Haïti: la Banque mondiale approuve un financement supplémentaire de 80 millions de dollars à l’appui des efforts de relèvement post-ouragan

WASHINGTON, 15 juin 2017 — Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé trois dons d’un montant total de 80 millions de dollars afin d’appuyer les efforts de redressement d’Haïti après le passage de l’ouragan Matthew. Les objectifs de ces financements supplémentaires sont les suivants : restaurer l’offre et la qualité des services de santé et amplifier les efforts de prévention et de lutte contre le choléra ; garantir la sécurité, la fiabilité et la résilience des services d’alimentation en eau ; et soutenir la production agricole par le biais de subventions et d’activités de travail contre rémunération dans les zones du sud du pays les plus affectées par l’ouragan. « En accordant ces dons, la Banque mondiale s’efforce de tenir son engagement d’aider la population haïtienne à se relever et à mieux faire face aux catastrophes naturelles, » souligne Mary Barton Dock, envoyée spéciale de la Banque mondiale à Haïti. « Alors que les autorités du pays ont commencé à se préparer à la nouvelle saison des ouragans, ce soutien supplémentaire met davantage l’accent sur le renforcement de la résilience dans les secteurs essentiels de l’agriculture, de la santé et de l’eau, et vient cibler les plus démunis. » Selon l’évaluation des besoins post-catastrophe, l’ouragan Matthew a entraîné des pertes dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche estimées à 593 millions de dollars, avec des répercussions durables sur les moyens de subsistance de la population rurale. Bien que les secteurs de l’éducation et de la santé aient été moins touchés, la population a été considérablement affectée par les dommages et l’interruption des services dans les établissements scolaires et sanitaires. Enfin, les services d’eau et d’assainissement, insuffisants depuis longtemps, étaient particulièrement vulnérables aux catastrophes naturelles dans les zones sinistrées : 58 % seulement des Haïtiens ont accès à l’eau  (48 % dans les zones rurales) et 28 % à des installations d’assainissement améliorées (19 % dans les zones rurales).Huit mois après l’ouragan, la reprise est en cours. Une partie de la récolte hivernale a pu être sauvée, tandis qu’environ 8 000 hectares ont été plantés de cultures vivrières diverses aux Anglais et à Dubreuil, Chantal, Avezac et Dory. Grâce aux ressources supplémentaires destinées au secteur agricole, quelque 20 000 agriculteurs seront intégrés dans des chantiers de travail contre rémunération, tandis que plusieurs milliers de producteurs recevront des intrants agricoles, du bétail et un soutien technique, tout en bénéficiant de la remise en état des systèmes d’irrigation. L’ensemble de ces interventions permettra aux agriculteurs de reconstituer leur patrimoine et leurs capacités productives en renforçant parallèlement leur résilience aux aléas climatiques.                                                                                       Le déploiement rapide des opérations d’urgence dans les domaines de l’eau et de l’assainissement et de la santé a entraîné une baisse des décès dus au choléra ainsi que des nouveaux cas suspects. Les ressources supplémentaires destinées au secteur de l’eau et de l’assainissement permettront d’améliorer l’accès à l’eau pour 385 000 habitants des zones sinistrées et les services de santé pour les mères et les enfants. Dans les régions touchées par le choléra, les populations bénéficieront d’une intensification de l’offre de soins ainsi que des efforts de surveillance et de prévention. Enfin, ce financement permettra de réhabiliter totalement 40 équipements sanitaires.   Les trois dons approuvés aujourd’hui relèvent de l’enveloppe de 100 millions de dollars mobilisée par le Mécanisme de riposte aux crises* de l’Association internationale de développement (IDA) afin de soutenir le processus de reconstruction après le passage dévastateur de l’ouragan Matthew. Un don de 20 millions de dollars pour la remise en état des routes et des ponts et le renforcement des capacités d’intervention de la protection civile en cas de catastrophe a déjà été approuvé la semaine dernière. Comment la Banque mondiale contribue au relèvement d’Haïti à la suite de l’ouragan Matthew :                          À la suite de la catastrophe, la Banque mondiale a immédiatement mobilisé plus de 49 millions de dollars sur les ressources déjà allouées à Haïti pour les réorienter d’urgence sur la réfection de routes et de ponts, la réparation d’établissements scolaires et la distribution de repas aux élèves, la remise en état de systèmes d’alimentation en eau et d’assainissement, l’intensification rapide de la lutte contre le choléra, la distribution de semences et d’engrais pour la saison hivernale, et des chantiers de travail contre rémunération pour le nettoyage des canaux d’irrigation. Un don supplémentaire de 30 millions de dollars a été mobilisé un mois après la catastrophe afin d’améliorer la scolarisation et l’apprentissage des élèves des quatre départements du sud du pays ; la Banque mondiale a également engagé une enveloppe totale de 100 millions de dollars à travers le Mécanisme de riposte aux crises* de l’IDA afin de soutenir les populations du Sud les plus touchées et de les aider à se relever et à renforcer leur résilience en agissant dans les secteurs de l’agriculture, de la santé, de l’eau et de l’assainissement, et des transports. * Le Mécanisme de riposte aux crises de l’IDA a été mis en place pour aider les pays à faible revenu à se relever après la survenue d’une grave crise ou catastrophe. —————————- Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale en Amérique latine et dans les Caraïbes : www.worldbank.org/lac Rejoignez-nous sur Facebook : http://www.facebook.com/worldbank Suivez notre actualité :          Sur Twitter : @WBCaribbean Sur YouTube : http://www.youtube.com/worldbank

Some 800,000 Nicaraguans to Benefit from Improved Land Management

WASHINGTON, June 14, 2017 –Improved legalization, titling and property registration services will benefit some 800,000 Nicaraguans thanks to an US$18 million loan approved today by the World Bank Board of Directors. The loan is additional financing for the Second Land Administration Project in Nicaragua. The project has registered and legalized lands in nearly 30 percent of Nicaraguan territory, including Pacific and central areas of the country and the Caribbean region, where collective titling of indigenous lands was especially noteworthy. The new financing will expand project activities to contribute to improving the investment climate and increasing economic opportunities for Nicaraguans. “The Nicaraguan government has received the good news of the approval of this financing, which will allow us to continue developing and consolidating the legal, institutional and technical framework for the Nicaraguan population’s right to property. This means legal security to make the country more attractive for investment, create more jobs, and provide more stability and economic growth, with social justice for the well-being of our people,” said Treasury and Public Credit Minister Iván Acosta Montalván. As part of the property legalization activities, the original project granted 75,000 families legal title to their lands, of which more than 54,000 were new titles. Fifty-seven percent of beneficiaries are women. Advances were also made in redesigning the Integrated Cadastral and Registry Information System (SIICAR) and in resolving land disputes, 60 percent of which were mediated and registered in the Public Registry for Property.  “Guaranteeing property rights and modernizing institutions associated with land organization are crucial for improving Nicaragua’s productivity,” said Luis Constantino, the World Bank representative in Nicaragua. “Since 2002, the World Bank has supported Nicaragua in this task. Today we acknowledge the effort of the current government, which has transformed the property sector by enacting new laws, modernizing institutions and legalizing lands.” The project’s contingency component also supports Nicaragua’s capacity to respond to disasters by quickly and effectively allowing rapid reassignment of project funds for emergency response. The loan has a 25-year maturity period, with a five-year grace period. Contacts: Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1 (202) 473-5863, msanchezbender@worldbank.org Nicaragua: Cynthia Flores, +505 2270-0000, cfloresmora@worldbank.org Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC For our YouTube channel: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC   News Release 2017/279LAC  

Tres razones por las que los parques nacionales valen su peso en oro

¿Alguna vez ha visitado un parque nacional o una reserva natural? Sus próximas vacaciones podrían ser en un lugar que, además de paradisíaco, protege el medio ambiente y es una fuente importante de ingresos para la comunidad local. Un descanso totalmente sustentable. Desde que el primer parque nacional se creó en Yellowstone, en el estado de Wyoming en Estados Unidos, hoy en día un 14% del territorio mundial cuenta con algún nivel de protección. Y en América Latina, esta cifra alcanza casi la cuarta parte del territorio regional con destinos tan diferentes como el continente lo permite: desde la frondosa vista desde arriba de una de las pirámides mayas en la reserva de la biosfera maya en Guatemala, pasando por las paradisíacas playas de Los Roques en Venezuela o el glaciar del imponente parque nacional Perito Moreno en Argentina. Es que el contexto actual dista mucho del de los años 90. En ese entonces, los territorios protegidos apenas se extendían a lo largo de una duodécima parte de la región. En contraste, hoy en día seis países latinoamericanos figuran dentro de los 30 con mayor porcentaje del territorio bajo protección. Son Venezuela, con el 54% (segundo lugar mundial), Nicaragua (37%), Belice (37%), Trinidad y Tobago (32,5%), Guatemala (32%) y Perú (31,5%), según datos del Banco Mundial. Así, América Latina suma más y más territorios protegidos. Más allá de su atractivo turístico, existen tres razones por las que es esencial proteger estas zonas: Son una fuente de ingresos para los países: Al crear el Parque Nacional Nahuel Huapi en la Patagonia, Argentina, se convirtió en el tercer país en las Américas (tras Estados Unidos y Canadá) en establecer una red de parques nacionales. Hoy, más de 40 parques protegen a casi el 7% del territorio. Entre 2003 y 2014 se registró un 88% más de visitantes, lo cual ha contribuido significativamente al sector turístico que da cuenta del 10% del PIB y el 5,4% de los empleos. Son una fuente de energía: en muchos casos, los parques nacionales resguardan los recursos naturales utilizados para la generación de energía. El caso más destacado es el del agua. Por ejemplo, de acuerdo con la Organización de las Naciones Unidas para la Alimentación y la Agricultura (FAO, por sus siglas en inglés), la reserva privada Bosque Eterno de los Niños en Costa Rica, recibe diez colones por hectárea al año como pago por proveer de agua a una empresa generadora de energía eléctrica. Protegen los recursos naturales: De acuerdo con la Comisión Económica para América Latina y el Caribe, las áreas protegidas pueden ayudar a mitigar los impactos de los desastres naturales con la estabilización del suelo (por ejemplo, evitando avalanchas, derrumbes y erosión), reduciendo inundaciones (por ejemplo, mitigación en pequeñas cuencas, protección de llanuras aluviales y humedales), y protegiendo las costas (manglares, dunas de arena o arrecifes de coral como barreras contra tormentas). Desde 1990, las áreas protegidas en el Perú se han expandido en más de un 700%. Según el Banco Mundial, casi una tercera parte de su territorio está bajo protección. El Perú es uno de los 10 países megadiversos del mundo por albergar gran parte de la diversidad biológica del planeta; incluidas tres grandes cuencas hidrográficas que contienen 12.000 lagos y lagunas, más de mil ríos y tres mil glaciares. Su protección ha permitido que casi el 95% de su territorio se encuentre en buen estado de conservación según el Servicio Nacional de Áreas Naturales Protegidas por el Estado (SERNAP) permitiendo generar diversas oportunidades de desarrollo a través del aprovechamiento y manejo sostenible de los recursos naturales y servicios ambientales. Bajo amenaza A pesar de los enormes avances en materia de protección de áreas naturales, estos territorios y sus habitantes están todavía amenazados. La mitad de la vida silvestre del mundo desapareció en los últimos 40 años, mayormente debido a la pérdida de hábitats, el tráfico ilícito y la sobreexplotación – es decir, por culpa de nosotros, los humanos. Visitar y proteger estos territorios nos recuerda la importancia de luchar por la conservación de nuestros recursos naturales.

Unos 800 mil nicaragüenses se beneficiarán de mejor administración de sus tierras

WASHINGTON, 14 de junio de 2017 – Mejores servicios de regularización, titulación y registro de propiedades, serán parte de los beneficios que recibirán cerca de 800,000 personas en Nicaragua, gracias a un nuevo préstamo de US$18 millones aprobado hoy por el Directorio Ejecutivo del Banco Mundial. Se trata de un financiamiento adicional al Segundo Proyecto de Ordenamiento de la Propiedad en Nicaragua. Con el Proyecto, cerca del 30 por ciento del territorio nacional se ha beneficiado con actividades de barrido catastral y regularización en las zonas del Pacífico y Central; así como en la región del Caribe donde sobresale la titulación colectiva de los territorios indígenas. Este financiamiento adicional permitirá ampliar estas actividades, lo que mejorará el clima de inversión y ampliará las oportunidades económicas para la población nicaragüense. “El Gobierno de Nicaragua ha recibido la buena noticia de la aprobación de este financiamiento, que nos permitirá continuar desarrollando y consolidando el marco legal, institucional y técnico de los derechos de propiedad de la población nicaragüense. Esto se traduce en seguridad jurídica para hacer al país más atractivo para la inversión, generar mayor empleo, y dotarlo de mayor estabilidad y crecimiento económico con justicia social para el bienestar de nuestro pueblo”, señaló el Ministro de Hacienda y Crédito Público, Iván Acosta Montalván. Como parte de las actividades de regularización de tierras, con el proyecto original cerca de 75.000 familias han recibido documentos legales para sus propiedades, de las cuales más de 54.000 son nuevos títulos; además, un 57 por ciento de los beneficiarios son mujeres. También ha habido avances importantes en el rediseño del Sistema Integrado de Información de Catastro y Registro (SIICAR), y se ha contribuido a la resolución de disputas de tierras, 60 por ciento de las cuales fueron mediadas e inscritas en el Registro Público de la Propiedad. “Garantizar los derechos de propiedad y modernizar las instituciones relacionadas con el ordenamiento de la propiedad son fundamentales para mejorar la productividad de Nicaragua”, afirmó Luis Constantino, representante del Banco Mundial en Nicaragua. “Desde 2002, el Banco Mundial ha apoyado a Nicaragua en esta tarea. Hoy reconocemos el esfuerzo del actual Gobierno que ha transformado el sector de la propiedad al promulgar nuevas leyes, modernizar las instituciones y regularizar las tierras”. Con el proyecto también se apoya la capacidad de Nicaragua para responder de manera rápida y efectiva ante desastres a través de un componente de contingencia, el cual permitirá reasignar fondos del proyecto rápidamente para responder a una emergencia. El préstamo tiene un plazo de amortización de 25 años, con un período de gracia de cinco años. Contactos: En Washington: Marcela Sánchez-Bender, +1-202-473-5863, msanchezbender@worldbank.org En Nicaragua: Cynthia Flores, (505) 2270 0000, cfloresmora@worldbank.org Para conocer el trabajo del Banco Mundial en América Latina y el Caribe visite: www.bancomundial.org/alc Conozca más sobre el Banco Mundial sobre Honduras: www.bancomundial.org/honduras Visítenos en Facebook: http://www.facebook.com/bancomundial Manténgase informado via Twitter: http://www.twitter.com/BancoMundialLAC   Nuestro canal de YouTube: http://www.youtube.com/BancoMundialLAC Comunicado de Prensa 2017/279/LAC  

Haiti –Improving Maternal and Child Health Through Integrated Services Project – Additional Financing

WASHINGTON, June 14, 2017 – The World Bank’s Board of Executive Directors today approved the following project: Haiti –Improving Maternal and Child health Through Integrated Services Project – Additional Financing IDA Grant: US$25 million Project ID: P163313 Project Description:  The objective of the project is to restore the quality and supply of health services and scale up cholera prevention and response in areas affected by Hurricane Matthew. More information:  http://projects.worldbank.org/P163313?lang=en

Haiti – Sustainable Rural and Small Towns Water and Sanitation Project – Additional Financing

WASHINGTON, June 14, 2017 – The World Bank’s Board of Executive Directors today approved the following project: Haiti – Sustainable Rural and Small Towns Water and Sanitation Project – Additional Financing IDA Grant: US$20 million Project ID: P163194 Project Description:  The objective of the project is to secure safe, reliable and resilient water supply services in areas affected by Hurricane Matthew. More information:  http://projects.worldbank.org/P148970?lang=en  

Haiti – Relaunching Agriculture: Strengthening Agriculture Public Services II project – Additional Financing

WASHINGTON, June 14, 2017 – The World Bank’s Board of Executive Directors today approved the following project: Haiti – Relaunching agriculture: Strengthening Agriculture Public Services II project – Additional Financing IDA Grant: US$35 million Project ID: P163081 Project Description:  The objective of the project is to increase market access to small producers and food security in areas affected by Hurricane Matthew.   More information:  http://projects.worldbank.org/P163081?lang=en

Nicaragua – Additional Financing: Second Land Administration Project

IDA Credit: US$18 million Terms: Maturity = 25 years, Grace = 5 years Project ID: P163246 Project Description:  In line with the original Project objectives, this additional financing will allow to implement complementary activities focused on strengthening the property rights of the population in the project area through improved regularization, titling, and registry services; and on improving Nicaragua’s capacity to respond promptly and effectively to an eligible emergency. Contact: Cynthia Flores Mora +505 2270 000 Ext.210 cfloresmora@worldbank.org For more information, please visit: http://documents.worldbank.org/curated/en/809621496169075161/Nicaragua-Second-Land-Administration-Project-additional-financing  

World Bank Approves Additional US$80 Million for Haiti’s Hurricane Recovery

WASHINGTON, June 15, 2017— The World Bank’s Board of Executive Directors approved three grants totaling US$80 million for hurricane recovery efforts. The additional financing aims to restore the quality and supply of health services and scale up cholera prevention and response; secure safe, reliable and resilient water supply services; and sustain agricultural production through farming subsidy and cash for works schemes in hurricane affected areas in the South of Haiti. “With the approval of these grants, the World Bank is striving to fulfill its commitment to the people of Haiti to help them recover and be more resilient to natural disasters,” said Mary Barton Dock, the World Bank’s Special Envoy for Haiti. “As the government has started to prepare for the new hurricane season, this additional support puts a greater emphasis on strengthening resilience of essential agriculture, health and water services and target those most in need”. According to the Post-Disaster Needs Assessment, losses in agriculture, livestock and fishing was estimated at US$ 593 million, with a long term impact on the livelihoods of the rural population. While the education and health sectors were less impacted, the population was significantly affected by the interruption of services and destruction of schools and health centers. Water services and sanitation have long been lacking and were particularly vulnerable to natural disasters in these areas: only 58 percent of Haitians have access to water (48 percent in rural areas) and 28 percent to improved sanitation (19 percent in rural areas).Eight months after the hurricane, recovery is under way. Part of the winter harvest was saved and about 8,000 hectares have been planted with various food crop for the spring harvest in Les Anglais, Dubreuil, Chantal, D’Avezac, and Dory. Through the additional financing in agriculture, about 20,000 farmers will receive cash for work, and thousands of producers will receive agricultural inputs, livestock, technical support, and benefit from restored irrigation systems. This will contribute to rebuild their assets and productive capacities under more climate resilient conditions. Rapid scaled-up response in water and sanitation interventions, and in health resulted in a decrease in suspected new cases of cholera and in cholera related deaths. Through the additional financing in health and water, about 385,000 Haitians living in affected areas will get improved access to water; mothers and children will have access to improved health services; communities in cholera affected areas will benefit from intensified surveillance, prevention efforts and treatment; and 40 health facilities will be rehabilitated and fully functioning.   These grants are part of the US$100 million package of support mobilized by the International Development Association’s (IDA) Crisis Response Window* for reconstruction after the devastating impact of Hurricane Matthew. A US$20 million grant to rehabilitate roads and bridges, and strengthen the disaster risk management capacity of the civil protection teams was already approved last week. Background on how the World Bank is helping Haiti recover from Hurricane Matthew: In the immediate aftermath, the World Bank mobilized more than US$49 million from existing resources for emergency efforts including rehabilitation of roads and bridges, school repairs and school meals, rehabilitation of water systems and emergency sanitation, scaling up a rapid cholera response, distribution of seeds and fertilizer for the winter planting season, and cash to repair irrigation canals. An additional US$30 million grant was mobilized a month after the storm to improve learning and enrollment of students in the four departments of Southern Haiti, and a total of US$100 million was pledged from IDA’s Crisis Response Window to support the most affected population in the South in recovering and improving resilience in the agriculture, health, water and sanitation, and transport sectors. * The IDA Crisis Response Window is designed to help low-income countries recover from severe disasters and crises. ———————————– Learn more about the work of the World Bank in Latin America and the Caribbean: www.worldbank.org/lac Visit us on Facebook: http://www.facebook.com/worldbank Be updated via: Twitter: @WBCaribbean YouTube: http://www.youtube.com/worldbank

Haïti: la Banque mondiale approuve un financement supplémentaire de 80 millions de dollars à l’appui des efforts de relèvement post-ouragan

WASHINGTON, 15 juin 2017 — Le Conseil des administrateurs de la Banque mondiale a approuvé trois dons d’un montant total de 80 millions de dollars afin d’appuyer les efforts de redressement d’Haïti après le passage de l’ouragan Matthew. Les objectifs de ces financements supplémentaires sont les suivants : restaurer l’offre et la qualité des services de santé et amplifier les efforts de prévention et de lutte contre le choléra ; garantir la sécurité, la fiabilité et la résilience des services d’alimentation en eau ; et soutenir la production agricole par le biais de subventions et d’activités de travail contre rémunération dans les zones du sud du pays les plus affectées par l’ouragan. « En accordant ces dons, la Banque mondiale s’efforce de tenir son engagement d’aider la population haïtienne à se relever et à mieux faire face aux catastrophes naturelles, » souligne Mary Barton Dock, envoyée spéciale de la Banque mondiale à Haïti. « Alors que les autorités du pays ont commencé à se préparer à la nouvelle saison des ouragans, ce soutien supplémentaire met davantage l’accent sur le renforcement de la résilience dans les secteurs essentiels de l’agriculture, de la santé et de l’eau, et vient cibler les plus démunis. » Selon l’évaluation des besoins post-catastrophe, l’ouragan Matthew a entraîné des pertes dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche estimées à 593 millions de dollars, avec des répercussions durables sur les moyens de subsistance de la population rurale. Bien que les secteurs de l’éducation et de la santé aient été moins touchés, la population a été considérablement affectée par les dommages et l’interruption des services dans les établissements scolaires et sanitaires. Enfin, les services d’eau et d’assainissement, insuffisants depuis longtemps, étaient particulièrement vulnérables aux catastrophes naturelles dans les zones sinistrées : 58 % seulement des Haïtiens ont accès à l’eau  (48 % dans les zones rurales) et 28 % à des installations d’assainissement améliorées (19 % dans les zones rurales).Huit mois après l’ouragan, la reprise est en cours. Une partie de la récolte hivernale a pu être sauvée, tandis qu’environ 8 000 hectares ont été plantés de cultures vivrières diverses aux Anglais et à Dubreuil, Chantal, Avezac et Dory. Grâce aux ressources supplémentaires destinées au secteur agricole, quelque 20 000 agriculteurs seront intégrés dans des chantiers de travail contre rémunération, tandis que plusieurs milliers de producteurs recevront des intrants agricoles, du bétail et un soutien technique, tout en bénéficiant de la remise en état des systèmes d’irrigation. L’ensemble de ces interventions permettra aux agriculteurs de reconstituer leur patrimoine et leurs capacités productives en renforçant parallèlement leur résilience aux aléas climatiques.                                                                                       Le déploiement rapide des opérations d’urgence dans les domaines de l’eau et de l’assainissement et de la santé a entraîné une baisse des décès dus au choléra ainsi que des nouveaux cas suspects. Les ressources supplémentaires destinées au secteur de l’eau et de l’assainissement permettront d’améliorer l’accès à l’eau pour 385 000 habitants des zones sinistrées et les services de santé pour les mères et les enfants. Dans les régions touchées par le choléra, les populations bénéficieront d’une intensification de l’offre de soins ainsi que des efforts de surveillance et de prévention. Enfin, ce financement permettra de réhabiliter totalement 40 équipements sanitaires.   Les trois dons approuvés aujourd’hui relèvent de l’enveloppe de 100 millions de dollars mobilisée par le Mécanisme de riposte aux crises* de l’Association internationale de développement (IDA) afin de soutenir le processus de reconstruction après le passage dévastateur de l’ouragan Matthew. Un don de 20 millions de dollars pour la remise en état des routes et des ponts et le renforcement des capacités d’intervention de la protection civile en cas de catastrophe a déjà été approuvé la semaine dernière. Comment la Banque mondiale contribue au relèvement d’Haïti à la suite de l’ouragan Matthew :                          À la suite de la catastrophe, la Banque mondiale a immédiatement mobilisé plus de 49 millions de dollars sur les ressources déjà allouées à Haïti pour les réorienter d’urgence sur la réfection de routes et de ponts, la réparation d’établissements scolaires et la distribution de repas aux élèves, la remise en état de systèmes d’alimentation en eau et d’assainissement, l’intensification rapide de la lutte contre le choléra, la distribution de semences et d’engrais pour la saison hivernale, et des chantiers de travail contre rémunération pour le nettoyage des canaux d’irrigation. Un don supplémentaire de 30 millions de dollars a été mobilisé un mois après la catastrophe afin d’améliorer la scolarisation et l’apprentissage des élèves des quatre départements du sud du pays ; la Banque mondiale a également engagé une enveloppe totale de 100 millions de dollars à travers le Mécanisme de riposte aux crises* de l’IDA afin de soutenir les populations du Sud les plus touchées et de les aider à se relever et à renforcer leur résilience en agissant dans les secteurs de l’agriculture, de la santé, de l’eau et de l’assainissement, et des transports. * Le Mécanisme de riposte aux crises de l’IDA a été mis en place pour aider les pays à faible revenu à se relever après la survenue d’une grave crise ou catastrophe. —————————- Pour en savoir plus sur les activités de la Banque mondiale en Amérique latine et dans les Caraïbes : www.worldbank.org/lac Rejoignez-nous sur Facebook : http://www.facebook.com/worldbank Suivez notre actualité :          Sur Twitter : @WBCaribbean Sur YouTube : http://www.youtube.com/worldbank

Colombia: Communication Assistant Digital (GS 6) Bogota Colombia

Organization: UN Children’s Fund
Country: Colombia
Closing date: 02 Jul 2017

If you are a committed, creative professional and are passionate about making a lasting difference for children, the world’s leading children’s rights organization would like to hear from you.

For 70 years, UNICEF has been working on the ground in 190 countries and territories to promote children’s survival, protection and development. The world’s largest provider of vaccines for developing countries, UNICEF supports child health and nutrition, good water and sanitation, quality basic education for all boys and girls, and the protection of children from violence, exploitation, and AIDS. UNICEF is funded entirely by the voluntary contributions of individuals, businesses, foundations and governments.

Purpose of the Position

This position reports to the communication specialist with responsibility for general assistance and support of the communications department, according to the established norms and procedures.

The role of this post is to provide support services on social media strategies, brand and image, traditional media, events and projects for programmatic and fundraising purposes; plus administrative matters such as following up budget and maintenance of archives.

The major end result to be accomplished by the post will be engaging audiences with UNICEF´s programmatic objectives and contributing to raising global RR and OR.

Within the new County Office program framework and considering global trends, it is expected that the incumbent prioritizes tasks and organizes agreed tasks based on general direction and guidance from the supervisor.

Key Expected Results

This post will contribute with the organizations goals as it will make recommendations on appropriate information and communication materials for use in traditional and social media, and other advocacy and communication activities, as well as for fundraising purposes; and makes recommendations on the appropriateness, quality and dissemination of digital, printed and audio-visual materials. These recommendations contribute to the effectiveness of the communication strategy and plan.

Key Accountabilities and Duties & Tasks

  1. Follows up on annual work plan budget and all SAP actions subscribed to the position. Maintains archives of all communications projects with rigorous detailed organization of documentation and budget invested.
  2. Assist in the development, maintain and update of the country social media strategy and associated work plan which includes analysis and record of the periodic digital results (web, social networks, donation website and any additional micro-website developed during the year, such as unicef10k.com). Ensure on-going assessment of social media trends and practices and their application to the evolving strategy. The result of the analysis should be a recommendation to the improvement and refining of the strategy and/or its tactics.
  3. Assist in keeping record and analysis of news clipping sent to UNICEF staff, by external news monitoring/clipping provider. Maintains handy by topic and date, all news releases approved and distributed.Once every two months develops an executive brief about trends on children news published in traditional media and social media in the country and about other social oriented organizations.
  4. Maintain close attention to advances on the programmatic and PFP results in order to make sure that the communications strategy is coherent with the Country Program priorities and any specific situation that might arrive.
  5. Support in Internal Communication actions.

Qualifications of Successful Candidate

Education:

Secondary education degree required. University degree in Communications, Journalism, Public Relations, Web design as an asset; or equivalent professional work experience in the communication area.

Experience:

Six (6) years of practical professional work experience in communication, print and broadcast media, interactive digital media and/or publicity.

Language Requirements:

Fluency in English is required.

Excellent communication and writing skills in Spanish is required.

Competencies of Successful Candidate

Core Values

  1. Commitment
  2. Diversity and Inclusion
  3. Integrity

Core competencies

  1. Communication
  2. Working with People
  3. Drive for Results

Functional Competencies

  1. Applying Technical Expertise (level 2)
  2. Planning and organizing (level 2)
  3. Analyzing (level 2)
  4. Following instructions and procedures (level 2)

To view our competency framework, please click here.

UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organisation.

How to apply:

UNICEF is committed to diversity and inclusion within its workforce, and encourages qualified female and male candidates from all national, religious and ethnic backgrounds, including persons living with disabilities, to apply to become a part of our organization. To apply, click on the following link http://www.unicef.org/about/employ/?job=505426