho hasta el día de hoy”. Con este apoyo se busca volver al país más resistente a shocks externos y fomentar la estabilidad y el crecimiento. El espacio fiscal creado por las reformas contempladas permitirá al Gobierno mantener el gasto prioritario, incluido el necesario para apoyar el crecimiento del sector privado y las actividades relacionadas con la paz. “El proceso de paz en curso tiene el potencial de impulsar el crecimiento y el desarrollo territorial. Sin embargo, para que esto sea sostenible el país debe acompañarlo de medidas de mejora de la productividad y reformas fiscales que den espacio a gastos críticos mientras se continúa el proceso de consolidación necesario para la construcción de paz”, afirmó Gerardo Corrochano, Director para Colombia y México del Banco Mundial. El apoyo buscará aumentar la confianza de los inversionistas y reducir los costos de entrada y operación para el sector privado. Entre algunos de los resultados concretos se espera que para 2018 se llegue a 5.000 en el número de empresas (Sociedades Anónimas Simplificadas) registradas en línea por la nueva ventanilla única. Las agencias implementadoras de este préstamo serán el Ministerio de Hacienda y el Departamento Nacional de Planeación (DNP). El préstamo tiene una duración de repago de 20 años que incluye 19.5 años de gracia. Personas de contacto: En Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org; En Colombia: Maria Clara Ucrós,+ 57-1-3238259, mucros@worldbank.org Para obtener más información, por favor visite: www.bancomundial.org/co Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundialcolombia Manténgase informado vía Twitter: http://twitter.com/bancomundial Comunicado de prensa 2017/179/ALC